Un fonctionnaire du Bureau de la Sécurité Nationale : "Les jours de Jiang sont comptés"

"Les jours de Jiang sont comptés"
Un haut-fonctionnaire du Bureau de la Sécurité Nationale d’une certaine ville, A, a dit récemment à un pratiquant : « les pratiquants de Falun Gong sont tous de bonnes personnes. Vous devez tous prendre soin de vous, nous ne voulons ni vous contrôler ni vous persécuter. Beaucoup de gens éprouvent de la répugnance à prendre part à la persécution. On dirait que les jours de Jiang sont comptés. »

"Si nous le pouvions nous n’arrêterions pas les pratiquants de Falun Gong"
Un haut-fonctionnaire du Bureau de la Sécurité Nationale d’une certaine ville, B, a déclaré : « Pour dire la vérité nous n’arrêterions pas les pratiquants de Falun Gong si nous le pouvions. Si les hautes autorités ne nous y forcé pas, nous ne ferions rien de la sorte … »

"Discutons en profondeur du Falun Gong"
Un haut-fonctionnaire du Bureau de la Sécurité Nationale d’une certaine ville, C, a dit à un pratiquant de Falun Gong détenu là : "J’aimerais vous inviter à dîner après que vous soyez libéré. Discutons en profondeur du Falun Gong. Pourquoi tant de gens pratiquent-ils et croient-ils au Falun Gong ? Pourquoi écoutez vous tous Li Hongzhi ? Comment se fait-il que plus de cent millions de gens l’appellent « Maître » du fond de leur cœur ? Après que vous soyez relâché, je viendrais certainement vous trouver. Dans le passé, mon père voulait pratiquer le Falun Gong ?. »

"Pour dire la vérité, je me sens misérable"
Un vice directeur d’un Bureau de la Sécurité Nationale d’une certaine ville a dit à un pratiquant de Falun Dafa détenu : “et mon père et moi même pratiquions le Falun Gong dans le passé. Je sais que c’est vraiment bon, mais après qu’il ait été interdit j’ai cessé de pratiquer. Lorsque j’ai vu que tant de pratiquants étaient arrêtés, je me suis senti misérable. Je n’ai pas le pouvoir de vous faire libérer. Les autorités du gouvernement départementales et provinciales sont ici. Tout ce que je peux faire c’est diminuer votre souffrance dans les limites de mes responsabilités, prendre bien soin de vous, et dire quelque chose de bon à votre sujet. Hier j’ai eu un avertissement verbal. Peu importe, je ferais de mon mieux. Beaucoup de gens, qui sont intelligents comme vous, sont détenus ici. Ils ont été détruits par Jiang Zemin, simplement parce qu’ils ont leurs propres croyances. Ah ! pour dire la vérité, je me sens misérable dans tout cela. »