Depuis le mois de juillet 1999, le régime de Jiang Zemin applique le terrorisme d’État dans le génocide des pratiquants de Falun Gong. La politique officielle de Jiang Zemin dicte: « Détruire leur réputation, les démunir financièrement et les anéantir physiquement. » Ceci a donné comme résultat que des milliers de pratiquants Falun Gong ont été persécutés illégalement à différents degrés y compris la mort d’au moins 692 pratiquants.
Par conséquent, l'Organisation Mondiale pour Enquêter la Persécution du Falun Gong (WOIPFG) a été établie le 20e jour du mois de janvier 2003. L'Organisation invite et cherche l'appui d'individus et d'institutions de la conscience sociale globale et joue un rôle de coordination dans l'effort pour étudier -- suffisamment, complètement et systématiquement – tout instance de conduite criminelle de la part des individus, établissements et organismes impliqués dans la persécution du Falun Gong. Ceci inclut Jiang Zemin lui-même; tous les niveaux « du Bureau 6-10 », qui est directement responsable de la persécution du Falun Gong sous les ordres de Jiang; le Bureau de la Sécurité nationale; le Bureau de Sécurité publique; le système de Justice de la Cour; les Camps de travaux forcés; les Établissements psychiatriques impliqués dans la persécution ; les Médias contrôlés par l’État, les Porte-parole des fausses accusations, de mensonges inventés et de coups montés contre le Falun Gong pour les diffamer ; et ces individus qui directement ou indirectement participent à la persécution physique mentale, financière des pratiquants de Falun Gong et les membres de leur famille respective. En se basant sur des faits réels, cette organisation traduira les criminels à la Cour afin que justice puisse être rendue.
À 14h 41, le 23 janvier 2001, un incident allégué comme une «auto-immolation» a eu lieu sur la Place Tiananmen de Beijing, Chine. Il est monnaie courante que l'Agence de Nouvelles de Xinhua du Gouvernement chinois et la Station Centrale chinoise de la télévision (CCTV) gardent en général étroitement les informations sur ce type d'incident. Néanmoins, dans ce cas-ci, elles ont immédiatement rapporté le cas, alléguant que les cinq individus qui avaient commis l'auto-immolation et les deux autres qui avaient fait un attentat à l’auto-immolation étaient en fait, des pratiquants de Falun Gong.
Les pratiquants de Falun Gong nient fermement l'allégation, car l'acte de l'auto-immolation est une grossière violation des principes et des enseignements du Falun Gong. Aucun pratiquant ne ferait une telle chose. Les médias internationaux et les divers établissements indépendants ont également soulevé des doutes sérieux au sujet des allégations du Gouvernement. Peu de temps après l'incident, un journaliste du Washington Post a visité la ville natale de Liu Chunling, la femme qui est décédée dans l’incident afin de poursuivre une investigation indépendante. En page première du Washington Post, le 4 février 2001 il est révélé qu’aucun des voisins de Liu n'avait l’impression qu’elle avait été une pratiquante, d’autant plus qu’on ne l’aurait jamais aperçue en train de faire les exercices. Le Développement pour l’Éducation Internationale (DEI) a fait une déclaration officielle aux Nations-Unies le 14 août 2001 : « Le régime fait appel à une supposée auto-immolation à la Place Tiananmen le 23 janvier 2001 en tant que preuve pour diffamer le Falun Gong. Cependant, nous avons obtenu une vidéocassette de l’incident qui selon notre point de vue prouve que cet événement est un coup monté par le Gouvernement.. »
Néanmoins, l'incident de l’auto-immolation est devenu l'outil de propagande le plus puissant du régime de Jiang dans ses tentatives de sataniser le Falun Gong en Chine et autour du monde. L'incident a efficacement incité à la haine publique et officielle envers le Falun Gong partout où la propagande a été diffusée. La police qui avait précédemment passivement résisté à participer à la persécution a été trompée par la propagande et a commencé à coopérer. Ceci a permis à Jiang d’intensifier la persécution sur une plus grande échelle et avec une brutalité accrue.
