La nuit des trilobites (2ème partie)

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En dépit de la force avec laquelle la doctrine évolutionniste a été appliquée dans la biologie contemporaine au cours du siècle dernier , les faits vous obligent à douter de la validité de la mutation et de la sélection naturelle comme étant la force motrice derrière l’origine des espèces.


La “Queue du petit singe” et autres organes résiduels

Jusqu’à voici quelques années, les biologistes évolutionnistes ont déduit que de nombreux organes dans l’organisme humain, apparemment sans fonction, devaient avoir été le résultat de vestiges évolutionnistes – des traits absurdes et des organes qui dans un passé lointain auraient servi les espèces, mais étaient devenus à présent des résidus totalement inutiles.

Au début, les scientifiques ont composé une liste d’environ 180 organes résiduels pour les humains. Mais le temps passant, et avec la découverte de fonctions respectives pour chacun de ces organes mystérieux, cette liste a sérieusement décliné. De nos jours, il n’existe plus aucun des anciens organes qui n’aient été identifiés comme utiles pour l’homme.

Même le coccyx, qui était supposé être le vestige d’un ongle simien, s’est révélé être un point d’insertion pour les muscles périnéaux ; un endroit de soutien pour le gluteus, et pour la cavité pelvienne, parmi d’autres fonctions. Il en va de même pour l’étrange appendice, qui est actuellement attribué aux fonctions immunitaires, où la glande thyroide, qui dirige le métabolisme corporel.


De la rotule au squelette – une chemin extrêmement hypothétique

Ces quelques dernières décennies, la paléontologie a été suffisamment chanceuse pour déterrer quantité de tonnes de vestiges fossilisés. Le registre d’ espèces du lointain passé a semblé croître d’une année à l’autre, enrichissant une culture à la recherche des origines et des changements de toute plante terrestre et de toute vie animale. Toutefois, à la lumière de l’analyse impartiale des preuves découvertes, les soi-disant "chaînons évolutionnistes " des différentes espèces ne semblent pas aller beaucoup plus loin qu’une simple théorisation effectuée pour les scientifiques darwiniens.

Le premier grand obstacle a été de considérer ces éléments sans préconception évolutionniste et le registre de chaque espèce comme une pièce unique, peut-être même sans connexion avec des espèces passées ou futures– notion hérétique pour nombre d’investigateurs qui s’empressent d’essayer avec ferveur de lier une espèce à une autre.

Le résultat exprimé par le paléontologue Tim D. White, semble résumer la situation dans laquelle se trouvent eux-mêmes les paléontologues – les espaces blancs du chaînon évolutionniste ne sont pas complètement comblés ; on ne comble un grand espace que pour en créer deux plus petits.

C’est le produit de cette façon de penser actuelle qui a conduit la plus grande partie de la société à assumer largement des concepts non vérifiés comme des vérités absolues : que les oiseaux sont descendus des reptiles ; que les humains sont descendus de l’ " homme singe ", etc.

Considérez aussi la façon dont l'enregistrement fossile est reconstruit. La preuve d’une espèce préhistorique est constituée d' éléments épars – tels que des dents, des fragments de crane, des rotules, des côtes etc . Même l’aspect externe et les organes mous de ces animaux sont reconstruits à partir de ces fragments.

Une telle pratique a amené Stephen Gould, un géologue évolutionniste à Harvard, à déclarer : “La rareté extrême des formes transitionnelles dans le registre fossile persiste comme le secret de fabrique de la paléontologie. Les arbres évolutionnistes qui ornent nos manuels n'ont de données qu'aux pointes et aux nœuds de leurs branches, le reste est inférence, aussi raisonnable soit-elle, et non la preuve des fossiles."

En fait, Charles Darwin lui-même a avoué que sa théorie manquait de preuves fossiles valables, et qu’il ne pouvait pas illustrer son livre en dehors de simples suggestions artistiques.

Peut-être que le résultat le plus connu dans cette ligne de pensée est la typique chaîne hominidé de l’évolution, généralement représentée par un singe qui apparaît avec des bras progressivement raccourcis tout en gagnant peu à peu une posture érigée pour culminer en un respectable et véritable " Homo sapiens " à la peau blanche.

Il n’y a bien sûr pas de véritable telle connaissance, mais ce rendu artistique finissant par donner l'impression d’une transition graduelle d’une espèce à une autre, est ce que nous en sommes venus à croire comme étant une véritable représentation de nos ancêtres. En réalité, l’aspect superficiel définitif de chaque espèce est toujours demeuré une monde impossible à élucider adéquatement pour les anthropologues.

C'est seulement en cherchant à réaliser une science plus mature, basée sur l’observation impartiale et l’expérimentation du changement dans tout le corps cosmique, en construisant pas à pas une discipline ouverte, une science de la rigueur, et avec le courage de renverser toute vieille théorie préétablie (comme Copernic l’a fait en son temps avec le géo-centrisme, ou comme il en a été de la physique d’Einstein et Newtonienne), que l’homme de science pourra avoir un espoir de s'approcher d’une vérité qui englobe effectivement la totalité de notre merveilleux univers.


La nuit des trilobites (1ère partie)

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