Nom : Li Junxia (李军霞)
Genre : Féminin
Âge : Inconnu
Adresse : Pension de famille de la banque industrielle et commerciale, district de Hankou, Wuhan, province dU Hubei
Profession : Inconnue
Date du décès : 2009
Date de la dernière arrestation : Décembre 2006
Dernier lieu de détention : Un hôpital psychiatrique de Wuhan
Ville : Wuhan
Province : Hubei
sévices subis : Travaux forcés, lavage de cerveau, condamnation illégale, hôpital psychiatrique, détention
Mme Li Junxia a été victime de la persécution du Falun Gong. Elle a été harcelée de façon répétée, et a développé un désordre mental après que les agents du Bureau 610 l’aient détenu dans un hôpital psychiatrique fin 2006. Elle est décédée après être tombée d’un bâtiment en 2009.
Mme Li continuait à expliquer aux gens combien elle avait bénéficié de la pratique de Falun Dafa après que le Parti communiste chinois (PCC) ait commencé la persécution, le 20 juillet 1999. Une policière retraitée l’a dénoncée et accusée d’organiser des activités de Falun Gong. La police l’a considérée comme un cas majeur. Bien que n’ayant trouvé aucune preuve, ils ont arrêté Mme Li et l’ont condamnée à vingt-et-un mois de travaux forcés simplement parce qu’elle était une pratiquante.
En juin 2003, des agents du Bureau 610 l’ont arrêtée dans une autre ville, et détenue dans un centre de lavage de cerveau à Wuhan. Elle a réussi à s'enfuir, mais e dû rester hors de la ville pour éviter un harcèlement supplémentaire.
Aux alentours de décembre 2006, des agents du Bureau 610 de Wuhan l’ont découvert et de nouveau arrêté dans l’agglomération de Xiamen, province de Fujian. Ils l’ont d’abord détenue dans le centre de lavage de cerveau, puis dans un hôpital psychiatrique. Ils ont même appelé sa famille, les ont menacés, et leur ont demandé de payer pour son " traitement."
Nous ignorons ce qui est arrivé à Mme Li à l’hôpital psychiatrique. Sa famille a remarqué qu’après sa libération, elle souffrait d’un désordre mental. Elle se cachait le visage dans la poitrine de sa mère dés qu’elle entendait des sirènes de police. Lorsqu’on la questionnait sur l’origine des deux profondes marques rouges sur ses chevilles, elle était effrayée et ne répondait pas.
Elle avait été surveillée par la police depuis qu’elle avait été libérée de l’hôpital psychiatrique. Elle était suivie même lorsqu'elle rendai visite à des amis pendant les fêtes.
Elle est décédée après être tombé d’un bâtiment en 2009.
Version chinoise disponible à :
http://www.minghui.org/mh/articles/2010/9/25/230121.html
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