Les psychotropes ont peu d'effet sur les pratiquants, les pensées droites protègent un pratiquant contre le danger

J'ai été détenu dans un centre de détention pendant plus de deux mois parce que j’insistais pour pratiquer le Falun Gong; J'ai alors été envoyé dans un hôpital psychiatrique. Là, le docteur m'a ordonné de prendre un certain médicament. Quand j'ai refusé, deux médecins m'ont maintenu et m'ont injecté de force des drogues. Je suis tombé inconscient et je ne me suis pas réveillé jusqu'au jour suivant, alors ils m'ont forcé à prendre encore le médicament. Chaque pratiquant détenu là était forcé de prendre le traitement trois fois par jour. Il y avait un docteur affecté à chaque pratiquant. Le docteur qui était affecté pour m'observer était le doyen de l'hôpital. Il m'a donné quatorze pilules par jour, et il m'a parfois forcé à prendre dix-huit pilules par jour. Quand il était temps de prendre le traitement, je récitais Dafa dans mon esprit, et chaque fois j'ai seulement avalé l'eau sans avaler les pilules. Il y avait deux pratiquants qui ont su que nous avions été détenus ici ; ils nous ont apporté les articles du Maître, les livres, les matériaux de clarification de vérité et l'éditorial de Minghui.net intitulé « au sujet de Psychotropes ». Après avoir vu les articles du Maître, je me suis senti comme si j'avais vu le Maître. Nous avons mémorisé l'article « Expliquer la loi. » Un autre pratiquant a été envoyé à ce moment dans cet hôpital psychiatrique, ainsi nous récitions ensemble les articles et les poèmes du Maître ; nous avons également continué à clarifier la vérité au personnel de l’hôpital. Ils ont su que nous étions de bonnes gens. Je suis resté dans l'hôpital psychiatrique pendant vingt-deux jours, et avec l'aide du Maître j'ai supporté toutes ces difficultés et j’ai été libéré. Alors je suis directement retourné dans le courant de la clarification de la vérité.

Parfois je suis sorti seul ou avec d'autres pratiquants pour clarifier la vérité, accrochant des bannières sur des poteaux de téléphone et des arbres le long de la route. Un bon nombre de gens a vu les mots « Falun Dafa est bon » et ils ont dit que les pratiquants étaient vraiment capables de faire beaucoup : partout ou vous regardiez vous voyiez les bannières de Dafa.

En novembre 2001, je suis allé à Beijing pour faire encore appel pacifiquement ; J'ai envoyé des pensées droites tout le temps. A Qianmen à Beijing, j'ai dit, « Falun Dafa est bon » devant une grande foule. Quand je suis arrivé aux portes de la place Tienanmen, j'ai soulevé une petite bannière. Voyant mes actions, deux personnes qui prenaient des photos là ont dit qu'elles connaissaient « Vérité, Compassion, et Patience. » Quand j'ai atteint le pont de Jinshui devant la place Tiananmen, cinq ou six policiers en civil m'ont entouré, et ont demandé ma carte d’identité et ma provenance. Je ne leur ai pas prêté attention, mais les policiers de la police en civil ne me laissaient pas partir ; alors je me suis rappelé l'article du Maître « Que sont les capacités Supranormales. » Par conséquent j’ai dit, « tiens-toi tranquille » à un policier qui me suivait, et j’ai pu leur échapper. Le jour suivant, j'ai utilisé une petite pierre pour ancrer une petite bannière près de l'étang devant le Hall de rassemblement du peuple, et j’envoyais des pensées droites pour empêcher qui que ce soit d'interférer sur elle ; puis je me suis éloigné à l'ouest. Un policier m'a approché. J'ai eu peur de lui et j’ai couru loin sans même envoyer de pensées droites. Deux autres policiers ont bloqué mon chemin, fouillé mon baluchon, et m'ont demandé d'où je venais. À ce moment, je me suis souvenu d'envoyer les pensées droites. Dès que j'ai envoyé des pensées droites, les trois policiers m’ont rendu mon baluchon. J'ai alors continué d'envoyer des pensées droites et j’ai fait marche arrière dans la direction d’où je venais. Plus tard, j'ai accroché une autre petite bannière sur un poteau de barrière du côté est de Qianmen et puis suis retourné sain et sauf à la maison.