Bonjour vénérable Maître!
Bonjour compagnons de pratique!
Le chemin de ma cultivation n’a pas été facile et j’étais trop honteuse pour l’écrire et le partager. Cependant quelque chose m’a fait changer d’avis. Quand la deuxième Conférence de partage d’expériences sur Internet a été annoncée en 2005, j’ai encore refusé d’écrire. Le jour de la date limite j’ai fait un rêve. J’étais dans une classe et le Maître récupérait les feuilles de partage d’expériences des pratiquants. Je gardais la tête baissée en espérant que Maître n’allait pas me voir. Cependant le Maître s’est arrêté en face de moi pour récupérer la mienne. J’étais très embarrassée et j’ai immédiatement promis au Maître que j’écrirai mon expérience le lendemain. Depuis, j’ai soumis une expérience chaque année à chaque Fahui. Si mon expérience n’est pas publiée, je lis les expériences des autres pratiquants et je regarde en moi pour trouver mes lacunes. Si mon expérience est publiée, je regarde attentivement les corrections apportées par les éditeurs pour trouver mes attachements. En outre, écrire un partage d’expérience est en soi la cultivation. Ci-dessous ce que j’aimerais partager avec mes compagnons de pratique.
L’étude de la Loi
Obtenir la Loi est la chose la plus précieuse qui me soit arrivée. Le Maître a mis tout ce dont on a besoin pour la pratique dans le livre
Les changements chez ma mère
Les huit années où j’ai pratiqué c’est l’attitude de ma mère envers Dafa qui m’a fait croire aux miracles et aux épreuves de la cultivation. L’année 2000 a été la plus dure de ma vie. Alors que j’allais m’effondrer mentalement et physiquement j’ai entendu parler de Falun Dafa ! Les mots ne pourront décrire ma joie quand ma nature de Bouddha s’est reliée avec la Loi. J’ai mis fin à mon assurance vie et vendu toutes mes actions. J’ai trouvé le chemin de retour et tout ce que je voulais précédemment n’était plus que du vent. Une fois alors que je pratiquais le deuxième exercice, j’ai vu une divinité debout devant moi souriant. Mais je l’ai ignorée. Tout ce que j’avais en tête était : " Je veux seulement suivre le Maître et rien d’autre ne m’intéresse." La divinité a disparue.
J’ai commencé à pratiquer alors que la persécution du Falun Gong était à son paroxysme. La TV et les nouvelles n’étaient remplies que de mensonges et de propagande contre Dafa. Ma famille, particulièrement ma mère était contre et s’inquiétait pour moi. Ma mère m’a dit récemment qu’à l’époque elle avait peur que je ne les tue tous pour les amener au paradis. En 2002, j’ai été emprisonnée. J’ai refusé d’accuser le Falun Gong et allais perdre mon emploi, ma famille et ma maison. Ma famille pensait que j’étais folle et a essayé de me faire enfermer dans un hôpital psychiatrique. Après que je me sois sauvée de prison j’ai été forcée de quitter la maison et je suis allée vivre chez un parent. Ma mère est venue s’occuper de moi car elle pensait que si le gouvernement m’arrêtait de nouveau je connaitrai une vie misérable et comme elle le disait elle voulait passer le "reste de sa vie " avec moi. En voyant ma mère lutter j’ai récité : " Retourner, une fois mon vœu accompli, Je reviendrais pour les aider tous à rentrer. " de "Visite au pays natal " tiré de Hong Yin, en espérant que les ténèbres finiraient par disparaître.
A cette époque, ma mère était tellement en colère après moi qu’une fois elle m’a jetée un tabouret à la figure et a ajouté un somnifère dans l’eau que j’allais boire en espérant que j’allais dormir et que je ne pratiquerai pas Falun Dafa. Mais le somnifère n’a pas fait effet. Ma mère comprenait à peine que sa fille avait changé du tout au tout grâce à la pratique. Être capable de se sauver de prison et revoir à nouveau le ciel était la manifestation de la puissance de Dafa. Ma peau qui pelait quand j’étais en prison a cessé de peler dès que j’en suis sortie. Je sentais que l’énergie qui circulait autour de mon corps tournoyait avec force et que mon corps était électrifié toute la journée. La première nuit que j’ai passée chez ma parente j’ai vu le Maître en rêve. Le Maître assis sur de larges feuilles de lotus faisait le grand Mudra. Une lumière rouge couvrait le Maître. C’était une vision tellement magnifique ! Je me suis réveillée au milieu de la nuit et n’ai pas pu arrêter de sourire pendant un long moment.
