Le maître du Massey College: ‘Stupéfiant, Spectaculaire’

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John Fraser, un des journalistes canadiens les plus estimés et membre de l’ordre du Canada, a été impressionné par la profondeur et la qualité des prestations du spectacle de Divine Performing Arts en tournée mondiale (Jason Loftus/The Epoch Times.)


TORONTO—Divine Performing Arts en tournée mondiale 2009 est une production de très grande qualité avec un message de triomphe spirituel sur l’adversité, selon le directeur d’un collège d’élite affilié à l’Université de Toronto.


John Fraser, le maître du Massey College, a assisté au spectacle mardi soir à Toronto. M. Fraser est un journaliste canadien, auteur et membre de l’Ordre du Canada, la plus haute récompense civile du pays.


“Étonnant, spectaculaire, n’est-ce pas ?” a dit M. Fraser en sortant du John Bassett Theatre mardi soir. “Autant de danseurs , et autant de styles différents. C’est en quelque sorte irrésistible.”


M. Fraser a déjà vu le spectacle de la Divine Performing Arts en 2007 et remarqué que le spectacle était devenu un succès permanent.


“Je trouve qu’il est intéressant que ce soit la troisième année que le spectacle est venu ici, et qu’il y ait foule, les gens l’aiment manifestement, et c’est nouveau chaque année. " a-t-il dit
M. Fraser a dit qu’il recommandait le spectacle.


‘Je ne pense pas qu’il ait besoin de ma recommandation, toutefois. Je crois qu’il n’y avait pas un siège inoccupé dans la salle. "


La carrière de M. Fraser a souvent été étroitement liée aux arts. Il a été à la fois critique de danse et de théâtre pour le Globe and Mail national. Pendant sept ans, il a été rédacteur du Saturday Night, un magazine influent dans le domaine des arts. Il a aussi enseigné la critique de théâtre à l’Université de York.


M. Frazer a obtenu l’attention internationale en 1974 pour avoir aidé la superstar du ballet Mikhail Baryshnikov à déserter au Canada. Il a par la suite écrit un livre sur le théâtre de ballet américain qui a été nommé " le livre de l’année " du Dance Magazine.


M. Fraser a rencontré Mme Tia Zhang, directrice de la Divine Performing Arts New York Company, à la fin des années 1970 en Chine où elle était une danseuse et une enseignante accomplie.


“Tia Zhang a toujours eu le plus haut professionnalisme, alors naturellement ça se retrouvait dans le spectacle de ce soir. " a dit M. Fraser. " Et il était manifeste que le public était vraiment enthousiasmé. Un numéro après l’autre était de très haute qualité. "


Le critique d’art chevronné a été impressionné par plusieurs aspects du spectacle.


“J’ai été vraiment fasciné par les costumes,” a-t-il-dit, référant à la variété des équipements traditionnels conçus pour chaque numéro, beaucoup utilisant des couleurs éclatantes et des manches fluides ou des jupes.


Il a aussi fait l’éloge des toiles de fond digitales dernier cri, qui étaient animées et intégrées à plusieurs des danses.


“Je n’ai jamais vu les effets scéniques jusque là, les saints qui descendent et tout cela, donc j’ai trouvé que c’était une idée assez formidable, " a-t-il dit.


Et il a loué les présentateurs pour une séquence pleine d’humour dans laquelle ils ont présenté la combinaison des instruments occidentaux et chinois dans l’orchestre live.


M. Fraser, est une source respectée sur la Chine, ayant servi comme correspondant à Pékin pour le Globe and Mail peu après la fin de la Révolution culturelle lorsque quelques autres journalistes occidentaux étaient en poste dans le pays. Il est aussi l’auteur d’un livre à succès : The Chinese: Portrait of a People.


Il s’est rappelé les arts qu’il avait vus en Chine lorsqu’il était là bas, remarquant que bien les Chinois étaient à nouveau autorisés à jouer, les spectacles “devaient tous servir un but” pour le régime.


“Donc, il n’y avait pas vraiment le sens de dimension spirituelle qu’il y avait dans le spectacle de ce soir,” a-t-il dit.


M. Fraser a évoqué les références au divin dans le spectacle.


“ll parle à l’esprit qui en anime la conception, et aussi à l’horrible persécution que les pratiquants de Falun Gong ont souffert en Chine”, a-t-il dit.


Dans Persécutés sur un chemin sacré, un père est persécuté pour sa croyance en Falun Dafa (Falun Gong), une discipline spirituelle traditionnelle dont les pratiquants sont persécutés en Chine actuellement. Et plus tard, dans Dignité et Compassion la compassion d’un pratiquant éveille la bonté d’un policier, amenant le persécuteur à changer

“Quiconque connaît des pratiquants de Falun Gong sauront qu’ils sont des personnes douces, aimantes et que ceci [la persécution en Chine] est un simulacre,” a-t-il dit.


“Mais telle est la nature de la réaction du gouvernement chinois à n’importe quel groupe qui ose parler une autre voix, une voix de douceur et de raison. Donc c’est à la fois une tragédie, mais aussi – comme plusieurs autres numéros essayaient de le montrer – un triomphe, aussi, sur ce genre d’adversité. "


Il a ajouté que l’histoire du Falun Gong, qui a attiré des millions de croyants, y compris beaucoup parmi les rangs du régime chinois, montre que les Chinois n’ont pas oublié les aspects divins de leur culture.


“Vous devez présumer que ce n’est que la peur et la force qui empêche la spiritualité du peuple de se manifester,” a-t-il dit. " Je ne pense pas qu’il faille présumer qu’ils n’en ont pas. C’est juste qu’ils ne sont pas autorisés à l’exprimer. "


La Divine Performing Arts New York Company achevait une série de sept représentations avant de partir pour Montreal puis pour le célèbre Radio City Music Hall à New York. Pour davantage d’ information, veuillez visiter DivinePerformingArts.org.

http://en.epochtimes.com/n2/content/view/10297/

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