Les expériences de Lotus, 7 ans, partagées à la Conférence de Falun Dafa 2011 à New York

Salutations, cher Maître, chers compagnons de pratique !

Mon nom est Lotus et j’ai 7 ans. Je pratique la cultivation depuis 7 ans maintenant. J’ai commencé à cultiver dans Falun Dafa avec mes parents dès ma naissance. Maman m’a dit que je levais ma main droite pour émettre les pensées droites quand j’avais 8 mois, allongée dans mon berceau. Quand j’avais un an et demi, j’ai aidé mon grand-père à quitter le PCC.

Ci-dessous quelques expériences de cultivation que j’aimerais partager avec vous tous.

Quand j’avais un peu plus d’un an, NTDTV a commencé à diffuser un programme documentaire – les Neuf commentaires sur le Parti communiste chinois. À cette époque je ne savais dire que quelques mots, comme papa, maman etc. J’ai appris les mots “Quitter le PCC !” (Tuidang) à la télévision. Je voulais aider grand-père à démissionner et je lui disais chaque jour “Quitte le PCC !” Je suis devenue inquiète et je lui criais : “Grand-père, dépêches-toi, quitte le PCC !” Comme j’étais très jeune mon grand-père ne me prenait pas au sérieux. Un jour, j’ai décidé que je cesserai de manger la nourriture cuisinée par mon grand-père. Grand-père était très inquiet et a commencé à sautiller autour de moi en essayant de me faire manger. Je détournais la tête et ne mangeais rien de ce qu’il me préparait . Finalement grand-père a laissé tomber, s’est approché de moi et a murmuré à mon oreille : “Mon petit cœur, s’il te plaît mange, je démissionnerais du PCC !” Quand j’ai entendu ce qu’il m’a dit, j’étais si heureuse que j’ai ri bruyamment. À ma façon, j’ai aidé grand-père à démissionner du PCC. Cette histoire m’a été racontée par papa et maman quand j’étais un peu plus grande.

Il y a quelques mois, à l’école, la maîtresse a donné à chaque élève une feuille avec des mots à copier. Alors que j’avais presque fini mon travail, l’élève assise à côté de moi a pris la feuille où se trouvaient les mots. Je me rappelais les mots qui se trouvaient sur la feuille, alors j’ai continué à écrire. Je savais qu’elle l’avait fait exprès, parce que je terminais toujours mon devoir plus vite. Cette fois elle voulait terminer plus vite que moi. Je ne me rappelais plus le dernier mot, alors j’ai regardé sur la feuille de quelqu’un d’autre, mais la fille qui a pris ma feuille lui a dit de la couvrir afin que je ne puisse pas les voir. Finalement, je me suis rappelé le dernier mot. Une fois que j’ai terminé j’ai demandé à la maitresse si je pouvais faire un peu de coloriage. La maîtresse a dit oui. Je me suis rappelée que j’étais une pratiquante alors je n’étais pas contrariée par ce que la fille pouvait dire.

Un jour, la maîtresse nous a donné le résultat des tests, j’ai vu qu’elle m’avait donné une note de 100. La fille qui était assise près de moi a découvert une faute à mon test et m’a dit de le dire à la maîtresse . Je suis immédiatement allée trouver la maîtresse et le lui ai dit. La maîtresse m’a souri et a dit : “Puisque tu as dit la vérité, tu peux garder ta note.” Je suis retournée à ma place et la fille a vu que la maîtresse n’avait pas changé ma note. Elle a été très fâchée et a cessé de me parler. Je savais qu’elle était jalouse parce que ma note était meilleure que la sienne. Bien que je désirais beaucoup avoir une note de 100, je pensais que je devais dire la vérité. Je savais que ce test venait de Shifu et que je l’avais passé. Une fois rentrée à la maison j’ai parlé à maman de ce qui s’était passé à l’école. Maman a été très heureuse et a dit que j’étais une bonne petite fille.

Il y a quelques jours, avec maman nous avons acheté ma glace préférée. J’ai demandé à maman si cela posait un problème si on ne disait pas à papa que nous avions acheté de la glace ou de la cacher pour que papa ne la mange pas. J’ai dit cela parce que papa va toujours en cachette manger mes glaces. Maman a répondu : “Cela ne ressemble pas à l’attitude que doit avoir un pratiquant, n’est ce pas ?” J’ai dit non, j’ai dit à maman que c’était l’attachement à l’égoïsme, donc je n’ai pas caché ma glace et j’ai décidé de la partager avec papa.

Une fois j’émettais les pensées droites et j’ai vu Shifu me donner trois outils divins. L’un était une fleur de lotus, un autre, un sac rose et bleu , et le troisième un râteau aiguisé de fermier. La fleur de lotus avalait les êtres pervers. Le sac rose et bleu restait aplati au sol et comme les êtres pervers n'en savaient rien, ils sautaient dedans et le sac se refermait brusquement et attrapait la plupart d’entre eux. Le râteau de fermier se cachait dans une machine et quand les êtres pervers passaient par là le râteau descendait et les attrapait ainsi j’ai éliminé beaucoup d’êtres pervers.

Quand j’étais petite, j’écoutais ma mère étudier le Fa et parfois écoutais les conférences. Maintenant que je suis plus grande, j’apprends à lire Zhuan Falun en chinois. Bien que je lise très doucement et que ça me prenne beaucoup de temps pour finir deux paragraphes, je m’améliore chaque jour. J’espère que la prochaine fois je pourrais lire mon partage d’expériences en chinois.

Merci Shifu
Merci compagnons de pratique !

Version chinoise disponible à http://minghui.ca/mh/articles/2011/9/1/小弟子在大法中修炼-246110.html

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