Les pratiquants de Falun Gong de Russie sont principalement russes d’origine. En lisant les livres du Falun Gong traduits en russe et en apprenant les cinq séries d’exercices, ils sont pas à pas, l’un après l’autre, entrés sur le chemin de la
La persécution qui sévit en Chine
La persécution à grande échelle du Falun Gong a été lancée par l’ancien dirigeant du Parti communiste chinois (PCC) Jiang Zemin le 20 juillet 1999. Poussé par sa jalousie personnelle et la paranoïa, il a utilisé tous les moyens possibles et inimaginables pour obtenir et maintenir son pouvoir politique.
Le 7 juin 1999, Jiang dans un discours prononcé à un meeting du Politburo du Comité Central a fait une déclaration sur le fait de prendre des mesures urgentes pour « Gérer et résoudre le "problème du Falun Gong » Dans son discours, Jiang Zemin a parlé du début du Falun Gong et de sa grande popularité comme d’ « une lutte politique entre deux forces opposées à l’intérieur et à l’extérieur du pays et notre Parti luttant pour les masses et les positions. » Jiang Zemin a crié, menacé et écrit trois lettres pour fabriquer des mensonges comme moyen pour tromper tous les membres du Politburo du Comité central afin qu’ils approuvent sa décision personnelle de « réprimer le Falun Gong. » En octobre 1999, Jiang a publiquement diffamé le Falun Gong comme étant [mot diffamatoire omis] quand il a été interviewé par les médias lors de sa visite en France. Jiang a créé des « faits reconnus » falsifiés dans une tentative de tromper les médias internationaux et pour réduire au silence les voix opposantes à l’intérieur du gouvernement.
En juillet 1999, Jiang Zemin a ordonné au Ministère de la Sécurité Publique chinois de publier une ordonnance avec « Six activités interdites » (pour interdire aux pratiquants du Falun Gong de pratiquer les exercices et d’aller manifester à Beijing). Mais le Ministère de la Sécurité Publique chinois n’est pas une organisation de législation. Par conséquent, la notification des « Six activités interdites » est légalement invalide. En octobre la loi « Anti [mot diffamatoire omis] » annoncée par les députés du Congrès du Peuple ne peut étiqueter le Falun Gong de [mot diffamatoire omis]. En promulguant une loi, les législateurs peuvent seulement définir certains comportements comme un crime mais ils ne peuvent en aucun cas déclarer qu’une personne a commis un crime. C’est un jugement du tribunal qui peut stipuler si cette personne a commis un crime ou non, c’est le tribunal qui juge si il ou elle a violé la loi. En conséquence, la déclaration comme quoi le « Falun Gong est un [mot diffamatoire omis] » a été prononcé par Jiang Zemin et le Quotidien du Peuple, dont aucun des deux n’a autorité à légiférer. De ce fait un jugement juridique ne pouvait être basé sur leur déclaration
Néanmoins, Jiang Zemin n’a présenté aucune base ou raisonnement pour soutenir sa propre conclusion. Il n’a pas non plus pris en considération le fait que le Falun Gong est pacifique, rationnel et a considérablement amélioré le bien-être mental et physique de plus de 100 millions de personnes. Arbitrairement il a ordonné à tous les membres du Parti communiste, aux membres de la Ligue de la Jeunesse, aux fonctionnaires du gouvernement en service ou retraités, aux chefs des unités du parti et aux agences du gouvernement de cesser de pratiquer le Falun Gong et d’« idéologiquement se tenir à l’écart du Falun Gong. »
.Afin d’essayer d’amener les gouvernements étrangers à reconnaître et à aider la persécution du Falun Gong, Jiang Zemin est allé jusqu’à remettre personnellement des brochures aux chefs des gouvernements présents au Sommet Mondial afin de propager des mensonges et diaboliser le Falun Gong. Cependant la communauté internationale n’a montré aucune considération à son égard. Le soir du 18 novembre 1999, la Chambre des Représentants des USA a passé la H. Con Résolution 218 demandant au gouvernement chinois de mettre fin à la persécution du Falun Gong. Dans l’après midi du jour suivant, le Sénat a aussi passé la S. Res. 217 au contenu similaire.
