Grâce aux efforts de clarification de la vérité, de plus en plus de pratiquants qui sétaient égarés ont reconnu les mensonges que les autorités et ceux qui travaillent pour eux leur avaient fait croire de force. Alors que de plus en plus de pratiquants sont revenus sur la voie droite de cultivation, la police de prison du camp de travail forcé de Tuanhe a de plus en plus peur.
1. Peur des appels téléphoniques clarifiant la vérité
Le chef de la cinquième brigade a dit aux pratiquants : un jour à midi, en 2001, jai reçu un bref appel téléphonique dans mon bureau, mavertissant que cest la loi de lunivers que les bonnes actions sont récompensées par le bien et que les méfaits aient aussi leur rétribution. Mon interlocuteur me demandait de ne pas prêter assistance au mal. Cet appel ma terrifié, je nai pas pu faire la sieste [une habitude dans certains endroits de Chine de faire une pause de plusieurs heures à la mi journée] Jai débranché la ligne et changé de numéro pour empêcher dautres appels. les appels de pratiquants fonctionnent vraiment bien pour restreindre les mauvaises personnes.
2. Peur que leurs mauvaises actions soient exposées
Des prisonniers relâchés du camp de travail ont été fouillés méticuleusement. Durant les fouilles corporelles, ils ont été complètement déshabillés. Chaque recoin, manche, col, chaussure, tout a été passé au crible. Les affaires des pratiquants étaient confisquées sil y avait quelque chose décrit. Ils avaient peur que les pratiquants ne rapportent la vérité de la persécution dans le camp de travail forcé et ne lexpose au monde.
3. Peur de la discussion entre pratiquants
Le contrôle dans le camp de travail forcé est devenu de plus en plus serré. Les pratiquants ont non seulement linterdiction de se parler entre eux durant les activités quotidiennes, mais ils nont pas même le droit daller dans la salle commune. Ils doivent rester assis séparément et sont surveillés par la police lorsquils vont dehors. Les pratiquants déterminés sont détenus individuellement dans des chambres sans pouvoir voir qui que ce soit.
4. Peur dêtre transférés dans des brigades qui persécutent les pratiquants de Falun Gong
Deux chefs déquipe discutaient entre eux : « Regarde : Quelle chance a le chef de la cinquième brigade Yang Baoli. Dici quelques jours il sera muté à la tête de la septième brigade. Il peut se détendre maintenant. Qui voudrait être en charge des brigades qui persécutent les pratiquants de Falun Gong ? Si tu mets trop de pression, tu seras exposé sil arrive quelque chose. Si tu le fais souplement, les plus hautes autorités ne seront pas contentes. Elles veulent atteindre leurs quotas de transformation. Qui peut bien soccuper de ces brigades ? Tout le monde veut les éviter. Il semble que de moins en moins de gens veulent assister le mal.
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