Les employés du Centre de Rééducation pour Femmes Droguées de Harbin ont torturé à mort de nombreuses pratiquantes de Dafa, et Clearwisdom.net l'a exposée de nombreuses fois. Cependant, les gardiens sont toujours très effrénés à cet endroit. Nous pensons qu'il est nécessaire d'exposer une nouvelle fois les crimes, de sorte que les gens puissent clairement voir la véritable histoire.
A partir de rapports fiables, nous pouvons classer la persécution en cours dans les catégories suivantes :
1. De la "Gentillesse Simulée" à la "Torture Brutale"
Avant la 16ème Conférence du Parti en 2002, des stratégies telles que la tromperie, la fausse bonté, et la mise en circulation d’articles de conférence de Dafa contrefaits ont été employées au Centre de Rééducation pour Femmes Droguées de Harbin. L'effet fut minime. Le 11 Novembre 2002, juste avant la 16ème Conférence du Parti, une prétendue "réunion de mobilisation" a été tenue. Au cours de la réunion Chen Guiqing, le responsable du centre, a déclaré qu’il transformerait toutes les pratiquantes qui n'avaient pas été transformées, ou au moins qu’il affaiblirait la détermination de ces pratiquantes. Cette nuit là, les policiers de garde ont commencés à maltraiter brutalement les pratiquantes. Ils ont forcé plus de 70 pratiquantes à descendre au sous-sol. Les pratiquantes qui étaient blessées et qui ne pouvaient pas marché ont été portées jusque là. Ils ont alors avancé les mains des pratiquantes et les ont menottées à des anneaux sur le plancher, et les pratiquantes ont dû s'accroupir là. Les mains de certaines pratiquantes ont été positionnées derrière le dos et menottées aux balustrades de la fenêtre. Les cheveux de toutes les pratiquantes ont été alors rasés d’une étrange manière (une moitié complètement rasée, alors que l'autre moitié demeurait intacte). Leurs bouches ont été alors bâillonnées avec une grande bande de tissu fourrée dans la bouche. Les bouches de la plupart des pratiquants étaient blessées dû à l'étroitesse des bâillons. Les policiers de garde les ont alors battues et les ont électrocutées avec des bâtons électriques. La même chose a continué pendant la nuit, avec des détenues surveillant de près les pratiquantes, les empêchant de dormir. Les policiers de garde ont également placé une bassine d'eau froide sous le postérieur des pratiquantes. Si une pratiquante ne pouvait plus tenir, elle se serait assise dans l'eau froide. Certaines pratiquantes se sont évanouies pendant la torture, et les gardes les ont alimenté de force avec des stimulants cardiaques. Pour les pratiquantes qui n'ont pas été transformé, au cinquième jour les gardiens les ont obligé à porter uniquement des sous-vêtements, et ont ouvert toutes les fenêtres. En même temps, les gardiens les ont choquées avec des bâtons électriques.
2. Humiliation
Pendant que les pratiquantes étaient menottées à des anneaux sur le plancher, et que leurs cheveux étaient coupés d’une étrange façon, on ne leur a pas permis d'utiliser les toilettes. Durant la journée elles étaient autorisées à uriner ou à déféquer seulement trois fois, et les détenues tenaient la bassine. La nuit, même cela n'était pas été permis. Beaucoup de pratiquantes ont dû uriner ou déféquer dans leur pantalon. Mme Li Hongxia, une pratiquante du Mudanjiang, a été torturée inhumainement de cette manière pendant sept mois. Les gardes ont baissé son pantalon et ses sous-vêtements ainsi que ceux de Yang Ruiqin, exposant leurs fesses. Elles ont alors été forcées de maintenir leurs bras horizontalement de chaque côtés. Leurs postérieurs ont été battus, laissant des traces rouges à gauche. Mais Mme Li Hongxia ne cédait toujours pas. Finalement, elle a pu s’en aller en raison d’une inflammation du coeur. À ce moment-là, elle avait été détenue là pendant plus de deux mois au delà de l'expiration de sa peine.
