Assumer notre mission et accomplir nos serments- nous sommes des disciples de Dafa pleins de compassion et de dignité solennelle (1ère partie)

Bonjour Maître, bonjour compagnons de pratique !

Je suis une pratiquante chinoise qui vient juste d’arriver cette année aux États-Unis. J’ai 66 ans et j’ai obtenu le Fa en 1998. Cela fait 13 ans que je fais ma cultivation sous la protection compatissante du Maître et j’ai beaucoup de choses à partager.

Étudier le Fa avec diligence, s'immerger dans le Fa et vivre sa mission.

Maître nous a dit dans ‘Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi en Floride aux Etats-Unis’ :

"Aussi rude que soit votre environnement, aussi occupés que vous soyez, vous ne pouvez oublier d'apprendre la Loi, il faut absolument apprendre la Loi, car c'est la garantie la plus fondamentale la plus fondamentale de votre élévation".

Ma compréhension est que les actions droites dépendent des pensée droites, et que les pensées droites viennent du Fa (Loi) . En tant que disciples de Dafa, nous ne pouvons bien marcher sur notre chemin de pratiquant arrangé par le Maître que si nous étudions bien le Fa. C’est seulement à travers l’étude du Fa que nous pouvons découvrir nos notions humaines et nos attachements et nous en débarrasser à travers tests et tribulations. Seulement alors nous pouvons montrer notre compassion et notre harmonie aux êtres attendant d’être sauvés.

Le Maître veut que nous étudions le Fa en groupe. Alors, peu importe la difficulté de notre environnement , notre étude en groupe du Fa n’a jamais cessé. Plus nous étudiions le Fa et plus nous avions plaisir à l'étudier, et plus nos pensées droites étaient renforcées et plus nous sentions que notre responsabilité était grande. Nous partagions aussi nos expériences d'étude et de cultivation et nous nous améliorions ensemble.

Il y avait une pratiquante de 82 ans dans notre groupe d’étude du Fa. Elle étudiait le Fa l’aprés-midi et allait ensuite dans les grands supermarchés et grands magasins pour sauver les êtres. Elle s’asseyait en général dans la salle d’attente pour les clients et parlait aux gens qui étaient là. Ces gens quittaient le Parti communiste chinois (PCC) et ses organisations affiliées aprés avoir entendu la vérité. Elle pouvait convaincre une dizaine, voire plusieurs dizaines de personnes par jour de quitter le PCC; et la plupart le faisaient sous leur vrai nom. Lorsqu’elle a partagé son expérience avec nous, beaucoup de pratiquants ont été émus aux larmes par sa compassion.

Lorsque nous sortions, que ce soit en attendant le bus, pendant le trajet, ou en faisant les courses, toutes les personnes que nous rencontrions étaient des personnes prédestinées à sauver. Où que nous allions, nous clarifions la Loi et nous sauvions les êtres.

Nous sommes des disciples de Dafa emplis de compassion et de dignité solanelle.

1. Regarder à l’intérieur et prendre le Fa pour Maître

En 2007, j’ai été enlevée et enfermée dans un centre de détention. Je me suis souvenue du poème de Maître :

‘Ne soyez pas triste’:

“Votre corps se trouve en prison – ne soyez pas affligé, ne soyez pas triste
Avec des pensées justes et des actions justes, la Loi est là
Réfléchissez calmement
Combien d'attachements avez-vous encore
En abandonnant la mentalité humaine,
la perversité disparaît naturellement»
( "Hong Yin II ")

J’ai regardé en moi-même et j’ai pu voir quels étaient mes attachements. Ma maison est un lieu où l’on fabrique du matériel de clarification et tous les pratiquants du coin utilisent ce matériel que je produis. Si d’autres pratiquants ont du temps, ils viennent m’aider à en faire plus. Mais plus on avait besoin de matériel et moins j’avais le temps d’étudier le Fa. D’autres pratiquants dépendaient de moi aussi. J’ai alors développé un attachement à faire les choses, à copier les autres, à être absorbé par ce que je faisais, à vouloir me mettre en valeur et à me valider. La cultivation est une chose sérieuse et les forces anciennes ont pris avantage de mes faiblesses.