Puis je suis partie très loin où j’ai trouvé un emploi facile et bien payé. Chaque fois que je rentrais à la maison, je disais à ma famille la vérité à propos de la persécution du Falun Gong. Après m’avoir écoutée et avoir vu les VCD de clarification de la vérité, ma famille a finalement a compris la vraie nature du PCC. Ils ont vu que je paraissais plus jeune et plus belle et ils ont graduellement changé leur attitude envers Dafa. Ma Mère a dit : " Bien sûr que 'Vérité, Compassion, Tolérance' est bon !" Ma mère ne voulait toujours pas que je parle à d’autres de ma pratique. Je lui ai dit que je savais comment me protéger et combien il était important de sortir et de dire la vérité aux gens à propos de Dafa et de faire de bonnes choses. Je lui ai parlé aussi des miracles expérimentés au cours de ma cultivation.
Ma grand-mère avait une affection cardiaque et une hernie discale. Il semblait qu’elle ne vivrait pas longtemps. Ma famille avait déjà commencé à préparer son enterrement. Quand je suis rentrée à la maison pour une visite, j'ai dit à ma grand-mère de réciter "Falun Dafa est bon" et elle l’a fait. En une semaine, elle a pu s'asseoir après être restée alitée pendant plusieurs mois. Elle arrivait de nouveau à respirer facilement et peu de temps après elle a même commencé à marcher. Je l’ai revue six mois plu tard et elle avait repris une bonne partie du poids qu’elle avait perdu et elle avait bon appétit. Ma nièce de trois ans était très malade. Elle avait souvent besoin de piqure ou d’intraveineuse. Elle prenait également beaucoup de médicaments chaque jour. J’ai téléchargé beaucoup de chansons d’enfants et des dessins animés sur le site Minghui (version chinoise de Clearwisdom) pour qu’elle puisse les écouter et les regarder. Je lui ai donnée aussi une copie de
Ma mère a commencé à croire en Dafa et a commencé à mettre des fleurs fraiches devant la photo du Maître. Elle m’a demandée de lui raconter des histoires bouddhistes et a dit qu’elle commencerait à pratiquer une fois que le Falun Gong serait réhabilité. Quand je donnais des CD de Falun Dafa à des proches souvent elle intervenait pour dire : " Regardez-le ! C’est intéressant ! " Une fois je pratiquais les exercices avec un appareil MP3 suspendu à mon cou. L’appareil a soudain émis une lumière blanche aveuglante et ma mère l’a vue. Le jour suivant je l’ai entendue dire à un parent : " Ma fille va devenir une divinité. " J’ai ri mais j’ai vu que ma mère était fière de sa fille.
Des histoires de gens démissionnant du Parti communiste chinois (PCC)
Un directeur d’usine est venu dans mon bureau pour affaires. Je lui ai dit de démissionner du PCC pour son avenir. Il m’a crue mais il a eu peur que le chef du bureau du PCC, Hu, ne le découvre. Je lui ai dit que Hu ne le découvrirait jamais puisque je ne lui dirais jamais. Il a été heureux de démissionner et depuis chaque fois qu’il venait à mon travail il passait me voir. Afin que les gens se sentent en sécurité après avoir démissionné du PCC, je cultive diligemment ma parole dans ma vie quotidienne.
J’ai commencé à travailler dans un site de production de matériels de Dafa. Un jour je suis allée me faire couper les cheveux dans un salon de coiffure pas loin. J’ai parlé à la jeune fille de la nature violente et hypocrite du PCC tout en essayant d’éliminer les mauvais éléments dans son esprit. Cependant le salon était très proche du site de production de matériels et je m’inquiétais pour la sécurité du site. Je ne lui ai pas demandée de démissionner du PCC. Plusieurs jours plus tard, dans mon rêve je l’ai vue me tenir par la taille, me priant de venir à nouveau me faire couper les cheveux et elle me promettait de me faire une réduction. Je me suis réveillée avec une sensation de tristesse en pensant que j’avais perdu cette occasion et je savais que je devais la sauver. Avant d’y aller, j’ai émis des pensées droites : " Éliminer toute interférence de l’environnement, éradiquer tout souvenir de moi une fois que je l’ai sauvée." Je l’ai aidée à démissionner et je lui ai dit que si sa famille voulait démissionner ils n’avaient qu’à écrire sur un billet de banque qu’ils démissionnaient du PCC et le dépenser. Elle a été d’accord. Elle m’a appris qu’un pratiquant lui avait déjà suggérée de démissionner du PCC mais elle ne l’avait pas fait à cette époque. J’avais saisi une bonne occasion !
