D’un profond désespoir à un monde d’une incomparable beauté

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Je m’appelle Ming Ming. Bien que je n’ai que 19 ans, j’ai déjà vécu de grandes épreuves dans ma vie. Notre grand Maître compatissant m’a sauvée, me tirant hors du désespoir pour un monde d’une beauté incomparable.

Malheur

Quand j’étais petite, j’étais très vive et mignonne, le genre de petite fille que tout le monde aimait. J’ai été élevée par mes grands-parents car mes parents voyageaient à l’étranger. Ils revenaient seulement au Jour de l’An quand notre famille était réunie.


A l’âge de 12 ans, j’ai attrapé un psoriasis( une maladie inflammatoire de la peau). Ma famille m’a emmenée à plusieurs endroits pour des traitements. J’ai pris toutes sortes de médicaments, mais en vain.


Les mois d’hiver et d’été étaient les pires. Je ne pouvais pas porter de manches courtes comme les autres filles, ou mettre de jolies jupes. J’étais gênée d’avoir la peau exposée aux regards, et je ressentais le malaise des gens qui m'approchaient.


Je suis devenue empruntée et ai développé une piètre estime de moi-même, devenant particulièrement taciturne et déprimée en hiver, quand la manifestation du psoriasis était la pire. Les parties de mon corps affectées commençaient à se craqueler et à se fendiller, ce qui entraînait des blessures qui me faisaient saigner.


Plus tard, j’ai dû arrêter l’école à cause de la maladie. J’avais des démangeasons qui m’irritaient jusqu’à l' os, c’était si douloureux que je n’avais plus le courage de continuer comme ça et j'étais devenue obsédée par la mort. Mais j’avais un vague sentiment qu’il me restait beaucoup de choses importantes à faire, des choses que je devais terminer .


En octobre 2013, ma sœur m’a emmenée à l’hôpital de Pékin. Le médecin a suggéré que je me rase les cheveux étant donné la gravité de ma maladie. J'ai eu un choc lorsque je me suis regardée dans le miroir ensuite. Avais-je encore l'apparence d' un être humain ? Il y avait des couches et des couches d'une chose blanche couvrant ma tête dénudée.


Après être restée à Pékin un moment, il n’y avait toujours pas trace d’amélioration. Comme c’était presque les vacances du Nouvel An chinois, j’ai mis un chapeau et suis retournée chez moi avec ma sœur, qui portait un sac rempli de médicaments.


Quelques jours après mon retour à la maison, le psoriasis a commencé à s’étendre rapidement. Cette fois, c’était même plus grave qu’avant. L’inflammation était visible sur mon corps à 95% . Les petites taches rouges sur mon visage se multipliaient rapidement, et m’ont recouvert tout le visage. Je ressemblais à un monstre.


Lorsque mon moral a été au plus bas, sentant que j'avais atteint le fond , quatre mots me sont venus à l’esprit: Les larmes aux yeux, j’ai dit à ma famille :" Je ne veux plus vivre. Même si je vis, j’aurais honte de me montrer aux autres. Vous autres ne savez pas la douleur et la souffrance que j’endure. Je suis une morte-vivante ! "Ma famille me voyait souffrir impuissante.


Le salut

Avant le Nouvel An chinois, mes parents sont allés dîner chez mon oncle. Quand mon oncle a demandé des nouvelles de ma maladie, maman s’est mise à pleurer et a dit :" Tu n’as pas vu dans quel état elle est. Il n’y a littéralement aucune partie de son corps qui soit saine. C’est terrible. Je ne sais plus quoi faire." Mon oncle a dit que Dafa pourrait me sauver.


Au début de l’année passée, mon oncle m’avait donné un symbole du Falun Gong en me disant que si je lisais les caractères qu'il y avait dessus ma maladie serait guérie . Je n’ai pas pris ça au sérieux.


Quand ma soeur et moi sommes allées l’hôpital à Pékin, je m’ennuyais, alors j’ai pris le symbole et l’ai regardé en lisant les mots. Après les avoir lus plusieurs fois, je ne pensais plus qu’à ces mots que j’avais lus. Quand je fermais les yeux, je pouvais toujours les voir : " Falun Dafa Hao. Zhen-Shan-Ren Hao "mais je ne savais pas ce que " Falun Dafa est bon (hao) " signifiait.


Par curiosité, je suis allée sur Internet depuis mon mobile pour chercher "Falun Dafa". Les informations que j’ai trouvées étaient toutes négatives et contre Dafa, dénigrant la pratique. Je me suis dit "Pourquoi mon oncle me mettrait-il en danger ? J'en ai parlé à ma sœur et elle a fait une recherche sur Internet.