En attendant, les pratiquants du Falun Gong chinois qui ont été étiquetés d’ «ennemis » du jour au lendemain, ainsi que les pratiquants du monde entier, ont unifié leurs efforts pour s’opposer à la persécution et ont graduellement formé un courant de puissance civile qui ne peut être ignoré ou détruit. Les voix de la communauté internationale réclamant justice et la détermination inébranlable des pratiquants en Chine et outremer ont fait clairement comprendre à Jiang Zemin qu'il ne pourrait jamais gagner son pari de « détruire le Falun Gong en trois mois. »
Jiang Zemin cherche un soutien international pour la persécution
Dans de telles circonstances, Jiang Zemin s'est tourné vers les pays dont la situation des droits de l’homme est déplorable ou ceux qui peuvent être soudoyés par des intérêts économiques. La Russie qui a une frontière avec la Chine en fait partie.
Le 6 juillet 2001, Jiang Zemin a eu un entretien secret avec le Président russe Yeltsin. Jiang a secrètement « représenté » la Chine et signé le Traité de bon voisinage et de coopération entre la Chine et la Russie entre la République populaire de Chine et la Fédération de Russie. Le traité devait entrer en vigueur le 28 février 2002. L’article 8 du traité stipule :
Les parties contractantes n'entreront dans aucune alliance ou ne feront parties d’aucun bloc ni ne s'embarqueront dans de telle action, y compris la signature d'un tel traité avec un pays tiers qui pourrait compromettre la souveraineté, sécurité et intégrité territoriale de l'autre partie contractante. Ni l'un ni l'autre partie contractante ne permettra que son territoire soit utilisé par un pays tiers et devienne une menace pour la souveraineté nationale, la sécurité et l'intégrité territoriale de l'autre partie contractante.
Ni l'une ni l'autre partie contractante ne permettra l'établissement d’organisations ou de gangs sur son propre sol qui pourraient altérer la souveraineté, la sécurité et l'intégrité territoriale de l'autre partie contractante et leurs activités devraient être interdites. »
Depuis lors, Jiang Zemin a employé le système gouvernemental chinois pour soudoyer la Russie avec des intérêts économiques. En particulier, le Ministère des Affaires Etrangères de la Chine, les ambassades et les consulats utilisent souvent l’article 8 pour forcer le gouvernement russe et son Ministère des Affaires étrangères à réprimer le Falun Gong. D'une part, les agents secrets du Parti communiste chinois font circuler des dépliants à différentes occasions pour diffamer et calomnier le Falun Gong. D'autre part, les ambassades et les consulats continuent à prendre des mesures diplomatiques afin d’influencer le Ministère des Affaires Etrangères russe. Parfois ils faxent même directement ou appellent les unités concernées. L'excuse qu'ils donnent est : Le Falun Gong a été étiqueté de [mot diffamatoire omis] et d’organisation [mot diffamatoire omis], et le gouvernement russe devrait empêcher les activités tenues par Falun Gong en Russie basée sur l'article 8 du traité.
Mû par ses propres intérêts et facteurs politiques, le Ministère des Affaires Etrangères russe et le Département de Sécurité ont apparemment cédé à la pression de PCC. De cette façon, la Russie espère maintenir ses relations avec la Chine ainsi que son « association stratégique » et « partenariat commercial. » Les médias russes ont rarement rapporté les faits sur le Falun Gong; les déclarations faites par certains responsables russes ont fait basculer la balance du côté de la Chine. L'attitude de la Russie envers la Chine peut se voir dans sa coopération avec la Chine pour mettre en place des pipelines..
