Je suis médecin chef en médecine interne et pratique la médecine depuis plus de trente ans. Depuis que j’ai commencé à travailler, j’ai été occupée chaque jour à examiner des patients et à prescrire des médicaments. Qui pourrait imaginer que j'ai moi aussi dû lutter avec des maladies douloureuses ?
J’avais une étrange maladie depuis l’enfance, qui me faisait développer de la fièvre deux à trois fois par an sans raison explicite. Chaque fois, j’avais besoin de plusieurs jours de perfusions et d’antibiotiques. Même après être devenue médecin, ma condition ne s’était pas améliorée. Adolescente, j’ai commencé à souffrir de maux de têtes angioneurotiques et devais éviter l’exposition au soleil. Si je sortais pour le travail ou faire quoique que ce soit d’autre, une fois rentrée à la maison je dépendais des analgésiques que j’achetais une bouteille après l’autre. J’avais aussi de l’arthrite, et la douleur dans mes articulations et mes muscles ne me laissait pas même un jour de confort. Plusieurs maux des transports limitaient mes déplacements. Pour traiter ces conditions, j’ai tout essayé des médecines occidentales et chinoises au qigong. J’ai même eu une thérapie utilisant le venin d’abeille pour traiter mes articulations souffrantes. Au lieu d’aller mieux, j’ai eu une forte fièvre pendant trois jours, et mes articulations m’ont fait encore plus mal. À ce moment, je me posais des questions majeures sur la vie, comme d’où venaient les êtres humains et où ils allaient. Pourquoi l’homme souffrait-il ? La science de nos jours étant si avancée, avec un équipement médical de si haute précision, pourquoi les humains souffraient-ils encore de si nombreuses maladies ? Et pourquoi plus nous soignons, plus de maladies apparaissent ? le nombre sans cesse croissant de médecins et de lits d’hôpitaux ne peuvent toujours pas satisfaire le besoin des soins de santé. Et il y a encore tant de maladies incurables. Même les maux de tête ordinaires, l’arthrite, l’asthme et la pharyngite chronique ne peuvent pas être éliminés radicalement. Pourquoi ?
Ma sœur m’a donné une copie du livre Zhuan Falun en 1996. À l’époque, je n’avais pas beaucoup d’espoir d’être guérie, et ne le lisais que petit peu par petit peu. Je savais seulement que le livre enseigne aux gens à être bons et à ne pas commettre de mauvaises actions. Avant que je puisse terminer le livre et me mettre à apprendre les exercices, le désastre s’est abattu. Mon mari a développé une maladie grave et a été hospitalisé. En conséquence, je suis devenue extrêmement occupée. Je devais travailler et prendre soin de mon mari et de mon enfant, qui allait au collège. Ainsi, le précieux livre est resté intouché à la maison pendant presque deux ans, jusqu’à mai 1998, lorsque j’ai rejoint les rangs des pratiquants de Falun Gong dans le but de guérir mes maladies.
Je n’avais aucun esprit de recherche et au départ ne m’attendais pas à ce que le Falun Gong puisse me guérir. J’étudiais juste le Fa lorsque j’en avais le temps, et prenais part au groupe d’exercices chaque jour. À travers une étude continuelle, j’ai graduellement compris que Falun Dafa est le Fa de Bouddha, Falun Dafa enseigne aux gens à cultiver, et il n’y a rien que le Fa de Bouddha ne puisse faire. Les réponses à toutes mes questions ont trouvé leurs réponses dans Falun Gong. J’ai ensuite strictement suivi le critère de xinxing établi par Dafa en toute choses. J’exigeais de moi de " ne pas rendre les coups pour les coups et de ne pas répondre aux insultes," d’avoir de la considération pour autrui dans tout ce que je faisais, de chercher les raisons en moi-même à l’apparition de problèmes, de cultiver mon xinxing et de veiller à ma vertu. Petit à petit, j’ai réalisé que ma tête ne me faisais plus mal, et mes articulations non plus. J’ai aujourd’hui l’impression de marcher dans l’air tant mes jambes semblent légères. Tout mon corps est détendu. Dans le passé, j’étais toujours maigre et faible mais j’ai aujourd’hui un bon appétit. Je mesure 1mètre soixante et mon poids a augmenté de 40 à 60 kilos. J’ai vraiment fait l’expérience de l’état de légèreté quand on a aucune maladie.
Après avoir commencé à cultiver, j’ai eu plusieurs sévères accès de maladie, avant qu’ils ne disparaissent tout à coup. Dans le passé, je vomissais même sur un trajet de quelques kilomètres en bus. À présent, je peux voyager confortablement. Toutes ces années je n’ai plus jamais eu de fièvre. Bien sûr, sur le chemin, j’ai dû passer plusieurs grands tests y compris de karma de maladie. Guidée par le Fa de haut niveau, je n’ai pas pris ne serait-ce qu’un comprimé, et les symptômes n’ont pas tardé à disparaître.
Si vous voulez une bonne santé, et la longévité, lisez Zhuan Falun. Si vous apprenez tranquillement le Falun Gong, vous aurez d’agréables surprises.
Traduit de l’anglais
http://en.minghui.org/html/articles/2013/2/25/138254.html
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