Parmi les pratiquants participant, il y avait la mère de Jin Xuezhe, , un pratiquant de Chine continentale. Le pratiquant Jin Xuezhe a subi une vicieuse persécution à cause de sa croyance ferme en « Vérité, Compassion, Patience » et a été forcé de quitter sa maison et daller vagabonder dun endroit à lautre. Il est toujours persécuté actuellement. Durant la clarification de la vérité au public, la mère de Jin Xuezhe a raconté à tous les officiels du gouvernement ses propres expériences et les expériences de sa famille. Les officiels ont tous exprimé leur sympathie. Il est à noter que chacun a accepté nos matériaux de clarification de la vérité et a signé la lettre de pétition pour secourir Jin Xuezhe. En particulier, il y avait un membre du congrès à Ulsan qui a signé son nom et encouragé son équipe à signer également la lettre.
Dans la ville dUlsan, des pratiquants sont allés vers les groupes religieux pour leur clarifier la vérité et aussi obtenir leur soutien. Ils nous ont aussi aidés avec des idées et des suggestions. Après avoir appris la vérité, un policier de la ville de Ulsan a aussi chaleureusement emmené nos pratiquants à la mairie, aux sièges des journaux, et rencontrer d'autres organisations pour clarifier la vérité. Avant que les pratiquants quittent la région, il leur a demandé de lui montrer les exercices de Falun Gong une nouvelle fois et a posé des questions sur les caractéristiques de la pratique. Il a dit quil allait demander à ses beaux parents, qui ont une mauvaise condition de santé, dapprendre le Falun Gong. Les pratiquants lont alors aidé à contacter le point de pratique local près de lendroit où vivent ses beaux parents. On disait quil ny avait pas de pratiquants de Falun Gong dans la ville de Gyeongju, ce qui est rare en Corée. Cette fois-ci, à travers notre présentation de la Loi et notre clarification de la vérité à différentes couches sociales, de nombreuses personnes ont exprimé un fort intérêt pour le Falun Gong.
Les Policiers et les Journalistes Sont avec nous
Un autre groupe de pratiquants tenait des drapeaux et des banderoles et portait des matériaux de clarification de la vérité tout au long du chemin. Quand nous marchions le long de la route, beaucoup de passants étaient interloqués en nous voyant. En voyant la banderole « Marcher à Travers le Pays pour Clarifier la Vérité », beaucoup de conducteurs klaxonnaient pour nous saluer et baissaient leurs vitres pour demander des documents. Quelques passagers nous faisaient signe de la main et même quelques uns nous félicitaient, « Vous êtes passés à travers tant de difficultés ! » Quelques uns agitaient leurs poings avec émotion et nous disaient, « Nous vous soutenons ! »
Quand nous sommes allés à la gare de Ulsan, un catholique accepta notre matériel de clarification de la vérité et nous apporta chaleureusement des boissons fraîches.
KBS (Station de Télévision Centrale de Corée) a diffusé les nouvelles de notre marche pour clarifier la vérité et cela a amené une plus large attention de tous les milieux sociaux, spécialement celui de la police. A Busan et à Ulsan, la police est sortie pour nous encourager et nous traiter chaleureusement. Ils ont également demandé des documents. Quelques policiers ont même signé la lettre de pétition.
Nos activités ont aussi fait peur aux Consulats Chinois. Influencés par leurs pressions et leurs mensonges fabriqués, la police coréenne a commencé par se montrer prudente envers nous et à nous suivre partout. Quelquefois ils sortaient soudainement de leur voiture et nous posaient des questions sur le Falun Gong. Nous avons saisi lopportunité pour leur clarifier la vérité. Daprès les conversations, nous en sommes venus à apprendre quils étaient sous la pression des Consulats Chinois. Ils devaient nous suivre pour nous protéger et sassurer que chaque chose se déroule sans à coups en nous empêchant de faire quelque chose tel que le « terrorisme ». Il y avait une histoire intéressante. Quand nous sommes arrivés à la gare de Gyeongju et nous apprêtions à commencer les exercices, soudain, trois véhicules de police arrivèrent. Quatre ou cinq policiers armés se sont avancés prudemment accompagnés de trois ou quatre officiers en civil. Parce quil ny avait pas de pratiquants de Falun Gong dans cette zone, il ny avait pas eu de clarification de la vérité faite auparavant. Quelques pratiquants leur ont alors distribué des documents pendant que dautres pratiquants commençaient à faire les exercices et à émettre les pensées droites. En voyant la démonstration élégante des exercices et le comportement calme et bienveillant des pratiquants, ces policiers armés sont partis avec soulagement, laissant seulement deux policiers qui attendaient jusquà ce que nous finissions les exercices. Etes vous fatigués ? Les pratiquants ont répondu, « Nous étions fatigués après la marche. Mais nous ne le sommes plus après avoir fait les exercices.» La police était surprise que le Falun Gong soit si incroyable.
Les Consulats Chinois ont invité tant de policiers pour nous, leur donnant lopportunité d'approcher le Falun Gong, de le connaître et de le soutenir . Selon eux, ils devaient rapporter nos activités quotidiennes au président. Nous avons rarement pu trouver de telles opportunités de clarifier la vérité au président. Maintenant la police pouvait nous aider à parler, objectivement, de Dafa au Président et à travers des faits ; ainsi le président connaîtrait la vérité sur le Falun Gong. On peut dire que le Consulat Chinois nous a fait une « faveur ».
A 9 heures le 1er juillet 2003, nous avons débuté malgré la pluie, pendant que les véhicules de police nous suivaient. Nous avons distribué du matériel de clarification de la vérité tout au long du chemin et avons continuellement envoyé des pensées droites. A 11 heures, un journaliste du « Journal Quotidien » local est venu nous interviewer. Un véhicule de police sest arrêté devant nous. Nous marchions à côté et avons fait un signe de la main amical aux policiers. Ils ont accepté le matériel de clarification de la vérité et nous ont aussitôt joyeusement remercié. Quand nous sommes arrivés dans la ville de Ipohang, la police nous a chaleureusement conduits à la mairie, aux sièges des journaux et aux organisations des Droits de lHomme pour leur clarifier la vérité. Cette même nuit, ils nous ont aussi aidé à arranger des activités de visite touristique. Le deuxième jour, ils ont marché avec nous.
Au revoir, Ipohang ! Nous souhaitons bonne chance aux habitants droits et bienveillants dIpohang !
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