3. Lavage de cerveau continuel pour celles qui ont été obligé de se transformer
Pour celles qui ont été forcées de se transformer sous la torture, elles ont été emmenées à l’étage pour "étude." Du matin jusqu'au soir, elles ont été obligées de lire des matériaux calomnieux attaquant Dafa. Elles ont été également invités à noter leurs compréhensions, et avaient des examens. Si elles ne se conformaient pas, ou si les réponses n'étaient pas satisfaisantes, on les obligeait à s'accroupir toute la journée et elles étaient privées de sommeil la nuit. Celles qui ont écrit des documents garantissant qu’elles renonçaient à la pratique et qui dénonçaient Dafa ressentaient beaucoup de regrets. Une fois qu'elles déclaraient ces documents écrits comme étant nuls et non avenus, elles subissaient une persécution encore plus dure.
4. Des lavages de cerveau jour et nuit pour celles qui ont été récemment arrêtées
A chaque fois qu'une nouvelle pratiquante était arrêtée et emprisonnée, les policiers l'attaquaient jour et nuit avec des lavages de cerveau. Chaque jour la pratiquante était emmenée dehors pour être persécutée avant l’aube, et ne rentrait pas avant minuit. Si elle ne se transformait pas, elle était brutalement torturée, et menacée par des peines de prison. Sun Yanchun a souffert d’effondrement mental à la suite de la torture qu'elle a subie, et ne peut plus dormir.
5. Duper et tromper des hauts fonctionnaires
Toutes les fois que des hauts fonctionnaires venaient pour inspecter, les pratiquantes de Dafa déterminées étaient emmenées au sous-sol pour travailler. Celles qui étaient considérées comme étant transformées par le lavage de cerveau et la torture devaient remplir un questionnaire demandant si elle avaient eu de l'eau potable à boire, si elles avaient eu de l'eau chaude pour se laver, si elles pouvaient emprunter et lire des livres, si les gardes battaient les autres, si les pratiquantes déterminées de Dafa ont été traitées de la même manière que les autres, et ainsi de suite. Celles qui avaient répondu au questionnaire étaient contraintes de mentir et de décrire le repaire vicieux comme une demeure chaleureuse.
6. Extorquer de l’argent
Le centre de rééducation pour drogués vendait de force une variété de matériaux diffamant Dafa aux pratiquants de Dafa. Que vous les vouliez ou non, 70 Yuan étaient déduits de votre compte. Le centre a également demandé des "donations" de temps en temps. On doit faire deux donations pour utiliser seule la salle de toilette. Les pratiquantes n’ont pas été autorisées à apporter leur propre literie. Elles ont dû acheter les draps du centre; certaines étaient même forcées d’acheter trois draps. Il y a des examens physiques deux fois par an, et quelques pratiquantes de Dafa ont été obligées de subir plus d'examens. A chaque fois, les pratiquantes ont été obligées de payer.
7. Travail forcé et surcharge
Afin de faire de l'argent, le centre de rééducation pour drogués a demandé à des pratiquantes de Dafa de choisir entre la production de cure-dents ou de baguettes. À 6:00 heure du matin, elles devaient se lever et commencer le travail après s’être laver. Sans compter les repas, elles devaient travailler sans interruption jusqu’à 9:00 du soir. Parfois elles travaillaient jusqu'à minuit, et devaient toujours continuer le jour suivant. Chaque jour elles avaient seulement cinq minutes pour se laver. Pendant ces cinq minutes, les policiers de garde hurlaient, "Dépêchez-vous, dépêchez-vous !"
Ci-dessus ne sont que quelques rapports de la persécution que les pratiquantes de Dafa ont supporté au Centre de Rééducation pour Femmes Droguées de Harbin. A partir d’eux, nous avons une idée de la véritable situation concernant "la gentillesse bienveillante" qui est déclaré dans la propagande : il s’agit en réalité de coups sévères et de chocs électriques dans le vent glacial. C’est ce que le régime de Jiang a fait.
Directeur du Centre de Rééducation pour Femmes Droguées de Harbin : Chen Guiqing
Les gardes les plus brutaux (dans les coups et l'électrocution) : Wei Qiang, Li Zhihong, Dong Shaoxing, Da Wangdan, etc...
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Version chinoise disponible à:
http://www.minghui.org/mh/articles/2004/1/21/65417.html
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