Après que je sois revenu, j'ai su que j'avais eu tort après avoir à plusieurs reprises étudié les articles du Maître. J'ai donc décidé de corriger mes erreurs immédiatement et de redoubler mes efforts afin de réparer.
Le 28 juillet 2003, ma fille et moi sommes sortis distribuer du matériel de clarification après que nous ayons envoyé des pensées droites à midi. Comme nos curs étaient droits, nous n'avons pas eu l'attachement d'avoir peur. Nous avons distribué du matériel clarifiant la vérité sur notre chemin, nous appropriant des endroits tels que des aires de parking, des boîtes aux lettres, et des cabines téléphoniques. Quand nous étions du côté ouest de la porte du nord, ma fille a constaté qu'un policier en civil nous suivait. Nous avons donc marché en nous dirigeant vers louest. Quand nous étions de l'autre côté de la librairie Hsinhua, nous avons été arrêtés par une unité de patrouille de la circulation. Ma fille avait le cur droit et sans crainte. Elle a mis le sac de matériel devant une vieille dame et a marché ouvertement et avec dignité vers la direction doù elle était venue à lorigine. Le policier l'a suivie et lorsquelle arriva chez elle, le policier ne vit rien qui pouvait servir dexcuse pour larrêter, puis partit.
Je fus amené à l'unité de la circulation. Quand je les ai regardés, leurs visages mont semblé familiers. et je leur étais à eux aussi familière. Ils ont dit quil semblait que lon sétait déjà rencontré autre part. En fait, nous ne nous étions jamais rencontrés. Ils ont commencé par demander mon nom et où je vivais. Je ne leur ai pas répondu et jai envoyé des pensées droites silencieusement pour éliminer tout mauvais facteur derrière eux. J'ai alors commencé à clarifier la vérité.
Durant la période où je clarifiais la vérité, j'ai constaté qu'aucun d'entre eux ne savait ce qui était écrit dans les matériaux, car ils étaient des policiers et navaient pas la chance de pouvoir les lire. Ils ont lu (les matériaux) et m'ont posé des questions en même temps. Je leur ai donné mes réponses une par une. J'ai dit, « les types comme vous devez lire soigneusement pour comprendre la vérité et pour analyser correctement la situation actuelle. Ceux comme nous qui pratiquons le Falun Gong ne nous impliquons pas dans la politique. Nous cultivons pour être de bonnes personnes basées sur les critères d « Authenticité, Bienveillance, Tolérance » Ce qui a été diffusé à la TV au sujet du Falun Gong est entièrement truqué. Ne croyez pas [tout ce que vous voyez]." Un d'eux m'a demandé si cela dérangeait quelquun que je pratique les exercices de Falun Gong pendant quils se reposaient. J'ai dit, « Non » J'ai exécuté les cinq exercices devant eux. Ma position des jambes en lotus les a étonnés et ils ont demandé si cela faisait mal. J'ai répondu « Non ». Ayant cette occasion, j'ai dressé ma main en face de moi et ai commencé à envoyer des pensées droites. En vingt minutes, huit a neuf personnes de l'unité locale de sécurité étaient arrivées, y compris le chef du bureau 610 local. Elles mont encore interrogée à tour de rôle. Je n'ai rien dit à mon sujet mais ai continué à leur exposer les faits et à répondre à toutes les questions quils avaient à l'esprit. J'ai répondu à leurs questions en douceur renforcée par le maître et ai naturellement fait ce que j'étais censée faire. Le mal ne savait plus quoi faire tandis que je disais la vérité durant toute laprès-midi. Ils m'ont alors envoyé à l'agence de la garde communale.
Après être arrivée à l'agence de garde, je n'ai pas coopéré avec le mal; au lieu de cela, j'ai commencé à faire une grève de faim et exposer les faits aux prisonniers. Je les ai informés à propos d « Authenticité, Bienveillance et Tolérance » et de « Falun Dafa est bon ». Le jour suivant quand ils sont venus pour m'amener devant la cour, j'ai saisi cette occasion pour expliquer les faits aux prisonniers masculins. J'ai marché et ai crié « Falun Dafa est bon » et « Falun Dafa est la loi juste » . Ces prisonniers masculins ont suivi; J'ai crié une fois et ils ont alors crié une fois sans se soucier des policiers pervers. Je réalise profondément la puissance et la dignité de Dafa et je ne pouvais pas me retenir de pleurer. Jai ressenti profondément à quel point le monde a besoin d « Authenticité, Bienveillance et Tolérance ». Pendant plus de 3 heures, je nai fait rien dautre que de continuer à expliquer la vérité à un homme et à trois femmes qui m'ont interrogée devant la cour. Au cours processus d'expliquer les faits, j'ai ressenti de la pitié à les voir ainsi perdus et jai senti ma responsabilité de les sauver; jai à nouveau pleuré. L'homme ma écouté tranquillement; il hochait parfois la tête. Une des femmes a finalement essayé de me forcer à signer mon nom. J'ai pris le matériel écrit par elles dans ma main et ai arraché la dernière page. Ils nont pas osé me prendre en photo. Cest ainsi qua fini la première session d'interrogatoire.
Après que je sois retournée, j'ai découvert à répétitions là où étaient mes omissions. J'ai envoyé des pensées droites, étudié les articles de Maître Li, et me suis éveillée sur la base de Fa. Le 5ème jour est venu une douzaine de personnes pour me nourrir de force. Je n'ai eu aucune omission. Le 6ème jour, deux chefs du bureau 610 sont venus pour m'interroger et j'ai dit, « Ne me demandez pas d'où je viens. Comme vous m'avez envoyé ici, je nai pas lintention de retourner. L'ordre secret des autorités supérieures est "diffamer la réputation des pratiquants du Falun Gong, les ruiner financièrement, et les détruire physiquement" et "compter ceux battus à mort comme des suicides". Vous avez battu plus de 1.000 pratiquants à mort. Pensez-vous avoir fait une bonne chose? Les pratiquants de Dafa outre-mer accusent Jiang du crime de « Genocide » et un procès attend le chef du mal et ses complices qui persécutent le Falun Gong. Ne vous laissez pas tromper ni vous ni les autres. Réfléchissez » Quand jai dit ça, un d entre eux ma demandé, « Est-ce que vous nous détestez? » J'ai répondu « Non. Jai pitié de vous. Quand la grande révélation de la vérité viendra, avez-vous une idée de quel sera votre destin? Il sera terrible. » J'ai commencé à leur raconter quand est-ce que javais connu le Dafa et appris les exercices, comment jen avais bénéficié mentalement et physiquement, et pourquoi je distribuais le matériel de vérité et faisais une grève de faim. Ils mont tranquillement écouté.
Dans laprès-midi du 5 août, jai quitté le repaire pervers après 9 jours sous le renforcement et la protection du maître.
Merci à notre maître miséricordieux et merveilleux.
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