J’ai commencé à pratiquer Falun Dafa en 2008. Avant cela, j’étais paralysée suite à une anémie et une atrophie musculaire. Je souffrais tellement qu'il m'est arrivé de penser à la mort, mais Falun Dafa m’a sauvée et aidée à marcher de nouveau.
Depuis mon accouchement en 1993, j’ai souffert d’anémie, d’insomnie et mes bras et mes jambes étaient complètement flasques. En 2003, mon époux est décédé, ce qui a alourdi mon fardeau. En conséquence, ma maladie a empirée. Je ne voulais pas manger et restais vivante en prenant des médicaments. Plus tard, non seulement j’ai souffert d’anémie mais mon utérus a aussi commencé à saigner. Je suis allée à l’hôpital de Tianjin pour un traitement médical. L’examen a montré que je souffrais d’une anémie nutritionnelle. J’ai pris beaucoup de médicaments, mais rien n’a changé. Finalement, j’ai developpé une leucémie et une atrophie musculaire.
En 2007, mon père est tombé malade et vivait à l’hôpital. À cette époque, je ne pouvais pas marcher. Après le décès de mon père, ma condition physique a empiré. Mon beau-frère (le frère aîné de mon époux, qui prenait bien soin de moi et de mon enfant après le décès de mon époux) a déclaré à ma belle-sœur : "Nous devons l’emmener à l’hôpital." Ma belle-sœur lui a demandé :" Où pouvons-nous l’emmener pour la soigner ? " Il a déclaré : "Emmenons-là à l'Union Medical College Hospital de Pékin!". Lorsque nous sommes arrivés, le médecin a décidé de faire me faire passer un check up complet. Ils m’ont donné un bol de céréales blanches. Lorsque j’ai essayé de le manger, j’ai vomi. Les médecins ont déclaré: "Vous devez manger quelque chose, sans quoi, vous ne pourrez pas passer d’examen". Comme je ne pouvais rien manger, le médecin a dit : " Nous devrions faire un prélèvement de la moelle pour l'examiner." Une fois le test effectué, ils n'avaient toujours pas découvert de quelle maladie je souffrais. Encore pire, j’étais paralysée.
Une fois retournée à la maison, ma belle-mère a pris soin de moi, me faisant manger, boire et aller aux toilettes. Vivre de cette maniére me causait une grande anxiété. Je pensais : "Ma vie se terminera t-elle de cette façon ? Quelle est la signification de la vie si je dois vivre comme ça ? Je ne pouvais qu’ajouter davantage de fardeau et de problèmes aux autres. "Cependant, dés que je pensais à mon enfant de dix ans, je sentais mon coeur se déchirer. Mon fils était si jeune, et son père était déjà mort. Si je décédais, il perdrait ses deux parents et deviendrait orphelin.
Durant cette période, j’étais si malheureuse: Je voulais vivre, mais je ne pouvais pas bien vivre; je voulais mourir, mais je ne pouvais pas mourir. Chaque jour, je subissais beaucoup de souffrances et j’étais si dépressive. Ma belle-mere m’a encouragé : " Sois positive. Tu dois continuer à vivre pour ton fils. Il ne peut se permettre de perdre ses deux parents. Nous devons trouver un traitement pour soigner ta maladie." Elle a discuté de ce point avec mon beau-frère et décidé de m’emmener à l’Hôpital du sang de Langfang. Ils ont engagé une infirmière spécialisée pour moi. Ma belle-mère venait me voir tous les deux jours. Mes compagnes de chambre disaient : " Ta belle-mère te traite si bien." J’ai répondu : " Elle est pratiquante de Falun Gong." Ils ont répliqué : " Pourquoi ne pratiques-tu pas Falun Gong avec elle, une fois rentrée chez toi ? "
J’ai passé un mois à l’hôpital et dépensé beaucoup d’argent sans ressentir aucune amélioration. Je pensais : " Ici, les médecins ne peuvent pas soigner mes maladies, nous gaspillons notre argent et notre énergie pour rien. "Le jour suivant, j’ai appelé ma belle-mère et lui ai dit que je voulais rentrer à la maison. Au début, elle n’était pas d’accord, mais lorsqu’elle a vu que j’étais déterminée, elle a acquiescé. Quand nous sommes partis, nous avons acheté des médicaments. À cette époque, ma condition physique était terrible, en particulier mes deux jambes. Ma jambe droite était si gravement atrophiée qu’elle était très maigre et qu’il ne restait pas de muscle. Je ne pouvais pas marcher ni bouger du tout.
Une fois retournée à la maison, je ne pouvais rien faire au sujet de mes maladies. Où pouvais-je trouver un traitement ? Que restait-il d'autre sinon d' attendre la mort. Notre maison est un site d’étude du Fa en groupe. Lorsque les pratiquants étudiaient le Fa ensemble, ma belle-mère me demandait de les écouter. Au début, le Fa que j’écoutais semblait tomber dans l’oreille d’un sourd. Chacun pouvait marcher librement, mais, malgré mon jeune âge, j’en étais incapable. Que ferai-je dans le futur ? Je me plaignais au ciel et à la terre : Pourquoi le ciel me traite-t-il ainsi ?
