[Suite de http://fr.clearharmony.net/articles/201303/112108.html]
In the spring of 2001, several guards came to Ms. Mao's cell and started dragging practitioners out. Everyone knew that those taken out would be tortured, so they tried to keep the guards from taking anyone. During the struggle, a glass door was broken and lacerated a male captain's hand. The captain dragged Ms. Mao out and took her to an orchard. On the way there, she saw two guards dragging a practitioner upside down by her feet. The practitioner's clothes were torn. Ms. Mao shouted, “What happened to your feet? Why are they dragging you by your feet?” The guard then let the practitioner stand up. Ms. Mao told the captain, “We abandoned our families and careers to tell you that Falun Dafa is good, so that you will not be eliminated in the future. You didn't listen to us and now you torture us. Everything you've done will be recorded in the history of this universe!”
Au printemps 2001, plusieurs gardes sont allés dans la cellule de Mme Mao et ont commencé à sortir les pratiquantes en les traînant. Tout le monde savait que celles sorties seraient torturées, donc elles ont essayé d'empêcher les gardes de les prendre. Pendant la lutte, une porte en verre a été cassée et a lacéré la main d'un capitaine masculin. Le capitaine a fait traîner Mme Mao et l'a amené dans un verger. Sur le chemin, elle a vu deux gardes traîner un pratiquant à l'envers par ses pieds. Les vêtements du pratiquant étaient déchirés. Mme Mao a crié : « Qu'est-ce qui est arrivé à vos pieds ? Pourquoi vous tirent-ils par vos pieds ? « La garde a permis alors au pratiquant de se lever. Mme Mao a dit au capitaine : « Nous avons abandonné nos familles et nos carrières pour vous dire que Falun Dafa est bon, pour que vous ne soyez pas éliminé dans l'avenir. Vous ne nous avez pas écoutés et maintenant vous nous torturez. Tout que vous avez fait sera enregistré dans l'histoire de cet univers ! »
The captain was speechless. He slapped her twice, then bound her to a tree. The captain whose hand was lacerated tried to cuff her again with her back against the tree. Hearing to the guards' conversations, she realized that practitioners were bound to all the trees in the orchard. She cried and said, “How much karma you're creating!” The forced labor camp director arrived just then. The captain whose hand was lacerated said, “She is crying for us.” The director said, “Let her go.” Before the guard could unlock her handcuffs, she handed them back to him. Everyone onsite was shocked. A captain asked, “Did your Master unlock them for you?” She nodded in confirmation.
Le capitaine était muet. Il l'a giflé deux fois, et l'a ensuite attachée à un arbre. Le capitaine dont la main a été lacérée a essayé de l'attaché de nouveau avec son dos contre l'arbre. En entendant les conversations des gardes, elle s'est rendue compte que les pratiquants étaient tous attachés aux arbres dans le verger. Elle a crié et a dit : « Combien de karma créez-vous! « Le directeur de camp de travail forcé est arrivé juste alors. Le capitaine dont la main a été lacérée a dit : « Elle crie pour nous. » Le directeur a dit : « Laissez-la partir. » Avant que le garde ne puisse ouvrir ses menottes, elle les lui a rendus. Tout le monde sur place était choqué. Un capitaine a demandé : « Votre Maître les a-t-elles ouvertes pour vous ? » Elle a fait un signe de tête de confirmation.
Ms. Mao never gave up her belief in Falun Gong. On June 6, 2001, police deceived her about going to Gaoyang Forced Labor Camp. At that time, she didn't bring anything with her, and had to wear thick shoes although the temperature was 36 degrees Celsius (almost 97 degrees F). She was forced to stay in Gaoyang Labor Camp until she gave up her belief.
Mme Mao n'a jamais renoncé en sa conviction dans le Falun Gong. Le 6 juin 2001, la police l'a trompée pour partir au camp de travail forcé Gaoyang. A ce moment-là, elle n'avait rien apporté avec elle et elle a du porter des chaussures épaisses bien que la température soit de 36 degré centigrades (presque 97 degrés F). Elle a été forcée à rester dans le camp de travail de Gaoyang jusqu'à ce qu'elle ait renoncé en sa conviction.
