J'ai commencé à pratiquer Falun Dafa en 1996. À cette époque, ma fille n'avait que six ans et je l’ai souvent emmenée avec moi quand j’allais sur le site de pratique. Ma fille a commencé le lycée en 2007. Durant les longues vacances d’octobre, elle a ressenti une gêne dans la poitrine. Peu de temps après son retour au lycée, ses côtes ont commencé à lui faire mal. Plus tard, l'Institut du Cancer de l’Académie chinoise de Science Médicale lui a diagnostiqué une tumeur maligne lymphatique à un stade avancé mesurant 11,3 x 8,9 cm. Elle avait alors 18 ans.
Les experts médicaux nous ont dit que ce type de tumeur, à un stade avancé, croît de façon exponentielle. En un mois, l'état de ma fille s'est détérioré de manière drastique. Son cœur a été poussé hors de sa position par la tumeur, sa trachée et l'œsophage avait peu de place à gauche. Elle avait des difficultés à manger des aliments normaux et pouvait seulement prendre un peu de nourriture liquide. De temps en temps, elle était à court de souffle et avait des difficultés à respirer. Moi sa mère avais le cœur peiné en la regardant . Je me suis éveillée au fait que sa maladie était un grand test pour moi, et j’ai fermement nié les arrangements des forces anciennes. Peu importe ce que seraient les résultats de ce test ou examen, je n'ai rien reconnu de tout ça. Pendant ce temps, je n'ai jamais utilisé les mots "cancer" et "maligne". Nombre de fois, je me suis adressée intérieurement au Maître : " Aucune épreuve ne peut arrêter ce disciple sur le chemin du retour et l'empêcher de suivre le Maître. Tout est arrangé par le Maître ».Par conséquent, pendant tout le temps que ma fille était malade, j'ai utilisé la
Devant la gravité de l'état de ma fille, les experts ont déclaré que sa vie pourrait être en danger à tout moment. Par conséquent, ils ont fait une exception et admis ma fille à l'hôpital Sanhuan, une extension de l’Institut du Cancer de l'Académie chinoise de Science Médicale. On lui a attribué une chambre pour deux patients. Ma fille a eu la chance que le jour où elle est entrée à l'hôpital, l'autre patient l'avait quitté l'hôpital, et aucun autre patient n’a pris sa place. Cela a créé un très bon environnement pour ma fille et moi pour étudier la Loi. Par conséquent, j'ai utilisé toutes les occasions et le temps nécessaire pour que ma fille entre en contact avec Dafa.
Un après-midi, peu après que ma fille ait été admise à l'hôpital, elle a soudainement eu de la difficulté à respirer. Son état ne s'est pas amélioré par l'inhalation d'oxygène, et au lieu de cela a empiré. Même avec le débit d'oxygène au maximum, il n'y avait aucune amélioration. Son visage est devenu bleu, sa respiration s’est accélérée, de grosses gouttes de sueur coulaient sur son visage et son corps était presque raide. Sa vue semblait trouble et elle regardait tout le monde en face de son lit - ma fille aînée, mon mari et moi - comme si elle faisait ses adieux définitifs. Le médecin était également en sueur, il ne savait pas quoi faire. Au début, j'avais tellement peur que je ne savais pas quoi faire, mais j'ai vite retrouvé mon calme. J’éliminais continuellement les facteurs pervers dans les autres dimensions de ma fille et j’ai demandé au Maître de la renforcer pour passer ce test de la vie et la mort. Cette atmosphère tendue a duré une vingtaine de minutes. Puis sa respiration a semblé s'améliorer un peu, et elle a indiqué le réservoir d'oxygène. Elle était trop faible pour parler. J'ai deviné qu'elle voulait baisser un peu le débit d’oxygène, ce que j'ai fait. Après une dizaine de minutes, tout était redevenu normal.