Depuis son établissement, la WOIPFG a reçu des rapports de diverses sources concernant l'incident de l’auto-immolation. Selon des informations fiables de l'intérieur du Gouvernement chinois et du Bureau de la police, l’incident de l’auto-immolation fut monté pour diffamer le Falun Gong. L’incident a eu lieu 18 mois après le début de la persécution du Falun Gong par Jiang, ce qui coûtait à l’État des sommes énormes d’argent. A ce moment-là, Jiang était isolé et il y avait bien des critiques toujours croissantes à son sujet dans les cercles internes du Parti. Jiang était le bénéficiaire primordial de cet incident. Ceci a permis à Jiang de « justifier » sa persécution et de la rendre quelque peu légitime.
Basé sur plusieurs analyses soulevant certaines questions au sujet de la vérité se cachant derrière l’incident, l'Organisation Mondiale pour l’Enquête sur la Persécution du Falun Gong a établi le 23 janvier 2003 le Comité international pour étudier la supposée auto-immolation à la Place Tiananmen.
Le Comité a demandé au Laboratoire d'analyse des tonalités de voix de l’Université Nationale de Taiwan, très reconnu pour son identification de la langue chinoise, de conduire une étude indépendante pour faire une identification indépendante du discours de Wang Jindong et d'autres apparus dans trois épisodes du programme "Point de mire" de CCTV. Wang a été reconnu comme un des chefs et des organisateurs de l'incident d'auto-immolation. Dû à cette recherche, le Laboratoire de l’Université Nationale de Taiwan a conclu que « Wang Jindong » qui était apparu dans le 1er épisode du programme "Point de Mire" de CCTV, n’était pas la même personne apparaissant dans les 2e et 3e programmes. Ceci confirmait les résultats d’analyses de l’identité de Wang Jindong obtenus par la WOIPFG par l’entremise d’autres canaux d’enquête. Ces autres sources ont révélé que Wang Jindong, un allégué participant de l’auto-immolation, était un rôle joué par un officier militaire qui avait reçu l’ordre de le faire ( dont le nom est retenu pour le moment)
Une fillette de 12 ans est morte dans l’incident d’auto-immolation. Le programme "Point de Mire" de CCTV l'a montrée chantant et parlant à un journaliste peu de temps après avoir subi une trachéotomie. La vérité exacte sur son décès n’a jamais été révélée.
Le Comité vient d’obtenir de l’information du personnel médical qui a soigné Liu Siying à l’Hôpital Jishuitan. « Liu Siying est décédée subitement à un moment où ses brûlures étaient plus ou moins en voie de guérison, son état de santé était stable, et elle était sur le point de recevoir son congé de l’hôpital. La cause de sa mort demeure suspecte. » Les jours précédents son décès, y compris le vendredi, le 16 mars 2001, une journée avant sa mort, l’électrocardiogramme (EKG) de Liu Siying et les autres résultats d’examens étaient tous normaux. Alors que le samedi, 17 mars 2001 entre 11h:00 et 12h:00, les médecins l’ont trouvée dans un état critique. Elle est morte peu de temps après. Le rapport du personnel de l’Hôpital démontre qu’entre 8h:00 et 9h:00 ce même matin, les chefs de l’Hôpital Jishuitan et du Secteur administratif médical de Beijing lui ont rendu visite pendant un long bout de temps dans sa chambre. « À ce moment-là, Liu Siying était très animée et agitée » nous rapportent les membres du personnel. L’autopsie de Liu Siying a eu lieu à l’Hôpital Jishuitan, mais le rapport fut écrit par le Centre de l’Urgence. Le rapport d’autopsie n’est toujours pas révélé aux médecins de Liu Siying. L’hôpital ne donna qu’une déclaration générale sur le fait que son décès était probablement dû à des problèmes de myocardie. Un autre point suspect de l'histoire est que Liu Siying pouvait chanter d’une voix forte durant son entrevue à CCTV, juste après une opération chirurgicale à la trachée. Un docteur à l'hôpital de Jishuitan a dit, « Il n'était pas possible que la voix de Liu Siying soit aussi forte et claire. Il semble que CCTV a fait quelque chose là »
Plusieurs membres du personnel médical de l'Hôpital Jishuitan ont confirmé que ceux qui avaient tenté l’auto-immolation sont arrivés à l'hôpital vers les 17h:00, pourtant selon l'Agence de Nouvelles de Xinhua, l'incident de l’auto-immolation avait eu lieu à 14h:41. Les heures citées ici ne sont pas en harmonie et ne s’accordent pas. Cela a pris apparemment sept minutes pour éteindre le feu. L’ambulance devait faire 10 kilomètres (environ 6 milles) de la Place Tiananmen jusqu’à l’Hôpital Jishuitan, donc, on aurait dû arriver peu de temps après 15h: 00. La WOIPFG a des raisons de croire que l'anomalie dans ces périodes de temps couvre quelques motifs cachés.