Qu’ont fait les Agences du gouvernement russe pour consentir à la persécution depuis 2005 ? Le Centre d’Association de Falun Dafa d’Irkoutsk en Russie est le centre le plus près de la Chine. Le personnel qui travaille pour les agences du gouvernement russe interfère dans les activités des pratiquants de Dafa quand ils clarifient la vérité, et parfois ils les surveillent et même les menacent.
Les pratiquants de Dafa de St Petersburg ont déposé une plainte contre Chen Yichu, le diplomate en chef de l’Ambassade de Chine à St Petersburg. Mais le tribunal de St Petersburg a refusé d’accepter la plainte parce que Chen déclare avoir l’immunité diplomatique. Le gouvernement local de St Petersburg a refusé aux pratiquants du Falun Gong l’autorisation de faire des démonstrations pacifiques en face du consulat chinois.
Récemment les pratiquants de Dafa de Moscou ont demandé à plusieurs gouvernements locaux l’autorisation de manifester pacifiquement en face de l’ambassade de Chine. Mais la demande a été rejetée par 4 gouvernements locaux. Dans le passé, la demande avait été rejetée quelques fois, mais les gouvernements locaux traitaient avec nous de façon amicale. Mais les situations récente sont apparues différentes. Les lettres de refus des gouvernements locaux aux pratiquants de Dafa citaient l’Article 8 du traité signé par Jiang Zemin et Yeltsin comme leur raison de refuser la permission aux pratiquants.
En outre, le bureau de l’immigration russe a récemment refusé officiellement un visa à plusieurs pratiquants de Dafa. Le bureau de l’immigration a dit au tribunal que le Département avait un « soi disant » document en rapport avec le traité signé par la RPC et la Russie.
Les pratiquants de Falun Dafa russes pensent que les agents du gouvernement russe utilisent le Traité de bon voisinage et de coopération entre la République populaire de Chine et la Fédération de Russie comme excuse pour limiter les activités du Falun Gong. Ce que les agents du gouvernement russe ont fait va à l’encontre de la constitution russe, des droits de l’homme, de la moralité et la conscience et parfois empiète sur la vie privée des citoyens russes et étrangers.
Le traité signé par la RPC et la Russie (particulièrement l’article 8) viole la loi russe et ternit l’image de la Russie en tant que pays indépendant souverain et démocratique. L’article 8 mentionné plus haut implique que le comportement du gouvernement russe a restreint la démocratie russe et les libertés civiles et trompé beaucoup de citoyens russes.
Ce que les agents russes ont fait contre les pratiquants du Falun Gong russes
Tout d’abord ces dernières années, le PCC a envoyé de nombreux agents secrets sous le prétexte de relations commerciales et d’études de marché.
Depuis 2003, le nombre d'étudiants préparant une licence et les étudiants licenciés envoyés par le PCC en Russie a considérablement augmenté. De ce que nous savons, l'Université de Moscou et l'Université de l'amitié du Peuple ont le plus grand nombre d’étudiants étrangers venant de Chine. Le PCC a fait en sorte qu’il y ait un « directeur » dans chaque département afin de surveiller spécifiquement les étudiants chinois d'outre-mer. Quand les pratiquants de Dafa ont visité les deux universités afin de distribuer du matériel clarifiant les faits à propos de Dafa, souvent des étudiants rapportaient cela à leur « directeur. » Les agents secrets ont également des espions parmi les étudiants qui surveillent leurs camarades de classe. Le personnel de l'ambassade chinoise a également invité les pratiquants de Dafa (qui sont des étudiants d'outre-mer) à un repas afin d’établir une relation.
En second lieu, Selon des sources fiables, le PCC a également envoyé les agents secrets dans les délégations pour rassembler des renseignements. De plus, les agents secrets se déguisent en hommes d'affaires pour se mélanger avec les Chinois d'outre-mer en Russie. Certains des agents secrets font partis de l'intelligence militaire du PCC.
