Un jour un pratiquant de Falun Dafa bavardait avec un de ses anciens camarades de classe, dès qu’il a mentionné que Jiang avait commis la plus mauvaise des actions, son camarade a répondu, « Je sais, il a persécuté le Falun Gong. Le monde entier le sait. » Il a alors raconté qu’il avait fait un voyage aux Etats-Unis récemment et avait été profondément touché. Avant de partir à l’étranger, tous les membres du groupe devaient passer par une « séance d’éducation préventive » dans une agence de la sécurité publique ; là ils ont été prévenus de ne pas lire les affiches clarifiant la vérité exposées par les pratiquants de Falun Dafa à l’étranger ; il y avait aussi des agents spéciaux dans les groupes pour empêcher leurs membres d’entrer en contact avec les pratiquants et d’accepter d’eux des imprimés une fois arrivés aux Etats-Unis.Ils n’ont pu que regarder les affiches de loin ; ils n’osaient pas s’en approcher ni accepter des documents. Même avec cette restriction, ils ont ouvert les yeux. Le camarade a dit sincèrement, « Vérité, Bonté, Patience est extrêmement puissant, Jiang ne peut rien y faire. »
"Ne causez pas d’ennuis aux dirigeants de l’entreprise "
Le mari d’un ami pratiquant est vice-président d’une entreprise ; il sait que Falun Dafa est très bien et il a continuellement soutenu sa femme dans sa pratique du Falun Gong après le 20 juillet 1999.
Lorsque des pratiquants ont déposé des VCD et des matériaux clarifiant la vérité dans la zone résidentielle de son entreprise, le directeur du comité résidentiel lui a amené des documents pour demander des instructions.
Ce vice-président a vu la situation et a dit ; « Vous devriez y réfléchir plus attentivement ; si vous ne voulez pas lire les documents, laissez les là et ne les prenez pas ; si vous voulez les lire alors prenez en un ; ne causez pas plus d’ennuis aux dirigeants de l’entreprise. Ils [régime de Jiang] mettent en place une « politique d’implication » [un système qui tient les dirigeants d’entreprise pour responsables de quiconque pratique le Falun Gong dans leurs unités de travail] Si vous le rapportez aux dirigeants, alors que devront ils faire ? Si nous ne faisons rien, nous nous inquiétons de leurs pressions, si nous faisons quelque chose, ça n’en finira pas ; cela ne perturbera t- il pas le fonctionnement pour nous. Nous ne voulons plus d’ennuis non plus. » Le chef du comité résidentiel a compris immédiatement. Depuis lors, il fait semblant de ne pas connaître la situation, et la section sécurité de l’entreprise fait de même.
Traduit de l'anglais
http://www.clearharmony.net/articles/200301/9948.html
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