Bien que je sois un intellectuel et puisse écrire des articles professionnels, je ne suis pas doué pour écrire des articles personnels, donc je n'ai jamais osé écrire pour le site Minghui. Avant que je ne commence à pratiquer Falun Dafa, le plus fort attachement que j'avais était la volonté de débattre. Je faisais cela toute la journée, luttant farouchement avec les gens sur tous les sujets. Après avoir commencé à cultiver, j'ai corrigé mes insuffisances, mais j'aimais encore accuser les autres dès que je voyais quelque chose d'inapproprié chez eux. En particulier depuis que j'étais professeur au collège, je critiquais sévèrement les étudiants dès que je voyais un problème chez eux. Bien que je savais très bien que c'est ce dont le Maître parlait lorsqu'il disait d'éliminer les facteurs pervers, j'étais incapable de me corriger moi-même. Maître voulait que nous mentionnions les mauvaises actions des autres avec une bonne volonté et une attitude noble, mais j'étais incapable d'arriver à cela. Bien que je le regrettais sincèrement après coup et faisais des reproches, je n'arrivais pas à changer cette habitude.
Lors de mon étude récente des conférences du Maître, j'ai souvent vu le mot "rires", comme "Maître rit" ou "le public rit." Au début, j'étais un peu curieux, me demandant pourquoi le Maître laissait le mot "rires" dans les retranscriptions des conférences. Par la suite, lorsque j'ai regardé l'enregistrement vidéo de la "Loi enseignée aux pratiquants d'Australie," j'ai soudain réalisé que le sourire du Maître nous enseignait aussi la Loi. Quand Maître sourit-il ? Maître sourit lorsqu'un disciple fait bien quelque chose. La Maître sourit aussi, quelque fois avec les larmes aux yeux, si un pratiquant ne fait pas bien ou fait mal quelque chose. Je n'ai vu ni colère ni critique dans ses yeux. Il y a seulement de la bienveillance. J'ai finalement compris le "sourire" du Maître. Le Maître nous dit que, si nous sommes confrontés aux erreurs ou aux déficiences des autres, nous ne devrions pas les blâmer ou les critiquer sévèrement. Mais au lieu de cela, nous devrions leur faire remarquer leurs erreurs avec bonté et bienveillance et résoudre tous les problèmes avec un sourire et la bonne volonté. En réalisant cela, j'ai petit à petit appris à "sourire." À présent, je peux discuter avec compassion de choses avec les étudiants lorsque je trouve qu'ils ne travaillent pas assez ou qu'ils jouent dans des cafés Internet ou dans des salles de jeux.
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Version chinoise disponible à :
http://minghui.org/mh/articles/2010/2/8/217756.html
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.
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