Un écrivain iranien en exil voit dans Shen Yun l’âme même du peuple chinois

Un écrivain iranien a amené sa fille voir le spectacle samedi 18 avril. Le père et l'enfant étaient tous deux émus par la danse "Persécuté sur un chemin sacré". M. Bahar a dit : "Pour moi, l'histoire du papa, de la maman et de l'enfant était la meilleure."

M. Bahar, écrivain iranien

La danse décrit un père qui reste déterminé à pratiquer le Falun Gong, une discipline spirituelle interdite en Chine. Il est persécuté à mort, mais la danse véhicule une très ancienne croyance chinoise que le bien sera finalement récompensé.

M. Bahar a dit "Elle [sa fille] aime aussi la danse à propos de la famille. Elle n'a cessé de me demander que se passe-t-il ? Pourquoi le papa va-t-il après au ciel ?"

À l'idée que le père allait au ciel parce qu'il était bon, Jalis, sa fille s'est exclamée "Oui !" et a applaudi. M. Bahar a dit "Je suis très très heureux. J'essaierai d'écrire un article là dessus plus tard. J'ai beaucoup aimé. Je viens d'Iran et suis écrivain, et j'aime l'histoire de la Chine. J'écris sur l'histoire persane" Il a expliqué qu'il avait été emprisonné en Iran à cause d'un livre qu'il avait écrit. Il s'est enfui en occident et vit depuis des années à Amsterdam.

Il a dit " Je devine que l'âme de la Chine est comme cela. Très, très ..." Jalis l'a interrompu en disant "C'était très très bien !" M. Bahar a poursuivi : "Beaucoup de gens disent que les Chinois sont très tranquilles, mais qu'il y a une tempête dans leur cœur, une tempête de vie."

M. Bahar a formulé un dernier souhait : "Si vous en avez l'opportunité, dites bonjour aux musiciens de ma part. Personne ne les voit, mais ils soutiennent un si beau spectacle. J'ai aimé entendre leur musique."

Traduit de l'anglais de :
http://www.theepochtimes.com/n2/content/view/15646/

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