Living conditions in Gaoyang Forced Labor Camp were extremely poor. The steamed buns they were given to eat were burned and hard. The only other food provided was a little soup with a couple of vegetable leaves. The soup had a layer of worms on the surface and sand on the bottom. On June 29, Ms. Mao was taken to the disciplinary unit managed by Liu Yamin; prisoner Zhao Jun was his assistant. All practitioners were forced to sleep on the ground in hot and humid conditions, swarming with mosquitos. They had to pull mosquitos out of their blankets, and there were so many that they had to collect them in a dustpan. They were forced to get up at 5 a.m. and not allowed to sleep until midnight. Practitioners who resisted the evil guards were often subjected to sleep deprivation and were usually forced to sit on a little stool for 20 hours per day, with their backs straight, legs held tightly together, both palms held on their knees. They had to look forward towards a video program that slandered Falun Dafa. When they got sleepy or absent-minded, Zhao Jun beat them with the soles of his shoes. The captain shocked practitioners with electric batons and tortured them with other methods, such as the “airplane flying” posture (standing with one’s back against the wall, head dropped forward, with both hands pulled up from behind). Sometimes, practitioners were forced to write sentences that slandered Dafa. Missing one character resulted in being allowed 10 minutes less sleep. Ms. Mao underwent sleep deprivation for several days. She also refused to admit that she broke any laws, so the captain sometimes didn't allow her to eat certain foods, and said that she would only be allowed to eat those foods when she admitted to breaking the law.
Les conditions de vie dans le camp de travail forcé Gaoyang étaient extrêmement mauvaises. Les petits pains fumés qu'on leur donnait pour manger étaient brûlés et dur. La seule autre nourriture fournie était un peu de soupe avec deux ou trois feuilles de légumes. La soupe avait une couche de vers en surface et du sable dans le fond. Le 29 juin, Mme Mao a été amené dans l'unité disciplinaire dirigée par Liu Yamin ; le prisonnier Zhao Jun était son assistant. Tous les pratiquants ont été forcés à dormir par terre dans les conditions chaudes et humides, grouillant de moustiques. Ils devaient tirer des moustiques de leurs couvertures et il y en avait tant qu'ils devaient les recueillir dans une pelle à poussière. Ils étaient forcés à se lever à 5h00 et ne pouvaient se coucher qu'à minuit. Les pratiquants qui se sont opposés aux gardes pervers étaient souvent soumis à la privation de sommeil et étaient d'habitude forcés à s'asseoir sur un petit tabouret pendant 20 heures par jour, avec leur dos droits, les jambes tenues fermement ensemble, les deux paumes posées sur leurs genoux. Ils devaient regarder un programme vidéo qui diffamait Falun Dafa. Quand ils s'assoupissaient ou étaient distraits, Zhao Jun les battaient avec la semelle de ses chaussures. Le capitaine a choqué des pratiquants avec des bâtons électriques et les a torturés avec d'autres méthodes, telles que la position « le vol de l'avion » (se tenir le dos contre le mur, la tête penchée en avant, avec les deux mains tirées vers l'arrière). Quelquefois, les pratiquants étaient forcés à écrire des phrases qui diffamaient Dafa. Oublier un caractère avaient pour résultat de perdre 10 minutes de sommeil. Mme Mao a subi la privation de sommeil pendant plusieurs jours. Elle a aussi refusé de reconnaître qu'elle avait enfreint n'importe quelles lois, donc le capitaine ne lui permettait quelquefois pas de manger certains aliments et a dit qu'on lui permettrait seulement de manger ces aliments quand elle aurait avoué avoir enfreint la loi.
One time, captain Ye Shuxian and policewoman Li took Ms. Mao to a small room with all the curtains closed and a black carpet covering the ground. They had her sit on the carpet and asked, “Who in your group broke the law?” She replied, “Nobody. We are not prisoners.” Ye Shuxian then shocked her mouth with an electric baton, then her face and head, until her whole body convulsed into a tight ball. Three months later on September 23, 2001, Ms. Mao was returned to her original group.
Une fois, le capitaine Ye Shuxian et la femme-policier Li ont amené Mme Mao dans une petite pièce avec tous les rideaux fermés et un tapis noir couvrant la terre. Ils l'ont fait s'asseoir sur le tapis et ont demandé : « Qui dans votre groupe a enfreint la loi ? « Elle a répondu : « Personne. Nous ne sommes pas des prisonniers. « Ye Shuxian a alors choqué sa bouche avec un bâton électrique, alors son visage et sa tête, jusqu'à ce que son corps entier ait des convulsions en position fœtal. Trois mois plus tard le 23 septembre 2001, Mme Mao a été ramenée dans son groupe original.
In the spring of 2002, Ms. Mao was taken to the “transformation” class. In the daytime, she was forced to dig groves. At night, she was forced to write about her “thoughts.” When she refused to write, she was forced to stand through the night without access to a bathroom. Since she always resisted the persecution, Ye Shuxian said, “Those who haven't “transformed” will never “transform” with you here. Go back!” She was subsequently returned to her original group.