Maître a enseigné:

“En tant que disciples de Dafa dans cette société, quel que soit l’environnement où vous êtes et quel que soit le coin de la société où vous vous trouvez, vous jouez toujours un rôle positif. Que vous clarifiiez la vérité et validiez la Loi, ou que vous ne soyez pas directement en train de faire un travail pour Dafa, vous êtes toujours en train de sauver les êtres et vous jouez toujours un rôle immense, (applaudissements) car le champ de votre pensée droite et de votre compassion jouent ce rôle positif.

Après m’être comparée au Fa, mes pensées droites se sont renforcées et j’ai trouvé mon attachement fondamental. J’ai alors eu la pensée que je devais me relever immédiatement aprés avoir chuté. Je suis une disciple de Dafa de la période de la rectification de Fa et j’ai une mission sacrée à remplir. Je ne peux pas oublier mes responsabilités, et ce quel que soit l’environnement dans lequel je me trouve. Je ferai ce que le Maître veut que je fasse. À partir de ce moment jusqu’à ce que je sois relâchée, j’ai prêté attention à toutes mes pensées et j’ai regardé à l’intérieur à tout moment pour détecter toute pensée qui n'était pas droite. Avant d’agir, je considère si mon action est vraiment pour valider le Fa ou si des intentions de me valider moi-même y sont mêlées. Si je détecte des pensées pas trés droites, je les élimine immédiatement et je me corrige moi-même. J'étais décidée à marcher avec détermination sur mon chemin en me basant sur le Fa.

2.Valider Dafa au centre de détention a choqué et sidéré les forces anciennes

Peu de temps après mon arrivée au centre de détention, j’ai utilisé les menottes que j’avais aux poignets pour écrire sur les murs: "Falun Dafa est bon", "Falun Dafa est le Fa juste" et "Le Fa rectifie l’univers, les forces anciennes sont complètement éliminées " À chaque interrogatoire, je regardais les mots inscrits sur le mur et réparais ceux qui avaient été endommagés. Pendant les 11 mois de ma détention, j’ai pris soin de ces mots. Certaines prisonnières disaient après un interrogatoire : "Il y a ‘Falun Dafa est bon’ écrit sur le mur". Il y avait aussi des miracles qui se produisaient lorsque j’écrivais. Quand je voulais que quelqu’un parte ou se détourne, et bien ils partaient ou se détournaient ou bien ils allaient répondre au téléphone.

Au centre de détention, j’ai été capable d’envoyer les pensées droites aux heures habituelles et de faire les cinq exercices. Les autres détenues travaillant la nuit me réveillaient à minuit pour émettre la pensée droite, ainsi qu’à 3h50 du matin pour faire les exercices. J’ai pu maintenir ce rythme tous les jours pendant mes 11 mois de détention.

Un matin, une jeune gardienne m’a vu faire mes exercices à travers la fenêtre de controle. Elle a alors crié à travers le haut-parleur: "Arrêtes tes exercices et va au lit". Cela ne m’a pas affecté et j’ai continué mes exercices. Elle m’a dénoncé à la directrice le lendemain. Mais la directrice a répliqué: "Cette vieille femme est comme ça depuis qu’elle est arrivée ici, vous n’avez pas besoin de vous occuper d’elle ".

Il y avait un grand nombre de prisonnières entrant et sortant du centre de détention. Quand une nouvelle personne arrivait, j’essayais de la sauver. Quatre personnes ont ainsi obtenu le Fa. Tous les jours, elles envoyaient la pensée droite et récitaient Hong Yin avec moi. Lorsqu’il y avait une nouvelle arrivée , elles allaient volontairement lui clarifier la vérité car elles-mêmes avaient vécu des miracles. J’ai profondément ressenti que si les pratiquants ont la volonté, le Maître établit la fondation pour nous et que tout est fait par le Maître.

Dans notre cellule, il y avait une jeune femme qui souffrait d'une grave arthrite. La douleur était intolérable. La nuit, elle prenait des sous-vêtements pour envelopper ses jambes et les tenir au chaud afin de pouvoir dormir. Une nuit, dans son sommeil, une voix lui a dit : " Quelqu’un va t’aider ". Elle a ouvert les yeux et m’a vue en train de faire les exercices. Elle s’est écriée : " Ah! C’est la personne qui va m’aider!". Et elle s’est mise à pleurer. Je lui ai dit: "C’est le Maître qui vous a donné une indication". Elle m'a dit : "J’y crois vraiment maintenant. S’il vous plaît, aidez-moi!" . La nuit suivante, elle n’a pas enveloppé ses jambes et n’a pas eu mal. À partir de ce moment, son arthrite a disparu dans laisser de trace. Alors, chaque fois qu’elle rencontrait quelqu’un, elle racontait son histoire. Elle était vraiment sincère envers Dafa.