Un jour, j’ai soudain pensé à ce qu’avaient dit mes compagnes de chambre: "Pourquoi ne pas pratiquer le Falun Gong avec ta belle-mère, une fois rentrée à la maison ? " Oui, je dois pratiquer la ‘cultivation’ ! Je veux survivre. Seul Dafa peut me sauver. Dés que j’ai eu cette pensée, je me suis sentie très encouragée. Il semblait y avoir une faible clarté dans l'oscurité. Je voyais l’espoir dans mon désespoir. J’ai dit à ma belle-mère : "S'il te plait, apprends moi à pratiquer les exercices. Je veux aussi apprendre Falun Dafa." Elle a répondu :" Maître a dit dans Zhuan Falun : ‘Les personnes atteintes de maladies graves, nous ne les admettons pas à notre stage, car elles sont incapables d’abandonner leur désir d’être soignées, elles sont incapables d’abandonner la pensée qu’elles sont malades. (Deuxième leçon , Zhuan Falun). Aujourd’hui, tu as exprimé le souhait de pratiquer la ‘cultivation’ du fond de ton cœur. Tant que tu suis les principes de Dafa, le Maître prendra soin de toi."
Dés lors, ma belle-mère m’a montré comment pratiquer les exercices. Je ne pouvais pas me tenir debout, et je pratiquais assise. J’écoutais les conférences de Fa du Maître chaque jour et rejoignais le groupe d’étude du Fa. Quelques dix jours plus tard, un matin, j’ai pu me tenir debout en m'appuyant à une chaise. J'ai crié de joie : "Maman, viens voir, je peux tenir debout ! "Ma belle-mère m’a prêté une canne de marche. Avec ce soutien, j’ai essayé d’avancer. Pas à pas, j'ai pu marcher ! Notre maison a six pièces. Je suis passée de l’une à l’autre. J’ai jeté la canne et suis revenue sur mes pas. J’étais si heureuse que j’allais et venais.
Ma belle-mère et moi, étions si heureuses que nous avons fondu en larmes. Nous savions que notre grand Maître compatissant m’avait sauvé et que Dafa m’avait aidé à me tenir debout de nouveau !
Graduellement, j’ai récupéré et une nouvelle chair s'est développée sur ma jambe. Non seulement le Maître m’avait sauvé, mais il avait de plus soulagé toute ma famille ! Une fois que ma famille et mes amis ont appris ce qui m’était arrivé, ils sont tous venus me voir. Je leur ai parlé de mon expérience. Tous ont pensé que Dafa est miraculeux. Ils savaient aussi que Dafa est bon. Beaucoup d’entre eux ont quitté le PCC et ont commencé à réciter sincèrement : "Falun Dafa Hao, Zhen-Shan-Ren Hao [Falun Dafa est bon, Authenticité-Compassion-Tolérance est bon.] "
Je suis retournée travailler. J’ai raconté mon histoire au directeur et aux ouvriers de l’usine. Ils ont été très touchés et ont déclaré : " Wow, Falun Dafa est réellement aussi bon et magique ! " Certains ouvriers m’ont demandé les livres de Dafa. Je ne me disputais jamais ni n'entrais en compétition pour un gain personnel dans l’usine et effectuais toutes les tâches que le chef m’assignait. Le directeur et les ouvriers de l’usine ont tous dit : "Regardez-la. Elle accomplit tout le travail qui lui est assigné. Rien d’étonnant, elle est une pratiquante de Falun Gong ! Si nous voulons être de bonnes personnes, nous devons apprendre d’elle. Accomplissons simplement toutes les tâches qui nous seront assignées. Est-ce d’accord ? " Tous ont acquiescé. Dans le passé, des querelles se produisaient sans cesse parmi les ouvriers de l’usine en raisons de l'injustice des tâches assignées. Depuis, il n'y a plus eu aucune dispute. Chacun s’entend bien les autres. L’usine entière a changé.
Le directeur de l’usine me soutient beaucoup dans ma clarification des faits. Chaque semaine, j’emmène des documents expliquant les faits et les distribue aux ouvriers présents. Chaque atelier est décoré avec un calendrier de clarification des faits. Lorsque les documents révélant la vraie nature du PCC pervers sont prêts, je les emmène à l’usine et dis à chacun : "Venez jeter un coup d’œil ! C'est le PCC qui est la secte perverse. " Le directeur de l’usine dit : "Prenons une pause et écoutons-la lire pour nous. Venez tous écouter." Après m’avoir écouté lire, chacun sait ce qu’est le PCC. La plupart ont quitté le PCC et ses organisations affiliées après avoir appris la vérité. Le directeur de l’usine a commenté : " Les retours économiques de notre usine sont bons cette année. J’ai aussi bénéficié de Dafa. Certaines personnes qui me devaient de l’argent depuis une dizaine d’années me l’ont rendu cette année, sans que je le leur demande. Je pensais qu’ils ne me rembourseraient pas. C’est ma chance après avoir cru en Dafa. Je soutiendrai Dafa pour toujours. "
Je vais continuer à être une bonne personne, une personne encore meilleure et j'aiderai à sauver davantage de gens. Je ne décevrai pas le salut compatissant du Maître. J’honorerai mes voeux historiques et deviendrai une disciple authentique du Maître.
Traduit de l'anglais :
http://en.minghui.org/html/articles/2013/2/25/138254.html
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.
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