Des adhérents sont toujours arrêtés, maltraités et envoyés dans des camps de travail en très grand nombre.
Dix ans après que la Chine ait lancé une brutale persécution du Falun Gong, les pratiquants sont toujours arrêtés, maltraités et envoyés dans des camps de travail en grand nombre.
Alor que les pratiquants du Falun Gong à travers le monde étaient rassemblés ce week-end pour manifester contre les mauvais traitements en Chine, Amnesty international a mis en avant le cas d’un couple âgé– dont la fille vit à Berlin – qui ont été arrêtés par des policiers en civil des Brigades de la sécurité nationale dans la région de la Mongolie intérieure lors d'une rafle de nuit le mois dernier.
Bien que les images que retient principalement le monde occidental de la répression d’état chinoise soit le massacre de la Place Tienanmen qui a eu lieu il y a une décennie, la persécution du Falun Gong – qui pratique des exercices pour une cultivation du corps et de l’esprit appelés qigong – commence à se faire connaître.
Les pratiquants estimés de 60 à 100 millions sont présumés avoir été torturés et envoyés dans des instituts psychiatriques et camps de travail où ils ont été forcés à renoncer à leur croyance et à dénoncer d’autres pratiquants.
Selon Amnesty, des dizaines de milliers de pratiquants ont été arbitrairement détenus en Chine depuis que le mouvement a été interdit comme étant une " menace à l’ordre public et politique" en juillet 1999. Ceux accusés d’être des leader ou des organisateurs ont été emprisonnés. La grande majorité cependant, a été envoyée dans les installations controversées de rééducation par le travail, sans procès et souvent sans pouvoir avoir recours à un avocat.
Natalie Gao, qui vit à Watford, Hertfordshire, est la fille de Qiao Yongfang et Yan Dongfei, tous les deux âgés de 60 ans et qui ont été arrêtés dans la ville de Huhot dans la région de la Mongolie intérieure en juin. Elle va remettre une pétition à leur sujet et à propos de la persécution du Falun Gong à Downing street demain.
“Nous ne sommes pas autorisés à leur parler. Quand nous appelons les Brigades de la sécurité nationale ils disent que mes parents ne sont pas coopératifs " a-t-elle dit." Cela veut dire qu’ils n’ont pas écrit une lettre dénonçant le Falun Gong ou donné des noms d’autres pratiquants."
Kate Allen, la directrice d’Amnesty International du RU a dit: “L’histoire de Natalie vous brise le cœur. Ses parents devaient venir en visite au RU pour voir leur petit fils à la fin du mois. Aujourd’hui au lieu de se préparer à la visite de sa famille, Natalie s’inquiète pour leur sécurité dans un centre de détention chinois. »
http://www.buzzle.com/articles/287625.html
Version chinoise disponible à :
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2009/7/21/109342.html
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.
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