Il y avait une vieille dame qui vendait des drogues contrefaites. Au printemps, lorsque le chauffage a été coupé, elle avait tellement froid qu’elle en tremblait. Elle portait un pull à l’intérieur et un manteau chaud dehors mais elle avait encore froid. Elle pleurait tous les jours. Je lui ai clarifié la vérité. Aprés avoir connu Dafa, elle a voulu en savoir plus. Tous les jours elle récitait les écrits et les poèmes du Maître avec moi. Un jour, elle a soudainement senti un Falun tourner à l’intérieur de son corps, sur son dos et ses épaules. Une chaleur a traversé son corps. Elle a eu chaud et a enlevé son manteau. Elle dit aux gens dans la pièce: "Le Maître prend soin de moi. Je n’ai plus froid". Avec des larmes dans les yeux, elle a dit: "J’ai vendu des drogues contrefaites alors j’ai accumulé beaucoup de karma. C’est pourquoi j’ai été arrêtée. J’ai été battue brutalement, mais tout cela valait la peine car j’ai obtenu le Fa ici. Je dois pratiquer avec diligence quand je sortirai d’ici". Quelques jours plus tard, elle a été relâchée. J’étais très heureuse pour elle.

Un jour, des filles sourdes et muettes ont été arrêtées pour vol. Je leur ai clarifié la vérité par gestes et par écrit. Après m’avoir comprise, elles ont toutes quitté le PCC et ses organisations affiliées. Je les ai également encouragées à demander à leurs parents de démissionner lorsqu’elles seraient relâchées. L’une d’elle a été relâchée 20 jours plus tard. Lorsque le policier est venu la chercher, elle a crié dans ma direction : ‘ Falun Dafa Hao' (Falun Dafa est bon) . Même si elle ne pouvait pas prononcer les mots correctement, on pouvait la comprendre. Nous nous sommes regardées en souriant.

Chaque soir, les prisonnières qui partageaient ma cellule s’asseyaient en rang pour chanter des chansons de Dafa telles que: “Sois sauvé,” “Chercher la vérité,” “Maître, merci,” et “Venus pour vous.” Nos chants s’entendaient dans tout le corridor. Quelquefois, lorque nous avions fini de chanter, on entendait de la musique pop sortir d’autres cellules. Alors, nous reprenions nos chants.

Avant d’être transférée à la prison depuis le centre où j’étais détenue, j’ai décidé que je devais finir de faire tout ce que j’avais à faire en ce lieu pour partir sans regret. J’ai décidé que je crierai ‘Falun Dafa est bon’ de tout mon coeur pour encourager les pratiquantes dans la prison. Maître voit les coeurs de ses disciples et le miracle est arrivé.

Tous les matins à huit heures, les haut-parleurs se mettaient en marche et les prisonnières commençaient à taper des pieds et à réciter les règlements de la prison. Mais le jour où je devais quitter le centre, il était déjà 8h 30 et on n’avait pas encore entendu les haut-parleurs. Les policiers m’ont sortie de la cellule. J’ai alors couru jusqu’au fond du corridor en criant " Falun Dafa est bon!", " Vérité-compassion-tolérance est bon ", "Falun Dafa est bon!, Le monde entier le sait!", "Falun Dafa est le Fa juste", et "Falun Dafa est victime de la propagande ". Je criais sans arrêt et toutes les personnes enfermées dans les cellules regardaient. Les gardiennes ne savaient pas quoi faire. Une fois dans la voiture, la gardienne responsable a demandé aux autres qui était de service aujourd’hui et pourquoi les haut-parleurs ne marchaient pas? Les autres ont dit "Oui, Que s'est-il passé? Regardez, elle a réussi à crier si fort ".

(à suivre)

http://www.zhengjian.org/node/111828

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