Quelles sont nos pensées lorsque des compagnons de pratique sont maltraités ?

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Aujourd'hui, j'ai lu un article dans Minghui Weekly: "Reconnaître la persécution équivaut à suivre les arrangements des forces anciennes." Je pense de la même manière. Récemment, un pratiquant de mon canton a été arrêté pour avoir clarifier la vérité. Nous avons appris qu'il serait détenu pendant 15 jours. Certains compagnons de pratique ont semblé l' accepter. Quand on leur demandait si le pratiquant allait être libéré, ils comptaient le nombre de jours, parce que cela ne faisait pas encore 15 jours. Ils semblaient croire, qu'après 15 jours, il serait assurément relâché. Ces notions, d'après moi, ne se fondaient pas sur la Loi.

"La matière et l'esprit sont une seule et même chose" selon Zhuan Falun. Accepter les arrangements des forces anciennes est comme coopérer avec la persécution. Les disciples de Dafa sont des pratiquants sur le chemin divin. Comment peuvent-ils écouter les forces perverses? Comment peuvent-ils écouter les êtres humains qui sont contrôlés par les forces perverses? Il y a des pratiquants qui pensent que les ordinateurs, les imprimantes et les matériaux de clarification de la vérité peuvent être retenus comme "preuve" contre eux. C' est également une notion humaine. Les gens ordinaires ont des ordinateurs et des imprimantes chez eux. Pourquoi le Parti communiste ne les maltraite-t-il pas? Nous plaçons-nous en fait dans la position d'être persécuté, pensant qu'être en possession d'équipement de production de matériel nous mènera à être persécuté ? Reconnaissons-nous la persécution ? Nos ordinateurs et nos imprimantes sont en train de faire la meilleure chose, la chose juste. Il n'y a rien de mal à sauver les êtres. Ils ne sont pas des preuves qu'on peut utiliser dans la persécution. Maître ne reconnaît pas la persécution. Les disciples de Dafa non plus. Nous sommes des êtres divins avec des pensées droites qui font la chose juste. Ceux qui nous persécutent font une mauvaise chose, et la loi de l'univers ne le permet pas.

Concernant la question de secourir les compagnons de pratique, nous devons également regarder à l'intérieur. Des pratiquants demandent à être libéré, et certains émettent de puissantes pensées droites. Est-ce que certains pratiquants ont toujours l'attachement à compter sur les autres? Sont-ils insensibles à secourir les compagnons de pratique? Regardent-ils véritablement les affaires des autres pratiquants
comme les leurs ? Est-ce que notre cœur et notre esprit "s'agitent comme une lentille d'eau, remuant au premier soupçon de vent"? ("D'après le roman La calamité de l'univers") Quand des compagnons de pratique sont arrêtés, chacun de nous doit regarder à l'intérieur afin de déterminer si nous nous sommes coordonnés et avons coopéré comme un seul corps selon les exigences de la Loi. Chaque pratiquant ne joue-t-il pas un rôle en tant que particule de Dafa dans le corps uni?

Je ne parle d'aucune personne en particulier, je partage juste mon point de vue concernant ce phénomène. Merci de m'indiquer si je suis dans l'erreur. Certainement, si des compagnons de pratique sont arrêtés, nous devrions tous activement émettre des pensées droites, distribuer des documents clarifiant la vérité, clarifier les faits et coopérer comme un seul corps. Faire ces choses met réellement en détresse la perversité. Si nous éliminons tous nos notions humaines, alors "après avoir passé sous l'ombrage des saules, il y aura l'éclat des fleurs et un autre village à l'horizon!" (Zhuan Falun)

Version chinoise disponible à :
http://www.minghui.org/mh/articles/2010/6/10/225152.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

Contacter les éditeurs :
[email protected]

* * *

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.