Une fois alors que je vivais avec ma mère, deux nonnes sont venues demander l’aumône. Je leur ai donné de la nourriture et en ai profité pour les pousser à démissionner du PCC. Je leur ai aussi dit que j’avais perdu ma maison, mon emploi et ma famille parce que je pratique le Falun Gong et étais contrainte de vivre avec ma mère. Elles ont démissionné du PCC et de ses organisations affiliées. Avant de partir je suis allée dans ma chambre pour leur chercher des amulettes(1). Elles m’ont suivie jusqu’à ma chambre et elles ont vu la photo de Maître. L’une d’elle s’est écriée : " Oh aujourd’hui je suis venue dans la maison d’un Bouddha ! " Avant de partir elle a ajouté : " Cette maison est si propre". J’espère que cela les aidera à obtenir la Loi plus tard.
Je suis une particule de Dafa
Je dis souvent au Maître: “Maître, je suis une particule de Dafa. Là où tu me mets, je ferais les choses que je dois faire. " J’ai trouvé ma résidence permanente fin 2007. J’ai commencé à aider les pratiquants avec la fabrication de matériels de Dafa. Peu de temps après que je sois arrivée là, un pratiquant en charge des matériels de Dafa a été arrêté. La plupart des pratiquants de cet endroit ne pouvaient pas aider. Je me suis rappelée qu’avant je vienne ici, le Maître m’avait dit dans un rêve de travailler sur une terre abandonnée. Je suis restée et j’ai travaillé au site fabriquant du matériel parce que je savais que c’était l’endroit où j’étais supposée être.
J’avais quelques économies aussi je n’ai pas eu à chercher un nouvel emploi. J’essayais de faire de mon mieux et partageais mon temps entre l’étude de la Loi, l’émission des pensées droites et la fabrication de matériels. Souvent j’avais l’impression d’être dans un état vide et que mon esprit était vide. Ce que je faisais était de suivre un mécanisme en mouvement et le résultat était toujours bon. Quel que soit le nombre de matériels dont le coordinateur avait besoin, je pouvais toujours les fabriquer. Je pensais que je travaillais peut-être dans une autre dimension et que le temps de cette dimension ne me restreignait pas. Je considérais chaque équipement du site comme un collègue de travail. Je partageais souvent avec eux des expériences et je leur mettais la musique de Dafa. Les équipements avaient rarement des problèmes. Je fabriquais seulement du matériel qui à mon avis était fondé sur la Loi. La plupart du temps j’utilisais du matériel que je prenais sur le site Minghui et j’évitai les autres. Quand les pratiquants me demandaient de fabriquer des matériaux qui à mon avis n’étaient pas basés sur la Loi, je refusais et leur expliquais pourquoi.
Il n’y avait pas assez d’argent pour fabriquer des matériaux de Dafa aussi j’utilisais mes économie pour aider. Je vivais une vie très simple. Tout ce qu’un pratiquant possède, que ce soit son argent ou sa compétence, est une ressource de Dafa et nous avons besoin de l’utiliser soigneusement pour la Loi.
Les pratiquants allaient rarement dans des endroits reculés et certains endroits proches n’avaient jamais entendu parler de Dafa. Aussi avec un autre pratiquant nous sommes allés à ces endroits pour délivrer des matériaux de Dafa. Nous suivions en cela les mots du Maître : "Pour que pas un endroit où il y a des gens ne soit oublié " (Abandonner le cœur de l’homme, sauver les gens de ce monde). Parfois nous ne rencontrions des familles qu’après avoir marché un long moment. Parfois après avoir grimpé une montagne on ne voyait rien d’autre qu’un poteau. Néanmoins, nous collions des dépliants qui contenaient la vérité au sujet de Dafa afin que les gens qui voyagent puissent les voir. A ce jour, nous avons couvert en une fois presque la totalité de la région. Les choses se passent bien si nous gardons tout le temps une pensée droite.
En marchant dans les endroits reculés je ne me suis jamais sentie étrangère mais plutôt comme chez moi. Un jour l’autre pratiquante m’a dit qu' elle n’était jamais venue à ces endroits pendant des décennies. J’ai répondu : " Je ne suis pas venue ici pendant des siècles." Peut être avais-je raison. Dans mon rêve, j’ai vu que l’autre pratiquante et moi avions été des pratiquantes dans des temps préhistoriques. A l’époque, je fabriquais aussi du matériel de Dafa. Nous avions traversé tant de périodes difficiles en attendant cette occasion sans précédent. J’ai suivi le Maître jusqu’à ce jour. Je ne suis plus une pratiquante puérile. Comme la rectification de la Loi arrive à sa fin, je voudrais juste bien faire toute chose afin de mériter d’être appelée une pratiquante.
Note:
(1) Amulettes - en Chine les pratiquants
Version chinoise disponible à:
http://www.minghui.org/mh/articles/2008/11/2/188142.html
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