L'idéologie criminelle de "Tuer sur demande"

Dans la partie 7 des Neuf commentaires sur le Parti communiste, le passage suivant parle de l’histoire de tuerie du Parti communiste chinois.

“À l’inverse de tous les empereurs qui offraient l’amnistie à tout le pays après leur couronnement, le PCC a commencé à tuer dès le moment où il est monté au pouvoir. Dans un document, Mao Tse Toung a stipulé : « Il y a encore beaucoup d’endroits où les gens sont intimidés et n’osent pas tuer les réactionnaires ouvertement et à grande échelle. » Au mois de février 1951, le PCC central a dit qu’à l’exception des provinces de Zhejiang et d’Anhui au sud, « les autres régions qui ne tuent pas assez, en particulier dans les grandes et moyennes villes, devaient continuer à tuer le plus possible et ne pas s’arrêter trop tôt ». Mao a même recommandé que dans les « régions rurales, pour tuer les réactionnaires il fallait tuer en moyenne plus d’1/1 000e de la population […] dans les villes ça ne devait pas être autant ». La population de la Chine à l’époque atteignait environ 600 millions de personnes ; cet « ordre royal » de Mao a causé au moins 600 000 morts. Personne ne sait d’où provient ce ratio de 1/1000e. Peut-être que Mao a décidé tout simplement que ces 600 000 vies suffiraient pour faire régner la terreur au sein du peuple et en a donc donné l’ordre”.

Le passage ci-dessus offre un aperçu des meurtres d’innocents citoyens chinois de l'époque Mao. D'innombrables autres personnes ont perdu la vie dans les mouvements politiques ultérieurs lancés par Mao, la première génération de dirigeants du PCC. Ci-dessous quelques statistiques présentées dans la partie 7 des Neuf commentaires :

““Selon Des faits de la campagne politique après la fondation de la république populaire de Chine co-édités par quatre départements gouvernementaux dont le Centre de recherche historique du PCC en 1996, lors des « campagne des Trois Anti » et « campagne des Cinq Anti » plus de 323 100 personnes ont été arrêtées et plus de 280 se sont suicidées ou ont disparu. Pendant la « campagne anti-Hu Feng » en 1955, plus de 5 000 ont été accusées, plus de 500 personnes ont été arrêtées, plus de 60 se sont suicidées et 12 sont décédées de mort non naturelle. Dans la répression des réactionnaires qui a suivi, plus de 21 300 personnes ont été exécutées, et plus de 4 300 se sont suicidées ou ont disparu.[11].”

“Les statistiques compilées à partir d’archives au niveau du canton montrent que 7,73 millions de gens sont morts de causes non naturelles durant la Révolution culturelle. ”

Quand Deng Xiaoping, de la seconde génération des dirigeants du PCC, a décidé de mener une politique économique de porte ouverte, on aurait pu penser qu’il se serait abstenu de tuer le peuple chinois avec désinvolture. Toutefois, le massacre des étudiants pro-démocratique le 4 juin 1989, a fait voler en éclat le vœu pieux des gens et rappelé à tous l'horreur ayant eu lieu à l’époque de Mao. Avant que Deng ait émis son ordre d'ouvrir le feu sur les étudiants, il a fait cette remarque tristement célèbre: “Je préfère tuer 200 000 personnes en échange de 20 années de stabilité. ” Cependant les 20 ans de stabilité ne concernaient pas la stabilité de la société mais la survie du régime.

Jiang Zemin de la troisième génération des dirigeants du PCC est différent de ses prédécesseurs en termes d’idéologie de tuerie. Il n’a pas de quota de victimes comme Mao, ne préfère pas non plus une fin rapide comme la folie des assassinats d’étudiants menée par Deng. Au lieu de cela, il a choisi de tuer les gens au fil du temps, après les avoir envoyés en prison ou dans d’autres lieux de détention. Sa persécution des pratiquants de Falun Gong est un exemple parfait de sa façon de penser. Depuis qu'il a lancé la répression du Falun Gong en 1999, de nombreux pratiquants ont trouvé la mort suite à la torture ou aux prélèvements d'organes à vif. Sous la direction de Jiang, la mort sous la torture est considérée comme un suicide et les défunts sont tout de suite incinérés sans vérification d’identité ou consentement de la famille. Le prélèvement d'organes est encore plus horrible car Jiang et ses complices ont entrepris cela afin de faire d'énormes profits.

Depuis 2006, une série de témoins s’est présentée pour révéler et confirmer les crimes de prélèvement d'organes. Après avoir parcouru près de 30 cantons pour recueillir des preuves, deux chercheurs canadiens, David Matas, avocat international des droits humains et David Kilgour, ancien secrétaire d'État canadien pour l'Asie-Pacifique, ont publié un rapport novateur sur les prélèvements d'organes en Chine fin 2006. “Nous croyons qu'il y a eu et qu’il cela continue d’y avoir aujourd'hui des prélèvements d'organes à grande échelle sur des pratiquants de Falun Gong” ont conclu les auteurs. Le rapport complet, intitulé “Bloody Harvest” présente des arguments convaincants pour leur conclusion et peut être téléchargé de http://www.organharvestinvestigation.net/.>

Dans un article publié par The Epoch Time en avril 2012, le journaliste cite le Professeur Caplan à propos des prélèvements d’organes. Ci-dessous un extrait de l’article :