Selon des pratiquants vétérans chinois d’outre mer, pendant les vacances du Nouvel An chinois de 2003, le PCC a invité quelques chinois d’outremer à rentrer en Chine pour un « meeting ». De retour en Russie ils ont formé l’« Association anti-[mot diffamatoire omis] » et l’ « Association pour le soutien de la réunification des liens ». Les chefs de ces associations collectaient directement les soi-disant « Renseignements du Falun Gong » et ont commis de mauvaises actions pour interférer contre les pratiquants du Falun Gong russes. Le chef de l’ « Association anti [mot diffamatoire omis] a ouvertement interféré pendant des activités pacifiques organisées par des pratiquants de Dafa et a menacé les pratiquants de nationalité chinoise.
En outre, le site Web de Falun Dafa Minghui/Clearwisdom a reçu une liste en 2006, indiquant que le Ministère de la Sécurité Publique chinois a de nouveau formé secrètement un groupe de personnes. Ces personnes choisies allaient recevoir prochainement une formation linguistique intensive et seraient envoyées outre-mer. Ces personnes ont été choisies dans le système public de sécurité de chaque province. Leurs activités ont été gardées secretes et elles n'ont pas dit un mot sur leurs activités à leur famille. La formation linguistique incluait l’anglais et le russe Les membres qui ont participé à la formation en langue russe, avec leur titre et unité de travail sont les suivants :
1. Lin Xueyong--Deputy Commandant en chef Bureau de contrôle frontalière de la province de Heilongjiang
2. Zhang Guicai--Chef de la Station d’inspection des frontières de Hulin du Bureau de contrôle des frontières de la province de Heilongjiang
3. Hao Yingnan—Membre du personnel du Bureau de la Sécurité publique de la ville de Harbin dans la province de Heilongjiang
4. Li Ming—Chef de section département d’entrée et sortie du Bureau de la sécurité publique de la province de Heilongjiang
5. Zheng Zhongyuan—Membre du personnel département administratif pour les entrées et sortie sdu Bureau de la sécurité publique de la province de Heilongjiang
6. Yuan Jinbao—Officier membre de la Station d’Inspection des frontières du Bureau de contrôle de la frontière de Manzhouli en Mongolie intérieure.
7. Wang Dayong—Chef adjoint de la Station d’inspection de la frontière de Qingdao du Bureau e contrôle des frontieres de la province de Shandong
8. Feng Xiguang—Secrétaire du Comité de discipline de la Sécurité publique de la région de Xinjiang
9. Li Xingang--Chef de la Section de protection nationale du Département de la Sécurité publique de la région autonome de Xinjiang
10. Cai Zhixiong—Chef adjoint du département pour les entrées et sorti du bureau de la sécurité publique de Nanjing dans la province Jiangsu
11. Jiao Wei--Deputy Commandant de la Section de la protection nationale du département de police de Xicheng à Beijing
12. Guo Feng—Membre du personnel du Département administrative des entrées et sorties du Département de Police de Haidan à Beijing
13. Wang Xinnian—4ème équipe pour l’aide à l’enquête criminelle du Département e police de la ville de Tianjin
14. Hu Juntang-- Chef de la sous station du département de police de la ville de Changchun dans la province de Jilin
15. Sun Guoen—Personnel du Bureau de la sécurité publique de la ville de dans la province de Julin
16. Liu Baoyou--Chef de l’équipe d’investigation criminelle de la sous station de Nanguan du département de police de la ville de Changchun dans la ^province de Jilin
Troisièmement ces dernières années, les fonctionnaires de l’Ambassade de Chine chargés de la persécution ont continuellement surveillé et harcelé les pratiquants du Falun Gong qui vivent en Russie.