Cette nuit-là, ma fille m'a dit: " Maman, je suis passé par la mort ce matin. Mon passage d’air était un fil mince. C'était si difficile d'obtenir un souffle, je ne pouvais plus respirer du tout. Comme je me débattais, une voix m'a dit: " Arrête de respirer et tu seras soulagée. La douleur de ne pas pouvoir respirer a été difficile à supporter, alors j'ai utilisé mes yeux pour vous dire adieu un par un. Juste à ce moment, une pensée a surgi: " Je ne peux pas mourir. J'ai encore Maître, j'ai encore Dafa. Qu'arriverait-il à mon père, ma mère et ma sœur, si je suis morte ? Je ne peux pas mourir. Au moment où cette pensée est apparue, mon canal de respiration a semblé s’ouvrir peu à peu. J'ai pu respirer à nouveau ". Si je ne l’avais pas vu moi-même, qui l'aurait cru? Avec l'aide du Maître, ma fille a passé l'épreuve de la vie et de la mort.
Le lendemain matin, le médecin a autorisé ma fille à aller dans la cour dans un fauteuil roulant pour prendre un peu de soleil. Il faisait beau ce jour-là, et son humeur dépressive s’est également améliorée sous le soleil. Ma fille était pleine d'espoir et de joie: " Maman, j'ai décidé de ne pas passer par la chimiothérapie. Je veux rentrer à la maison et pratiquer Dafa avec vous ". J'ai regardé ses yeux, ils étaient pleins d'espoir et de détermination. J'étais tellement émue. Je l'ai aidée à s'asseoir et lui ai dit: " J'ai attendu cette phrase de toi. Mais la cultivation est une affaire sérieuse. Ce n'est pas quelque chose que tu décides dans l’enthousiasme du moment. Tu dois y réfléchir parce que c'est un choix impliquant la vie et la mort ".
Je savais très bien que si ma fille ne pouvait pas se débrouiller toute seule, une fois qu'elle aurait commencé à pratiquer Dafa, elle pourrait faire face à des situations potentiellement mortelles, à tout moment. Non seulement elle pourrait perdre sa vie mais aussi donner aux gens une impression très négative de Dafa. Bien sûr, mon mari a été vivement contre l'idée. Cependant, ma fille était déterminée. Elle a insisté pour être à la maison et pratiquer Falun Dafa, peu importe ce que mon mari disait. Bien que mon mari était encore contre cette idée, il n'a pu convaincre ma fille par aucun moyen. En fin de compte, il n'a pu que la ramener à la maison.
La cultivation est vraiment une question sérieuse. Le lendemain de son retour à la maison, ma fille n'a soudainement plus pu uriner. Elle est allée aux toilettes à plusieurs reprises, mais en vain. Elle a commencé à avoir peur craignant que sa vessie n'ait été endommagée .Comme elle avait peur, son pied gauche a commencé à ressentir des engourdissements et la sensation s'est déplacée lentement vers la jambe. Elle a eu encore plus peur, les symptômes ont empiré et la sensation d'engourdissement est devenue plus forte. Vers 14 heures, ses deux pieds étaient engourdis et elle ne pouvait plus marcher. N’ayant pas d'autre choix, nous ne pouvions que la ramener à l'hôpital. Au moment où nous sommes arrivés à l'hôpital, le bas de son corps avait perdu toute sensibilité. Elle était clouée au lit sans pouvoir contrôler ni sa vessie ni ses selles. Elle avait même besoin d'aide pour se retourner dans son lit. En conséquence, elle ne pouvait continuer qu’avec un traitement de chimiothérapie.
Pendant le traitement de chimiothérapie, ma fille a reconsidéré l’événement et je l’ai aidée à l’analyser. Maître a dit : " la peur est aussi un attachement" et " le processus de cultivation dans son ensemble pour un pratiquant est d’abandonner constamment les attachements humains " (
Le quatrième traitement de chimiothérapie était sur le point de toucher à sa fin. Un matin, ma fille m'a dit qu'elle avait pleuré toute la nuit et qu'elle se sentait encore très mal. Elle a dit qu'elle avait fait le même rêve encore et encore durant cette nuit: elle était couchée sur le lit et une autre elle -même était en face d'elle et pleurait. L'autre elle-même a dit à plusieurs reprises " Comment se fait-il que je ne puisse pas faire mieux! Comment se fait-il que je ne puisse pas faire mieux ". Les pleurs de l'autre elle-même rendaient celle dans le lit très triste. Ma fille dit qu'elle sentait avoir laissé tomber le Maître. Maître avait nettoyé son corps, mais elle avait continué avec la chimiothérapie qui avait introduit tant de poison dans son corps, et elle se sentait vraiment désolée.
