Le Parti communiste chinois (PCC) utilise les énormes ressources du trésor national du pays pour persécuter le Falun Gong. Cela a aussi encouragé la pratique d'extorsion financière au sein de la police locale et des fonctionnaires du gouvernement qui persécutent les pratiquants de Falun Gong.
Selon un article publié sur le site web Minghui, Mme Wang Cunhua, la soixantaine passée, de la ville de Weifang, dans la province du Shandong, a été arrêtée le 16 mars 2005, alors qu'elle expliquait les faits à propos du Falun Gong et a alors été détenue au Centre de détention de l'agglomération de Weifang. Un policier a appelé le frère de M. Wang et demandé de l'argent. Il a dit très clairement qu'à moins que le frère ne verse l'argent, Mme Wang serait envoyée en camp de travaux forcés. Autrement dit, qu'un pratiquant soit relâché ou persécuté ne dépend que de l'argent. Une telle extorsion déguisée est en soi une forme de persécution. Et ce qu'ils demandaient n'était pas une petite somme et aurait représenté un poids considérable pour n'importe quelle famille normale.
La police n'a cure que ceux qu'ils menacent puissent ou non le supporter. L'argent est leur seule préoccupation. S'ils laissent quelqu'un repartir sans être "payés", alors comment pourront-ils continuer leur trafic d'argent dans le futur ? C'est devenu une politique à mots couverts au sein de la police chinoise.
Cela s'applique non seulement à ceux qui s'occupent directement des pratiquants, mais aussi parmi ceux qui travaillent dans des organisations similaires, tels que le Bureau 610. Comme la famille de Mme Wang était incapable de payer la somme demandée, elle a été envoyée au Camp de travaux forcés de la province du Shandong. Elle avait autrefois perdu la vue d'un de ses yeux et était reconnue comme handicapée. Par conséquent, elle a initialement été rejetée par le camp. Toutefois, un fonctionnaire du Bureau 610 qui a escorté Mme Wang au camp ne voulait pas la relâcher si facilement sans obtenir d'argent d'elle, ce qui lui aurait fait perdre la face. Il a soudoyé le camp en leur donnant 1000 yuans afin qu'ils l'acceptent.
N'est-ce pas encore plus pervers de la part d'un tel fonctionnaire ? "Ta famille n'a pas pu me verser d'argent pour ta libération. Alors je te ferai souffrir dans le camp même si je dois payer de ma propre poche." Pour cette somme de 1000 yuans, les règlements du camp ont été ignorés.
Mme Wang a été détenue deux ans dans le camp de travail. Parce qu'elle était presque aveugle et incapable d'assumer un travail difficile, elle devait nettoyer les couloirs toute la journée. Lorsqu'on lui a demandé si elle pratiquait Falun Gong, elle a dit : "Je pratique Falun Gong pour être une bonne personne. Mon Maître ne m'a pas pris un sou, mais m'a donné une bonne santé, sans prendre de médicaments je jouis d'une excellente santé."
Ces simples mots et son attitude envers l'argent reflètent l'état d'esprit des pratiquants de Falun Gong. Ce sont les policiers, les fonctionnaires du gouvernement, et les représentants du PCC qui sont esclaves de l'argent.
Tous les pratiquants de Falun Gong à travers le monde font de leur mieux pour expliquer les faits à propos de la pratique en en assumant eux-mêmes les frais. Ils n'ont reçu aucun argent du gouvernement, ils agissent comme le leur dicte leur conscience. De l'autre côté, sans argent, le PCC ne peut pas poursuivre sa persécution du Falun Gong ne serait-ce qu'un jour de plus. Les gens jugeront par eux-même qui est bon et propre et qui est mauvais et corrompu.
Le 19 septembre 2009
Version chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2009/9/21/208686.html
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