Influencée par la propagande sur Internet, elle a eu peur et a jeté le symbole sans me le dire. Quelques jours plus tard, ma sœur m’a raconté ce qu’elle avait fait et m’a dit : " Pendant les quelques jours où tu as lu ces caractères, tu semblais heureuse. "


Quelques jours plus tard, mon oncle est venu à la maison et m’a présenté le Falun Gong. Il m’a demandé : "Veux-tu guérir de ta maladie ? Je me rappelais les choses négatives que j’avais lues à propos du Falun Gong sur Internet et me suis demandée si mon oncle me voulait du mal. Mais j’ai vu que son attitude était sincère et honnête. Je lui ai dit :" Bien sûr que je veux, mais à quoi cela me servirait-il de juste d’y penser ? Mon oncle a dit : "Si tu veux vraiment être en bonne santé, tu n’as qu’à pratiquer le Falun Gong ! " J’ai hésité un moment et, un peu méfiante, je lui ai demandé : " Est-ce-que le Falun Gong peut vraiment me sauver ? "


Mon oncle m’a donné quelques CDs et des brochures. Il a aussi aidé ma famille à démissionner du Parti (PCC) et de ses organisations affiliés.


Quand il est parti, mon voisin a mis en garde mon père contre la pratique. Mes parents ont eu peur et m’ont interdit de pratiquer. Ma grand-mère m’a aussi suppliée de ne pas commencer la pratique. J’étais très déprimée. Certains disaient que c’était bien, d’autres que c’était mal. Devais-je ou non pratiquer ?


J’ai décidé de pratiquer. Je voulais être en bonne santé et je ne croyais plus à la médecine. Cette nuit-là, j’ai consulté les documents sur le Falun Gong que mon oncle m’avait donnés et j’ai soudain réalisé que tout ce que j’avais vu en ligne était un tissu de calomnies et de mensonges.


Je voulais vraiment commencer à pratiquer le Falun Dafa, mais mes parents me l’interdisaient. Mon père répétait même les mensonges du PCC. J’étais choquée et lui ai demandé : "Papa, connais-tu M. Li Hongzhi ?" Papa a dit qu’on ne cessait de parler de lui à la télé et dans les journaux. J’ai dit :"C’est une bonne personne. C'est un coup monté contre lui. Je veux pratiquer le Falun Gong. »


Grand-mère a dit à mes parents : " Si elle veut pratiquer, alors laissez-la pratiquer. Laissez-la décider. Son état est déjà si grave. Et si elle pratique et qu’elle va mieux ?” Mes parents ont finalement décidé de me laisser commencer la pratique.


Après le Nouvel An chinois, par l'intermédiaire de mon oncle, j’ai obtenu une copie du Zhuan Falun ainsi que d’autres brochures de la part d’un pratiquant.


Je suis allée à la maison, ai ouvert le livre et j'ai vu une photo du Maître. J’ai dit à ma famille : "Il a l’air si compatissant. Ce n’est pas du tout ce qui est dit sur Internet."


Je lisais le Zhuan Falun tous les jours. Les centaines de questions que je me posais auparavant ont trouvé leurs réponses dans ce livre. Par exemple "tout le monde finit par mourir. Pourquoi les gens veulent vivre ici sur cette Terre ? Pourquoi nous les hommes sommes-nous ici sur cette terre ? " Zhuan Falun a répondu à toutes mes questions sur la vie.


Zhuan Falun m’a aidée à comprendre la vraie raison d'être un être humain. Nous devrions suivre les principes d'Authenticité-Bonté-Tolérance dans notre vie. C’est vraiment le plus grand trésor de l’humanité !


Pourtant, certaines personnes ne reconnaissent toujours pas la bonté de Dafa. Elle veulent même le détruire. Je sais à présent pourquoi je sentais qu'il y avait encore quelque chose que je devais accomplir. C'est en réalité Dafa. Je suis venue ici pour que ma destinée soit liée au Maître - la raison pour laquelle je suis ici est d'obtenir le Fa. Je vis pour le Fa. Sans le Fa je n'existe pas. À ce jour, Dafa est pour moi la chose la plus précieuse. C’est la chose que je cherchais .


Après moins d'un mois de pratique, ma maladie était sous contrôle. Je n’avais plus de démangeaisons et ma peau malade commençait à s’écailler. Maintenant, j’ai la peau uniformément douce et rose. C’est comme si j’avais abandonné une coquille. J’ai retrouvé l’esprit et l’énergie de la jeunesse. Grand-mère a été témoin du miracle de Dafa et m’a aussi apporté son soutien dans la pratique.


Peu de temps après avoir appris le Fa, j’ai découvert mes nombreux attachements et insuffisances. J’ai vraiment hâte de voir le Maître. Quand je pense au Maître, je me dis : " Cultives bien et tu verras le Maître tous les jours." Merci Maître pour votre arrangement minutieux et pour m’avoir donné tout ce que j’ai maintenant. Je vais certainement cultiver avec détermination de telle sorte que vous n'ayez pas trop à vous inquiéter pour moi.


Je me prosterne devant le Maître si merveilleux et si compatissant ! Merci Maître !


Version anglaise :
From Utter Despair to a World of Compassion

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