Témoin du champ d’énergie du Falun Gong

Récemment, alors que j’étudiais "Le champ d’énergie" dans le livre Zhuan Falun, je me suis rappelé très clairement de deux choses que j’ai vécu.

Archives photo de Clearwisdom: Champ d’énergie---visible au moment de la pratique des exercices

Avant que la persécution ne commence le 20 juillet 1999, nous avions créé un groupe local d’étude de la Loi (Fa). Je me souviens que c’était un bâtiment de style ancien composé d’une seule pièce, dont la taille était d’environ douze à treize mètres carrés. Habituellement plus de vingt personnes se joignaient au groupe, et une trentaine ou plus y assistaient les week-ends et pendant les vacances. Parce qu’il y avait autant de monde entassé dans un si petit espace, la pratiquante qui vivait là enlevait presque tous les meubles de la pièce, y compris son lit, pour faire de la place pour chacun et nous nous asseyions par terre sur des nattes. Au début, nous n’étudiions la Loi qu’une fois par semaine, environ une heure à chaque fois, et le temps passant, nous avons prolongé notre étude de la Loi de deux heures, étudiant une leçon chaque jour. Pendant quatre ans nous avons apprécié ce précieux environnement d’étude de la Loi en groupe. Même quand il faisait extrêmement chaud et humide en été, ou pendant les mois d’hiver où toutes les fenêtres étaient fermées, la pièce ne sentait jamais le renfermé, même avec autant de monde entassé ensemble dans un si petit espace. Au lieu de cela, il y avait un léger parfum qui remplissait toute la pièce (la pratiquante n’utilisait aucun désodorisant dans sa maison), et qui rafraîchissait tout le monde. Il m’arrive encore de regretter de ne plus avoir ce merveilleux et paisible environnement de cultivation que nous avions.

Alors que le 20 juillet 1999, le régime communiste chinois commençait la persécution, et que de nombreux pratiquants du Falun Gong se rendaient au Bureau des Appels du Conseil d’Etat pour clarifier la vérité et faire appel pour Dafa, ils ont été arrêtés et détenus dans le Stade Fengtai de Pékin. Cette nuit là, la police est venue avec de grands autocars pour transférer les pratiquants. J’ai été transféré du stade au centre de détention de Daxing. Le bus était tellement bondé que si quelqu’un voulait se retourner, les autres devaient lui faire de la place. Tous étaient entassés les uns sur les autres. Même si cela était inconfortable, les pratiquants laissaient les places assises pour les pratiquants âgés, les enfants et les femmes, hommes et femmes essayaient d’éviter le contact physique direct. Après notre arrivée au centre de détention, les fonctionnaires de police ne se sont pas souciés de l’inconfort de la situation dans le bus, et ils n’ont même pas autorisé les pratiquants âgés à utiliser les toilettes. Les pratiquants ont été maintenus dans le bus pendant plus de six ou sept heures. Il fait très chaud à Pékin à la fin du mois de juillet et il n’y avait pas de vent cette nuit-là. Avec autant de monde bloqué dans un bus qui avait été exposé aux rayons du soleil et à la pluie toute la journée, dont les vêtements avaient été alternativement mouillés puis séchés plusieurs fois, il n’y avait pas la moindre odeur ni sensation de moiteur inconfortable. Pas un seul pratiquant ne s’est senti mal à l’aise. Tandis que nous endurions des conditions si difficiles, la beauté de Dafa se manifestait.

Ces deux expériences m'ont fait comprendre que peu importe où et quand, Falun Gong est le meilleur et le plus droit, *

" Il n’y a que le champ d’énergie de cultivation et de pratique d’une Loi juste qui soit capable de jouer un tel rôle." (Zhuan Falun)

Version chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2010/5/10/222880.html

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