La mission diabolique du service correctionnel de Jiamusi : Éducation et correction par la force et la torture

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La mission des policiers au service correctionnel de Jiamusi s’intitule: « éducation et correction à l'aide des instruments de torture. Incinérez les personnes qui refuseront de se conformer. » Motivés par cette devise, ils torturent les pratiquants du Falun Gong sans retenue. Leurs méthodes sont extrêmement cruelles. Par exemple ils attachent des pratiquants à un lit de torture, ou ils forcent des pratiquants à s'asseoir en hiver sur une chaise en métal sur laquelle ils verseront de l’eau froide.

Des pratiquants sont forcés de s'asseoir sur des rouleaux de fils électrique. De petits carrés fait de caoutchouc placés au sommet des rouleaux, aussi nommés « petites chaises », s’impriment dans la chaire de la victime après qu’il ou elle se soit assis dessus pendant deux jours. Des pratiquants sont menottés pendant des semaines voire des mois à la suite, électrocutés avec des bâtons électriques, ou se font bourrer la bouche avec des bandes ou des chaussettes. Ils sont privés de sommeil ou battus et abusés par des prisonniers criminels. Des criminels ayant participés aux abus sont Du Hongjun, Yu Haiyang, Liang Jingui, Qiu Hongbin, Li Xiang, Li Wenbo, etc...

Afin de torturer les pratiquants de Falun Gong, Jiang a fait construire de nouveaux bâtiments et installer des équipements permettant d’assurer une surveillance des pratiquants 24 heures sur 24. Le niveau de surveillance des pratiquants du Falun Gong est bien plus strict que dans les autres secteurs, même lorsqu’on le compare à celui des quartiers des condamnés à mort. Les policiers se sentent libres de torturer physiquement les pratiquants sans aucune retenue. Les policiers, sarcastiques, disent souvent « poursuivez-moi en justice si vous osez! »

L'année dernière, quand les policiers torturaient des pratiquants du Falun Gong, du sang a éclaboussé les murs. Les cris perçants remplis de douleurs et les scènes cruelles ont effrayé à tel point un prisonnier criminel âgé de 17 ans qu’il est depuis lors devenu mentalement dérangé, criant souvent d’une voix effrayée.

Il y a deux ans, le pratiquant de Falun Gong Shao Dianyin a eu les côtes cassées lors d’une séance ou il s’est fait cogner. À ce moment-là, il était enfermé dans une petite cellule et attaché à une chaise en métal. Les bandits qui l'ont torturé étaient des prisonniers communs désignés par les policiers. Parmi eux se trouvaient Du Hongjun, Liang Jingui, et Li Xiang. C’est Lui Hongguong, le chef de ce groupe de policiers qui les avait sélectionnés. Après avoir été torturé, Shao Dianyin a vomi chaque jour et il est aujourd’hui encore très faible.

Le pratiquant de Falun Gong Hou Zhiqiang est souvent maudit et battu. Qiu Hongbin menotte souvent Hou Zhiqiang à un lit ou à une chaise en métal et le bat. Il a bourré la bouche de Hou de chaussettes sales et même d’un chiffon sale employé pour nettoyer une cuvette de toilette. Quand Hou a demandé à ce qu’un policier vienne, Qiu lui a collé du ruban adhésif sur la bouche, l’empêchant de s’exprimer. Suite à la torture, Hou Zhiqiang, souffre de graves problèmes de santé.

Cheng Xueshan a été enfermé dans une petite cellule, et a eu du sang dans son urine parce qu'il a été menotté au sol bétonné et froid pendant une semaine. Il a perdu la sensation de ses mains. Finalement il a été torturé jusqu'à ce qu'il ne puisse plus tolérer la nourriture. Maintenant il a un oedème généralisé. D’une manière globale, son état est extrêmement critique.

Hui Yuxin, de Wongjiang Gen, souffrait de paralysie sur tout un côté du corps. Il a éprouvé une amélioration évidente de son état après qu'il ait commencé à pratiquer le Falun Gong. Il a été illégalement envoyé dans un camp de travail pour deux années. Refusant de renoncer à sa croyance il a été torturé cruellement un grand nombre de fois, allant jusqu’à la limite de la mort. Le principal responsable est Yu Haiyang. Hui Yuxin aurait dû être libéré conditionnellement pour des raisons médicales mais en raison de son refus d’abandonner sa croyance, les policiers ne lui ont pas permis de quitter le camps de travail, prolongeant son temps d’emprisonnement et soumettant même cet homme handicapé à de durs labeurs.

Zheng Libin, qui avait précédemment été emprisonné dans le camp de travail de Beijing Tuanhe puis libéré le 17 avril 2003, a été de nouveau capturé et envoyé au camp de travail de Jiamusi par le commissariat de police de Jiamusi Xiangyang. Là, il a été illégalement admis par la présidente du département de contrôle, Xu Hengji, et il y a subi des tortures de manière continuelle. Quand Zheng Libin a essayé de raisonner le chef des policiers, Liu Hongguang, il a été menotté pendant plus de trois mois au sommier à ressorts métalliques d'un lit, à travers lequel des ressorts étaient à découverts. En conséquence sa colonne vertébrale s’est déformée. En outre, ses affaires personnelles ont été volées par Yu Haiyang, Qiu Hongbin et d'autres. Zheng Libin a été finalement libéré après 3 mois et 19 jours d’emprisonnement. Il a alors eu l'intention de poursuivre en justice le camp de travail et le département de police. Cependant, un commis de cour lui a dit d'aller d’abord à la maison et de commencer une procédure de poursuite judiciaire seulement plus tard, ajoutant que c’était également la décision de son supérieur.

Bien que Wang Yunqi ait été envoyé en traitement pour des soins médicaux en raison d'un anévrisme au cerveau, il fut plus tard renvoyé au camp de travail. Les policiers qui essaient de le forcer à se conformer l’obligent souvent à s'asseoir sur une chaise en métal ou un tabouret bas, l’empêchant ainsi de dormir.


Version chinoise disponible
http://www.minghui.org/mh/articles/2003/10/13/58799.html
Version anglaise :
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2003/10/27/41696p.html

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