Au printemps 2002, Mme Mao a été amenée dans une classe « de transformation ». Dans la journée, elle a été forcée à creuser des bosquets. La nuit, elle a été forcée à écrire ses « pensées ». Quand elle refusait d'écrire, elle était forcée à se tenir debout toute la nuit sans accès à une salle de bains. Comme elle s'opposait toujours à la persécution, Ye Shuxian a dit : « Ceux qui n'ont pas été « transformé » ne « se transformeront » jamais avec vous ici. Retournez ! » Elle a été par la suite ramenée dans son groupe original.
At that time, she had become blind as a result of the torture. She also suffered from headaches and a systemic infection. The guards took her to a hospital, where doctors verified that she'd suffered a complete loss of vision, and that her body was covered in sores that had festered. The next day, the labor camp called the Qinglong County Police Department and asked that her family come get her. Several family members came, but barely recognized her. Despite her critical condition, the captain insisted that she write a guarantee statement, promising to give up her belief as a condition for her release. She firmly refused to write it, and her family had to leave despite great concern. After they left, captain Li Xiaojing struck her face 16 times in a row.
A ce moment-là, elle était devenue aveugle à la suite de la torture. Elle souffrait aussi de maux de tête et d'une infection systémique. Les gardes l'ont amenée dans un hôpital, où les docteurs ont vérifié qu'elle avait subi une perte complète de vision et que son corps était couvert de plaies qui suppuraient. Le jour suivant, le camp de travail a appelé le département de police du canton de Qinglong et a demandé que sa famille vienne la récupérer. Plusieurs membres de famille sont venus, mais l'ont à peine reconnue. En dépit de sa condition critique, le capitaine a exigé qu'elle écrive une déclaration de garantie, en promettant de renoncer en sa conviction comme condition pour sa libération. Elle a fermement refusé de l'écrire et sa famille a du partir en dépit de la grande inquiétude. Après qu'ils soient partis, le capitaine Li Xiaojing a frappé son visage 16 fois d'affilée.
Although Ms. Mao was extremely weak at that time, she was still tortured by the residing labor camp doctor Wang Guoyou and a female captain (last name Zhao). One morning, Wang Guoyou asked a prisoner to take her to an empty room. They forced her to sit with both legs straight. Two male prisoners stepped on her legs while a female captain pulled her head. Wang Guoyou then used an electric baton to shock her body starting from her feet. At the same time, he told other practitioners, “If you do not 'reform,' you will be next.” Although Ms. Mao was now blind, she knew that other practitioners were nearby. She didn't want them to be afraid, so she clenched her teeth and remained silent. Realizing that she had a strong will, Wang Guoyou called in male captain Liang Baoke. They used two electric batons to shock her simultaneously. She started to convulse again. Wang Guoyou determined that she was in a disabled state again, so they stopped.
Bien que Mme Mao soit extrêmement faible à ce moment-là, elle était toujours torturée par le docteur du camp de travail résidant Wang Guoyou et un capitaine féminin (nom de famille Zhao). Un matin, Wang Guoyou a demandé à un prisonnier de l'amener dans une pièce vide. Ils l'ont forcée à s'asseoir avec les deux jambes droites. Deux prisonniers masculins ont marché sur ses jambes pendant qu'un capitaine féminin tirait sa tête. Wang Guoyou a utilisé alors un bâton électrique pour choquer son corps en commençant par ses pieds. En même temps, il a dit à d'autres pratiquants : « Si vous ne vous réformez pas, vous serez le suivant. » Bien que Mme Mao soit maintenant aveugle, elle savait que d'autres pratiquants étaient proches. Elle n'a pas voulu qu'ils aient peur, donc elle a serré ses dents et est restée silencieuse. Se rendant compte qu'elle avait une forte volonté, Wang Guoyou a fait entrer le capitaine masculin Liang Baoke. Ils ont utilisé deux bâtons électriques pour la choquer simultanément. Elle a de nouveau commencé à avoir des convulsions. Wang Guoyou a déterminé qu'elle était de nouveau dans un état handicapé, donc ils se sont arrêtés.
The tops of her feet were heavily blistered from the electric shocks. Her toes were so swollen that she couldn't walk for half a month. Barely recovered from the injuries, the guards wanted to torture her again. A prisoner from Henan Province grabbed the captain and cried, “Please do not beat her anymore! She was as kind as a mother to us. Please!” The captain was stunned. Usually, the captain ordered prisoners to beat Ms. Mao, but today, that prisoner couldn't bear to do it anymore. The captain was silent. He walked to the window and looked out, then let the prisoners take Ms. Mao back.
Les hauts de ses pieds ont été lourdement pelés par les décharges électriques. Ses orteils étaient si gonflés qu'elle n'a pas pu marcher pendant quinze jours. À peine remise des blessures, les gardes ont voulu la torturer de nouveau. Un prisonnier de la Province du Henan a saisi le capitaine et a crié : « Ne la battez pas s'il vous plaît ! Elle est aussi gentille qu'une mère pour nous. S'il vous plaît ! « Le capitaine a été assommé. D'habitude, le capitaine ordonnait aux prisonniers de battre Mme Mao, mais aujourd'hui, ce prisonnier ne pouvait plus supporter de le faire. Le capitaine était silencieux. Il a marché vers la fenêtre et a regardé dehors, et a ensuite permis aux prisonniers de ramener Mme Mao .
