Je suis un pratiquement relativement nouveau ; j’ai commencé à pratiquer en 2015. Je vis aux Etats-Unis, mais j’ai grandi en Chine en milieu rural.
Quand j’étais un petit garçon, mon père m’a conseillé d’étudier beaucoup et de quitter la campagne. Je me suis inscrit au Parti communiste (PCC) à l’université et j’ai obtenu mes diplômes à l’époque du massacre de Tiananmen. Ce qui m’a poussé à quitter la Chine pour poursuivre mes études.
Je suis arrivé aux États-Unis en 1995, ai obtenu un diplôme, on m’a offert un emploi et je me suis marié. En 1999, le PCC a commencé la persécution contre le Falun Dafa. J’avais jusque là lu plusieurs leçons dans le livre principal du Falun Dafa, Zhuan falun. Cependant, je ne comprenais pas entièrement ce que je lisais.
En 2004, on a découvert que mon fils âgé de trois ans était autiste. Nous avons vu des experts, essayé diverses sortes de traitements, et avons essayé d’en savoir plus sur cette maladie. Je me suis initié à une technique de guérison appelée Heilkunst, qui est une sous-catégorie de l’homéopathie.
Après avoir rencontré plusieurs médecins occidentaux aux pouvoirs supranormaux, j’étais émerveillé et rêvais de devenir un jour un thérapeute Heilkunst. J’ai même écrit un livre sur le Heilkunst et un éditeur chinois a décidé de le publier. Mais soudain, il a changé d’avis !
En mai 2014, j’ai fait une dépression et j’ai dû travailler à domicile. À part le travail et les tâches ménagères, je ne me souciais pas du monde extérieur et ne lisais pas de livres du tout. Mon fils n’allait pas bien, et je sentais les prémisses d’une crise, mais je ne pouvais rien y faire.
Dafa a pu faire la différence
Puis j’ai eu un rêve où Maître Li me demandait si je voulais apprendre le Falun Dafa et j’ai dit oui. Deux mois plus tard, j’ai recommencé à lire le Zhuan Falun.
Je me sentais tellement bien en lisant le Zhuan Falun que j’ai pensé que j’avais fini par trouver la voie de cultivation qui ferait la différence.
Ma famille a vu que j’avais commencé à pratiquer Dafa quand je suis rentré d’un voyage à Hong Kong. Ma femme était contre parce qu’elle était chrétienne. Mais j’ai fait de mon mieux pour cultiver diligemment et être plus patient. Pour éviter les conflits, je pratiquais les exercices quand elle n’était pas à la maison ou après minuit.
Ma femme a dit qu’elle ne voulait pas voir le Zhuan Falun, alors je l’ai caché. Puis ses objections se sont atténuées, alors j’ai rejoint un groupe de pratique local. Je pensais que ma pratique du Falun Dafa bénéficierait à la famille. Toutefois, mon état de cultivation n’était pas très stable.
Le Maître continuait à me guider dans mes rêves. À ce moment-là, j'ai ressenti la grandeur de la cultivation. La santé de mon fils s’est améliorée et ma famille s’est harmonisée.
La vie est remplie d’espoir
La première fois que j’ai participé à l’étude de Fa en groupe, ma femme m’a demandé de rentrer tôt, sinon elle me laisserait dehors. J’ai compris que c’était un test, parce que l’étude du Fa était très importante. Dafa m’offrait une véritable voie.
Petit à petit, j’en suis venu à comprendre les enseignements. Le Maître employait des mots simples et expliquait les choses plus clairement que tout ce que j’avais lu auparavant.
Je lisais le Zhuan Falun une fois par semaine, et je lisais aussi les autres articles du Maître. Ma dépression a disparu peu à peu. J’ai également démissionné du PCC et j’ai persuadé ma femme d’en faire autant.
J’ai invité mes parents à venir nous voir et je leur ai pris des billets pour aller voir Shen Yun Performing Arts. Ils ont tous les deux aimé le spectacle. Ensuite ma mère a accepté de démissionner du PCC. Mes parents savent tous les deux que Falun Dafa est bon.
Mon fils lui aussi a vu le spectacle. Il m’a alors accompagné sur un site touristique pour clarifier la vérité à propos de Dafa tous les week-ends. Des pratiquants m’ont suggéré de lui faire écouter les conférences du Maître dans la voiture. Ensuite, mon fils m’a demandé de lui acheter la version anglaise du Zhuan Falun et lui aussi a rejoint le groupe d’étude de Fa.
Tout ce que nous avons à faire, c’est étudier les enseignements et vivre suivant les principes d’ Authenticité-Bonté-Patience. Après plusieurs mois d’étude du Fa, mon fils a finalement compris que sa vie était remplie d’espoir.
Abandonner les attachements
Sur mon chemin de cultivation, il me faut abandonner les attachements, tels que la peur, le sentiment de honte quand les autres voient mes points faibles et l’excitation quand les autres voient mes points forts. Ce n’est pas facile, mais le Maître m’aide en m’envoyant des signes tout au long du chemin.
Maître a dit :
- Ce n'est pas que le chemin de la cultivation soit difficile,
C'est le karma vie après vie qui empêche ; (« Cause et effet » , Hong Yin)
J’ai été confronté à un autre problème : avoir trop peur de souffrir. Puis, j’ai réalisé qu’avoir peur n’allait pas résoudre le problème ; je devais endurer la souffrance pour pouvoir éliminer le karma.
De temps en temps, je ne pouvais m’empêcher de me disputer avec ma femme. Elle se mettait alors à parler de Dafa de façon négative. Mais à chaque fois que j’arrêtais de me disputer et que j’émettais des pensées droites, elle s’arrêtait elle aussi.
Je savais que c’était l’interférence des forces anciennes. Peu à peu ma femme a compris combien il était important pour moi d’émettre des pensées droites.
Le défi d’un projet d’écriture
J’ai rejoint un projet d’écriture pour clarifier la vérité. J’écrivais des romans et des livres auparavant, mais c’était différent. Les écrits des pratiquants étaient des points de vues clairs et honnêtes alors que mon style était trop pédant. Le coordinateur du projet m’a encouragé à abandonner l’endoctrinement que j’avais subi en Chine. Cette prise de conscience a amené un changement positif dans ma façon d’écrire.
C’était au départ un grand défi pour moi, car je devais affronter mes insuffisances et mes attachements. En tant que pratiquant, je sais que j’ai besoin de freiner mes émotions et de rester calme.
Pour aider ma famille à comprendre le Falun Dafa, je devais changer et devenir une meilleure personne. Je sais que je m’améliore progressivement, et c’est la voie que je dois suivre.
Traduit de l’anglais :
New Practitioner: 'The Path I Must Take'
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