De la vidéocassette de l'auto-immolation diffusée pendant le programme de Focus Entrevue de CCTV, on peut constater que Liu Chunling (mère de la fillette de 12 ans, Liu Siying) a été frappée durement avec un objet lourd, à la tête par un homme portant un par-dessus militaire. Elle s'effondre immédiatement par terre et lève les mains sur le côté gauche de la tête, qui avait été frappé. La WOPIFG croit qu'il est fortement probable que Liu Chunling soit morte à la suite de cet assaut et non pas des brûlures tel qu'allégué par la propagande du Gouvernement.
Se basant sur ces résultats indépendants et scientifiques, la WOIPFG a conclu que l ‘incident de l’auto-immolation à la Place Tiananmen est une conspiration majeure.
On déguise le meurtre sanctionné par l’État comme un suicide et on étiquette les victimes tragiquement contraintes par le Gouvernement de s’immoler au nom des pratiquants de Falun Gong tout ceci afin de se fournir des moyens pour inventer une arme de propagande et diaboliser le Falun Gong et de ce fait « justifier » la persécution cruelle de Jiang aux yeux du public. Les malfaiteurs ont été prêts à aller jusqu’à sacrifier les vies de citoyens innocents, y compris une fillette de douze ans et sa mère.
L’empereur romain Néron a mis le feu à la ville de Rome pour diffamer les chrétiens d'une manière semblable, il y a deux mille ans…. L'ampleur des mensonges du régime de Jiang au monde pour dissimuler l'épidémie de SRAS se dévoile tout juste au monde aujourd'hui. De la même façon, l'auto-immolation de Tiananmen est le résultat d'un régime corrompu sacrifiant sans pitié des vies humaines pour protéger ses propres intérêts.
La WOIPFG reconnaît que ce cas implique une variété de parties ayant des rapports compliqués. Il est possible que ce crime soit directement attribué à Jiang Zemin (qui était alors le président chinois, tête du Parti communiste chinois et tête de la Commission militaire centrale de la Chine). Cependant, la WOIPFG est déterminée à découvrir et à exposer tous les faits entourant ce cas. Les résultats de cette enquête seront soumis à la Cour criminelle Internationale, aux Organisations humanitaires et judiciaires internationales ainsi qu’aux Nations-Unies. Nous cherchons à traduire en justice tous les participants dans ce crime.
La WOIPFG exhorte quiconque aurait des informations sur cette cause de les rapporter aux responsables et de soumettre n'importe quelle information appropriée au Comité. Le focus de la prochaine partie d’investigations comprendra :
1. Le cerveau derrière l’incident de l’auto-immolation de la Place Tiananmen.
2. L’homme aperçu dans la vidéocassette à CCTV qui porte un pardessus militaire et qui aurait frappé Liu Chunling
3. Les personnes responsables de la mort subite de Liu Siying
Traduit au Canada
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