Des villageois sympathiques et droits protègent un pratiquant de Dafa

Vers 21h, le 23 Février 2003, quelques policiers ont pénétré dans ma maison et m'ont traîné dehors avant même que j'aie eu le temps de m’habiller. J’ai pensé que je ne devais pas être emmené par ces persécuteurs mauvais et j'ai crié : « A l’aide ! La police arrête des innocents ! ». En entendant les cris, les voisins et d'autres villageois se sont précipités hors de leurs maisons et ont formé une barricade devant le fourgon de police. La police m'a précipitamment poussé dans le fourgon et a essayé de partir, faisant en même temps retentir les klaxons. Le bruit des klaxons a fait sortir encore plus de gens. Tous ont essayé de bloquer le fourgon et de l'empêcher de partir. J'ai saisi l'occasion et me suis échappé du fourgon. J'avais à peine fait quelques pas que deux policiers m'ont arrêté. Mais les villageois les ont poussés sur le côté pour m’ouvrir une voie. Avec l'aide de ces villageois droits et sympathiques, j’ai pu m’en sortir et reprendre mon rôle dans les activités de Falun Gong.

« Falun Dafa est bon »

Un matin, j'ai pris un taxi pour aller au travail. Sur mon chemin je suis passé devant le commissariat local de police et ai vu que les poteaux électriques devant le commissariat avaient tous été enduits d'une couche de peinture blanche. Quand j'ai demandé au conducteur la raison de la peinture blanche, il a rapidement répondu : « Ne savez-vous pas ? il était écrit dessous " Falun Dafa est bon ! " » Alors il a continué : « J'ai entendu dire que même notre commissaire pratique le Falun Gong. Il semblerait que Falun Gong ne sera finalement pas éradiqué».