"Professeur Arthur Caplan, le directeur du Centre de bioéthique à l'Université de Pennsylvanie, qui a été nommé l'un des 10 scientifiques les plus influents et internationalement célèbre, par le magazine Discover, a déclaré dans une récente interview que de trouver un foie dans les trois semaines ne pouvait se faire qu’en tuant sur demande. Pourtant, de nombreux hôpitaux en Chine, en particulier les hôpitaux militaires, ont déjà fait de la publicité sur la brièveté des temps d’attente afin d'attirer les clients. "

““Aux États-Unis, en Australie et dans d'autres pays, il faut généralement de nombreuses années, même plus de 10 ans, pour trouver un organe compatible, ” a déclaré le Dr Caplan dans son discours le 13 mars, à la Faculté de médecine de Philadelphie. “Particulièrement pour les touristes de la transplantation, si vous allez en Chine et que vous obtenez une greffe de foie durant les trois semaines de votre séjour, cela signifie que quelqu'un va programmer l’ exécution d’une personne ayant le type de sang et de tissu compatibles et prêt à être utilisé avant votre départ. Je veux dire, que ce ne sera pas une période d’attente de trois semaines juste pour attendre que quelqu’un vous correspondant biologiquement meurt. Il faudra le trouver et le tuer alors que le touriste est toujours présent sur le territoire. Donc, cela revient à tuer sur demande. ”

(L'article complet est disponible ici )

L’opinion du professeur Caplan de la ”tuerie sur demande” du PCC confirme les conclusions suivantes publiées dans les Neuf commentaires sur le Parti communiste :

“D’après son idéologie, le PCC croit à la « dictature du prolétariat » et « à la révolution permanente sous la dictature du prolétariat ». C’est pourquoi, après la prise de pouvoir du PCC en Chine, il a tué les propriétaires terriens pour résoudre les problèmes des relations de production dans les régions rurales, il a tué les « capitalistes » pour parvenir à des réformes commerciales et industrielles et résoudre les problèmes de production dans les villes. Une fois ces deux classes éliminées, les problèmes économiques ont été résolus dans l'ensemble. De la même manière, établir la culture de la classe dirigeante passait par le massacre. Les intellectuels ont été éliminés lors de la répression des groupes de Hu Feng opposés au Parti et des anti-droitiers. Tuer les chrétiens, les taoïstes, les bouddhistes et les groupes ethniques a permis de résoudre le problème des religions. Les meurtres en masse qui ont eu lieu pendant la Révolution culturelle ont établi la domination absolue – tant culturelle que politique – du PCC. Le massacre de la place Tiananmen visait à prévenir une crise politique et à étouffer toute revendication démocratique. La persécution du Falun Gong vise à supprimer les questions de croyance et de médecine traditionnelle. Face aux crises financières continuelles (le prix des biens de consommation a grimpé en flèche depuis que le PCC est au pouvoir et l’économie chinoise s’est effondrée après la Révolution culturelle), face aux crises politiques (les gens qui refusaient d’appliquer les ordres du Parti ou qui exigeaient de partager avec lui les droits politiques) et face aux crises de croyances (la désintégration de l’ancienne Union Soviétique, les changements politiques en Europe de l’Est et la question du Falun Gong) du point de vue du PCC, tout cela était nécessaire pour renforcer et maintenir son pouvoir. A l’exception du Falun Gong, le PCC a utilisé presque tous ces mouvements pour ranimer le spectre pervers du PCC et inciter au désir de révolution. Le PCC a aussi utilisé ces mouvements politiques pour tester ses propres membres, éliminant ceux qui ne se conformaient pas aux exigences du Parti.

“Tuer est aussi nécessaire pour des raisons pratiques. Le PCC, à ses débuts, était un groupe de voyous et de criminels qui tuait pour s’emparer du pouvoir. Ce précédent une fois établi, le retour en arrière était inconcevable. Il avait besoin de maintenir une terreur continuelle pour intimider les gens et les forcer à accepter, dans la peur, son pouvoir absolu.

“Tuer est devenu pour le PCC un des moyens essentiels pour conserver le pouvoir. Les dettes de sang ne faisant qu'augmenter, le fait qu’il pose son couteau de boucher pourrait encourager les gens à se venger des actes criminels du PCC. Tuer abondamment et minutieusement n’était pas suffisant ; le massacre devait être réalisé de la manière la plus brutale, pour intimider efficacement la population, surtout lorsque le PCC était encore en train d'établir son pouvoir.”

Lorsque les Neuf commentaires sur le Parti communiste, une série d’éditoriaux ont été publiés par The Epoch Times en novembre 2004 (voir http://www.lagrandeepoque.com/LGE/9-Commentaires-sur-le-Parti-communiste/ pour le livre au complet) les rapports sur le prélèvement d’organes n’avaient pas encore fait surface. De ce fait, le livre n'a pas pu inclure ce sujet. Mais l’hypothèse du “tuer sur demande ” du professeur Caplan, qui est cohérente avec les conclusions présentées dans les Neuf commentaires, aide sans aucun doute les gens à mieux voir à travers la nature perverse du PCC.

Mao et Deng ont l’un et l’autre tué pour semer la peur dans le cœur des gens afin de maintenir leur domination sur le pays. Par conséquent, nous pouvons soutenir qu'ils ont tué pour des raisons de pouvoir politique. Les assassinats de Jiang sont encore plus pervers et méprisables, puisque lui et ses complices s'en sont pris aux pratiquants de Falun Gong totalement sous l'impulstion de leur jalousie et de leur insatiable cupidité pour les profits engendrés par la vente d'organes prélevés sur des pratiquants de leur vivant.

Minghui

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