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NEWARK, N.J.—L'orateur adjoint de l'Assemblée général du New Jerzey, Upendra J. Chivukula, était un des dignitaires à assister lundi au Chinese New Year Spectacular en Tournée mondiale 2009 au New Jersey Performing Arts Center à Newark.
Pendant l'entracte, M. Chivukula a décrit sa réaction à ce qu'il avait vu du spectacle jusque là. "C'est merveilleux - les couleurs, le décor, la chorégraphie et la photographie [toile de fond digitale] sont remarquables !"
“Et très éducatif, j'ai tant appris de la culture chinoise vieille de 5000 ans - et comment tout cela est arrivé. C'était très joliment expliqué .”
“La culture est très riche et il y a tant dont nous et le monde pouvons apprendre. Le Bouddha symbolise la paix et on y parle de comment la vie est éternelle et que c'est un don de Dieu et que nous devons le chérir et aussi tenter de co-exister en essayant de nous aider mutuellement. Pour quelqu'un qui n'est pas spirituel, je pense que nous pouvons comprendre [la spiritualité] à travers le spectacle. En particulier dans la danse à propos de la fleur qui ne fleurit qu'une fois tous les trois mille ans”
La danse évoquée par M. Chivukula s'appelle La Floraison d'Udumbara. Une ancienne légende bouddhiste parle d'une fleur miniature qui ne fleurit que tous les 3000 ans. Sa floraison annonce l'arrivée d'un grand sage ou d'un être éveillé. La chorégraphie de cette danse exquise prend son inspiration des grottes bouddhistes de Dunhuan dans l'ouest de la Chine ainsi que dans la danse indienne. La fleur d'Udumbara a été vue récemment dans de nombreux endroits du monde.
“La chorégraphie des danses entend montrer la philosophie bouddhiste, et ils ont fait un travail phénoménal. C'est tellement beau !"
M. Chivukula était aussi très impressionné par les chanteurs. "La soprano et le ténor étaient tout simplement fantastiques !”
Les solistes ont des années d'expérience et sont formés dans les plus grandes académies musicales de la Chine continentale. Une des chanteurs dans le spectacle a dit que son inspiration pour certaines de ses chansons venait de ses croyances spirituelles et que sa pratique de raffinement physique et spirituel (Falun Dafa] l'a éclairée et lui a donné une chance de comprendre la véritable signification de la vie et la nature de l'univers. Mme Yang a dit lors d'une interview précédente : "La musique ce n'est pas simplement des notes jouées ensemble pour constituer des mélodies, mais des mondes qu'elle peut toucher, ressentir et dans lesquels elle peut vivre." Lorsqu'elle chante elle sent qu'elle est en train de "révéler au public des mondes que ne connaissent que les divinités, des mondes spectaculaires empreints d'une majesté merveilleuse."
M. Chivulua a aussi beaucoup appris de la danse La légende du pinceau . La scène se passe dans les premières années de l'antiquité chinoise, où au fin fond des montagnes, un groupe de savants se préparent à graver des inscriptions sur des rouleaux de bambou. Les anciens chinois croyaient que, non seulement l'humanité a été créée par les Divinités, mais aussi que les outils et les autres inventions leur ont été divinement transmis, au moment opportun. Dans cette danse bouleversante, un Taoïste descend du ciel pour remettre le pinceau." Je pense qu'en termes d'écriture et comment cela a commencé avec la gravure sur le bambou, et notre développement jusqu'à écrire avec un stylo - c'était spectaculaire - très intéressant, j'en ai beaucoup appris.”
M. Chivukua est parti sur ces mots : “J'ai adoré le spectacle et je reviendrais l'an prochain !”
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