Un député du Ministère des Affaires Etrangères a fait un discours poignant sur les droits de l'homme déclarant que la défense des droits de l'homme était fermement ancrée dans la tradition britannique, soutenant ceux qui sont incapables de se défendre contre les violations. Il a continué dexpliquer pourquoi le gouvernement britannique a été si fortement inquiété par les violations des droits de l'homme dans d'autres pays en disant : « La politique étrangère et la politique intérieure sont étroitement liées. L'instabilité, l'agitation et le conflit à des milliers de kilomètres ont des implications pour notre sécurité, notre commerce extérieur et l'investissement ». Après le discours, un pratiquant est monté sur le podium et a parlé au député, lui demandant un rendez-vous personnel pour discuter de la proposition de l'Article 23 de la loi anti-subversion de Hong Kong, qui limiterait sévèrement la liberté d'expression et le droit de pratiquer le Falun Gong à Hong Kong. Le député a volontiers accepté la demande des pratiquants
Plus tard, trois pratiquants ont assisté à la session de questions/réponses. Le public était composé denviron 100 personnes face à un panel de défenseurs de droits de l'homme bien connus. L'auditoire a été invité à poser des questions aux défenseurs. Un pratiquant a tranquillement préparé une question et a patiemment attendu une occasion appropriée pour la poser. La session tirait à sa fin et quelques personnes avaient la main levée. Le pratiquant qui a voulu poser la question a chuchoté à un autre pratiquant, "comment puis-je poser ma question ?". L'autre a chuchoté d'une voix ferme mais calme, "décide que tu vas poser ta question!" Presque immédiatement, le président a regardé dans la direction des pratiquants et on a passé le micro à une autre personne qui se tenait à côté du pratiquant qui avait la main levée, mais le président a indiqué que l'on devait donner le micro au pratiquant. Elle a dit, "je suis une pratiquante britannique de Falun Gong et ma pratique est violemment persécutée en Chine. La Chine a signé la Déclaration de Nations Unies des Droits de l'homme et a été admise à l'OMC. Quel est l'avis des intervenants sur les droits de l'homme en Chine ? ». Une avocate spécialiste des droits de l'homme a montré son inquiétude au sujet des violations des droits de l'homme en Chine et a dit qu'elle avait travaillé avec « la base » en Chine, particulièrement par rapport au traitement des femmes. Un fonctionnaire supérieur, qui conseille le FCO a dit que le FCO avait parlé deux fois cette année aux autorités chinoises pour sélever contre la persécution du Falun Gong et continuerait à faire pression auprès de la Chine lors de ses rencontres avec les fonctionnaires chinois pour en finir avec les mauvais traitements
A la fin de la session, les pratiquants ont personnellement remercié les intervenants pour leur soutien.
Traduit de l'anglais
http://www.clearharmony.net/articles/200212/8755.html
Published : Thursday, 12 December 2002
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