On January 19, 2003, Ms. Mao's husband was hit by a car. He was so severely injured that even hospital staff refused to provide him treatment. Medical specialists also said he would die shortly. Ms. Mao was then released. At that time, their children were still in school and she had to solve her financial problems herself. With the help of friends, family, and fellow practitioners, she opened a convenience shop. While doing business, she also took care of her husband and supported her two children so that they could go to school.
Le 19 janvier 2003, le mari de Mme Mao a été percuté par une voiture. Il a été si sévèrement blessé que même le personnel d'hôpital a refusé de lui fournir un traitement. Les spécialistes médicaux ont aussi dit qu'il mourrait bientôt. Mme Mao a alors été libérée. A ce moment-là, leurs enfants étaient toujours à l'école et elle devait résoudre ses problèmes financiers elle-même. Avec l'aide d'amis, famille et compagnons pratiquants, elle a ouvert un commerce de proximité. En faisant du commerce, elle s'est aussi occupée de son mari et a soutenu ses deux enfants pour qu'ils puissent aller à l'école.
Even though Ms. Mao's financial situation was very poor, the Qinglong County Police Department, the Domestic Security Division, and the 610 Office continued to persecute her. They tapped her cell phone and monitored her movements for a long time. They ransacked her home four times. In 2007, Wang Hailong, vice director of the Qinglong County Police Department; Tong Xiumin from the Domestic Security Division; and Ding Zhenchun and Li Jinfeng from the Qinglong Township Police Station ransacked her home again. They didn't find anything valuable, so they took some fireworks worth 1,000 yuan (over $160 USD), which were given to her in exchange for some items bought from the shop.
Même si la situation financière de Mme Mao était très pauvre, le département de police du canton de Qinglong, la division de sécurité intérieure et le bureau 610 ont continué à la persécuter. Ils ont mis sur écoute son téléphone portable et ont contrôlé ses mouvements pendant longtemps. Ils ont fouillé son domicile quatre fois. En 2007, Wang Hailong, le sous directeur du département de police du canton de Qinglong ; Tong Xiumin de la division de sécurité intérieure ; et Ding Zhenchun et Li Jinfeng du commissariat de la commune de Qinglong ont de nouveau fouillé sa maison. Ils n'ont rien trouvé de valeur, donc ils ont pris quelques feux d'artifice d'une valeur de 1,000 yuans (140 euros), qui lui avaient été donnés en échange de quelques articles achetés dans le magasin.
On December 30, 2012, captain Li Yinqing and Lv Zhendong from the Domestic Security Division went to Ms. Mao's home again. Without showing a warrant, they confiscated her key, Dafa books, and pictures of Master Li. They also entered the garage without the family's permission; it is not known what items were confiscated from the garage. They also told her, “Although we're not arresting you, we will monitor you for a long time.” After Li Yinqing became captain of the Domestic Security Division, he frequently hired people to unlock her door and steal from her home. They tapped her phone over a long period and monitored her continuously. Surveillance cameras were installed around her living area.
Le 30 décembre 2012, le capitaine Li Yinqing et Lu Zhendong de la division de sécurité intérieure sont retourné dans la maison de Mme Mao . Sans montrer de mandat, ils ont confisqué sa clé, ses livres de Dafa et ses photos du Maître Li. Ils sont aussi entrés dans le garage sans la permission de la famille ; on ne sait pas quels articles ont été confisqués du garage. Ils lui aussi ont dit : « Bien que nous ne vous arrêtions pas, nous vous surveillerons longtemps. » Après que Li Yinqing soit devenu le capitaine de la division de sécurité intérieure, il engageait fréquemment des gens pour ouvrir sa porte et voler sa maison. Ils ont mis sur écoute son téléphone sur un long terme et l'a surveillaient continuellement. Des caméras de surveillance ont été installés autour de sa zone de vie.
Version chinoise disponible
http://www.minghui.org/mh/articles/2013/2/17/%E6%83%A8%E9%81%AD%E8%BF%AB%E5%AE%B3%E6%97%B6%E4%BE%9D%E7%84%B6%E4%B8%BA%E4%BB%96%E4%BA%BA%E7%9A%84%E6%AF%9B%E6%98%A5%E5%B9%B3%E5%A5%B3%E5%A3%AB-270131.html
Version anglaise disponible
http://en.minghui.org/html/articles/2013/3/8/138401.html
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.
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