Le comte d’Auxois, représentant de Monseigneur le Comte de Paris à la sortie du spectacle de Shen Yun 2012 au Palais des Congrès de Paris. (Zhang, The Epoch Times) |
Le comte d’Auxois, représentant de Monseigneur le Comte de Paris – et artiste lyrique – a assisté à l’unique représentation en France du spectacle Shen Yun pour 2012. Pour ce proche de l’héritier du trône de France, le spectacle est "une réussite en tous points".
«Sur le plan scénique, c’est évidemment remarquable! Il y a un professionnalisme extraordinaire, de nos jours, ça devient chose rare, très rare! Les costumes sont magnifiques, les idées de décor et d’effets spéciaux sont particulièrement intéressants, il y a beaucoup de messages en demi-teinte, et tout cela est subtilement amené… que ce soit dans le choix des couleurs, des teintes, des costumes, dans les pas, les interprétations… C’est une réussite en tous points, vraiment!»
Grand amateur d’art, le Comte a particulièrement goûté la richesse culturelle du spectacle et l’union de ses artistes: «Vous avez une troupe qui est particulièrement bien menée, bien tenue, et qui aime son travail… et qui a cœur de représenter les valeurs de son histoire et de sa culture. Vous véhiculez quand même un énorme message sur la culture et l’histoire de ces pays d’Asie, puisqu’il y a la Chine, il y a Taiwan, etc. On voit cette envie de donner la véritable histoire et la véritable couleur qu’on aurait envie de voir apparaitre aujourd’hui…»
Et plus que tout peut-être, l’esthète musical a été captivé par l’orchestre live de Shen Yun, qui unit instruments asiatiques et occidentaux: «Pour quelqu’un comme moi qui suis musicien, c’est extraordinaire, magnifique, d’entendre des musiciens jouer en direct, d’avoir un chef d’orchestre, une femme en plus, c’est très rare… et très bien! Il y a des sonorités absolument magnifiques et puis, c’est très bien orchestré en plus… il y a des passages simplement trop beaux. Cette écriture musicale… non seulement il n’y a pas de faute d’harmonie mais on sait faire chanter les instruments, on sait mettre de la modernité tout en respectant les intervalles anciens, les modes anciens, l’écriture ancienne. Très souvent avec l’Asie et notamment avec la Chine, on a beaucoup brodé musicalement, pour faire «à la manière de». Or là, ce n’est pas à la manière de! C’est avec des thèmes bien précis, des intervalles bien précis, on ne pouvait faire cela qu’il y a 1.000 ou 2.000 ans… C’est orchestré, harmonisé intelligemment pour apporter sa touche de modernité parce qu’on est au XXIe siècle…»
Les plus belles heures des spectacles royaux ne sont donc pas si éloignées, rappelant que l’apogée de la dynastie capétienne a coïncidé avec le début des échanges culturels avec la Chine, au commencement de la dynastie Qing, à la fin du XVIIe siècle.
Après La Hague, Berlin, Francfort, Zurich et Stockholm, la représentation au Palais des Congrès de Paris prépare le final de cette tournée européenne qui se conclut par une série de représentations au Coliseum de Londres.
Pour davantage d’informations veuillez visiter ShenYunPerformingArts.org.
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