À la fin du mois d'avril 2008, ma fille avait achevé la première phase de la chimiothérapie et elle était toujours paralysée. Avec la permission du personnel de l'hôpital, nous l’avons ramenée à la maison pendant un certain temps afin de l'aider à se préparer pour la prochaine séance de chimiothérapie. Une fois à la maison, ma fille a passé presque tout son temps à étudier la Loi. Elle a rapidement fini de lire tous les articles et les conférences du Maître. Le lendemain matin, nous nous apprêtions à retourner à l'hôpital, quand elle nous a appelés mon mari et moi dans sa chambre. Elle nous a dit vivement: " Papa, maman, durant les quatre derniers mois où j'ai été malade, c'est comme si j'avais vécu quarante ans. Cette fois, je suis claire. Maître a raison, être un être humain signifie souffrir. Un homme devrait revenir à son vrai soi. À partir de maintenant, je vais cultiver Dafa sans réserve. Si je ne peux pas terminer dans cette vie, je continuerai dans la prochaine ! " Mon mari n'était pas d'accord, "Avez-vous oublié la leçon de la dernière fois?" Ma fille a répondu honnêtement: " En fait, la dernière fois je l'ai fait pour éviter la chimiothérapie. J’ai saisi une chance et j’étais à la poursuite de la guérison. Après plusieurs mois d'étude la Loi, je comprends maintenant que Maître est entrain de guider les gens vers les niveaux élevés. Un pratiquant doit utiliser la norme des niveaux élevés pour se guider lui-même. Ce n'est que lorsque son xinxing s'améliore, que les maladies peuvent être guéries. Ne vous inquiétez pas, je vais suivre un critère / le critère pour un pratiquant et bien marcher sur mon chemin cette fois-ci. "
Juste comme ça, ma fille a commencé à pratiquer Dafa à nouveau. Comme Maître a dit dans Zhuan Falun, " Quand la nature de Bouddha émerge, le monde des dix directions en est ébranlé. Celui qui voit ça va venir donner un coup de main et aider cette personne sans condition ". Lorsque la qualité d'éveil de ma fille s’est améliorée, elle a étudié la Loi, pratiqué les exercices et envoyé des pensées droites sans jamais en manquer une. Quand elle ne pouvait se tenir debout, elle s'appuyait contre le mur pour faire les exercices. J'avais peur qu'elle tombe, j’essayais donc de me tenir en face d'elle à chaque fois, mais elle disait toujours: " Maman, je ne tomberai pas, ne t’inquiètes pas! ". Avec une volonté tenace, ma fille était entrain d’accomplir sa promesse. Elle suait abondamment quand elle faisait les exercices Avec une maladie si grave, la douleur de l'élimination du karma est difficile à décrire avec des mots, mais elle n'a jamais prononcé une parole. Chaque jour, outre dormir la nuit, elle passait tout son temps à étudier la Loi. Elle se plongeait dans la Loi et faisait confiance au Maître. Une fois, je lui ai demandé ce que c'était que d'éliminer le karma. Elle dit: " En fait, quand vous m'avez vu reprendre Zhuan Falun après avoir pris une pause dans l’étude de la Loi avec vous, cela a été le moment le plus difficile "
Au cours de cette période, l'état de ma fille a changé de jour en jour. Du moment où elle a promis de pratiquer Dafa à nouveau, en une dizaine de jours, elle avait changé d’état : d'une personne paralysée, qui ne pouvait pas prendre soin d'elle-même, à être capable de marcher en se tenant au mur, et elle devenait chaque jour plus solide. À partir de la mi-octobre, ma fille a pu faire du vélo dans la rue. La Loi de Bouddha est infinie, la grâce de Bouddha est infinie ! Durant le Nouvel An chinois, ma famille entière s’est agenouillée devant le portrait du Maître et l'a remercié de nous avoir sauvés et d’avoir donné à ma fille une seconde chance de vie.
Version chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2010/8/15/228338.html
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