Par exemple depuis le 20 juillet 1999 (date à laquelle la persécution a commencé) les fonctionnaires de l’Ambassade de Chine n’ont pas cessé d’appeler un vieux couple lui demandant d’abandonner la pratique du Falun Gong. Le couple a dit aux fonctionnaires que le Falun Gong est bon et qu’il les avait guéris de plusieurs maladies, qu’ils jouissaient d’une bonne santé physique et mentale et n’étaient pas influençables. Quand les fonctionnaires chinois ont réalisé qu’ils restaient fermes à leur croyance et qu’ils ne pouvaient pas les forcer à y renoncer ils ont commencé à surveiller et à mettre le couple sur écoute.
En outre, les agents secrets de la Sécurité d'état Du PCC ont mené une soi-disant « enquête » parmi les parents, camarades de classe, collègues du vieux couple et dans leurs anciennes unités de travail. Les agents secrets continuent d’ envoyer des informations fausses à la police russe comme quoi le couple sont les « chefs d'une certaine organisation terroriste, » et propagent des rumeurs diffamatoires contre le couple. Les agents secrets ont même menacé d'extrader vers la Chine, le vieux couple qui réside en Russie depuis très longtemps tout en gardant leurs passeports chinois.
Le Ministère des Affaires Etrangères russe et le Département de la Sécurité continuent à surveiller et à harceler les pratiquants de nationalité chinoise. Basé sur cela et sur les informations fournies par le consulat et l'ambassade chinois, on peut penser que le CCP a remis à la Russie une « liste noire, » avec les noms des pratiquants chinois et des pratiquants de nationalité étrangère en Russie. En 2004, la douane russe a refusé l’entrée en territoire russe à un pratiquant suédois du nom de Sven alors que le PCC interdisait l’entrée en territoire chinois à la pratiquante russe Nachia, son mari et ses enfants. Le commissariat de police russe a à plusieurs reprise ajourné la demande d’autorisation de permis de résidence et a ajourné ou rejeté les demandes d’asile politique à plusieurs pratiquants du Falun Gong. Voilà quelques exemples d’interférences avec les pratiquants du Falun Gong russes.
Quatrièmement les agents secrets travaillant pour le consulat et ambassade du PCC paient certains Russes et Chinois afin qu’ils espionnent les activités des pratiquants par tous les moyens possibles.
Une personne se disant journaliste d’un journal de Hong Kong est souvent venue assister à toutes sortes d'expositions, conférences et activités tenues par les pratiquants, même sans être invitée. Il s’intéressait particulièrement à ces activités. Même à des dates sensibles comme les appelle le PCC, il appelait les pratiquants pour leur demander des informations sur des activités et parfois même invitait un pratiquant seul à dîner au restaurant.
Parfois, on voyait le personnel de l’ambassade entrain de prendre des photos des pratiquants sur les points de pratique à Moscou. Ils paient aussi des Chinois ou des Russes pour espionner les pratiquants particulièrement les pratiquants de nationalité chinoise.
Pendant les vacances d'été de 2004, une pratiquante de Dafa a accompagné sa fille à Dalian, en Chine. Le deuxième jour de son arrivée, les agents secrets de la sécurité d'état l’ont appelée pour avoir un entretien. Les agents secrets ont essayé à la fois de la menacer et de la séduire pour lui soutirer des informations sur les activités de Dafa en Russie et parfois ils ont même nommé certains pratiquants vétérans de Russie pour avoir des renseignements sur eux. Les agents secrets ont dit, «nous sommes bien informés sur votre situation en Russie. » Ils savaient où et quand les pratiquants de Russie se rassemblent pour pratiquer ou étudier la Loi, et quand les pratiquants se réunissaient chez eux pour fabriquer des banderoles et des panneaux d’information. Chaque semaine les praticiens chinois en Russie se réunissent dans la maison d’un pratiquant pour étudier la Loi et les pratiquants ont découvert que les agents secrets se cachent dans des voitures pour les surveiller.
(A suivre)
Traduit de l’anglais sur
http://www.clearharmony.net/articles/200607/34383.html
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.
* * *
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.