Chine - Pratiquantes torturées au camp de travail forcé Hohhot, Mongolie intérieure

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Voici mon témoignage sur ce qui a transpiré dans le camp de travail forcé pour femmes de Hohhot:


Hu Suhua, une pratiquante de Dafa de la ville de Chifeng, 49 ans, a été transférée du camp de travail forcé Tumoqi au camp de travail forcé pour femmes de Hohhot en 2000. En avril 2000, la police l’a menottée à son lit pendant 25 jours parce qu'elle demeurait immuable dans sa croyance. Elle ne pourrait pas rester debout, ni dormir ou s'asseoir. Les prisonniers dans sa cellule ont devaient la tenir pour qu’elle puisse se soulager. En raison du sérieux gonflement de ses jambes, elle a eu des difficultés à marcher. En mai 2001, elle a été menottée de nouveau à son lit pendant 38 jours. Certains jours, on ne lui donnait aucune nourriture. En raison de son refus d’écrire la "lettre de renoncement", la police a augmenté la hauteur de son lit en ajoutant quatre briques supplémentaires sous chaque pied, ce qui a rendu l'expérience encore plus douloureuse.


Le 2 juillet 2001, la police a publiquement prononcé un discours devant tous pour calomnier Dafa, ainsi Hu et beaucoup de pratiquantes se sont présentées pour sauvegarder Fa ,,,,( Loi ou principes du Falun Gong] . Le capitaine de police, les policiers et les prisonniers toxicomanes ont répondu en battant brutalement les pratiquantes de Dafa. Ils ont utilisé les bâtons électriques pour électrocuter, donné des coups de pied et utilisé des ceintures de cuir pour fouetter les pratiquantes. Ceci a continué jusqu'à ce que les policiers soient trop fatigués pour continuer. Le capitaine de police et les officiers ont enrôlé les prisonniers pour continuer la torture en leur offrant des réductions de peines.


L'après-midi du 3 juillet 2001, les gangsters ont torturé de nouveau des pratiquantes de Dafa. Hu a été battue jusqu'à ce qu'elle perde trois fois conscience. Le jour suivant, tout le monde pouvait voir les contusions noires et pourpres partout sur son corps, aussi bien que les croûtes sanglantes. Il était difficile de trouver un morceau de peau indemne ayant échappé aux coups.


Le 7 novembre, ensemble avec plus de dix autres pratiquantes, nous avons commencé une grève de la faim pour protester contre la persécution. Nous avions éprouvé leur torture et avions été alimentées de force avec de l'eau salée par la police et les prisonniers. Hu Suhua avait été menottée dans une chambre sans chauffage pendant plus de dix jours. Le temps en Mongolie intérieure était déjà assez froid en novembre, mais la police a ouvert toutes les fenêtres et lui a enlevée ses vêtements afin de la faire souffrir d’avantage.

Zheng Xiuxia, 56 ans, a été saisie et placée dans un centre carcéral le 2 avril 2000 parce qu'elle avait été attrapée en train de pratiquer les exercices dans un endroit public à deux occasions. A l'intérieur du centre carcéral, elle a été cruellement battue et brutalement torturée d’innombrables fois par les gardes parce qu'elle continuait à pratiquer les exercices et à étudier la Loi quotidiennement. Une fois à 21 heures, le directeur du centre carcéral et les deux instructeurs ont exigé que Zheng et quelques pratiquants aillent dehors. Ils ont versé de l'eau par terre puis les ont fait tomber de sorte que leurs vêtements soient trempés. Alors, ils les ont electrocutés avec les bâtons électriques, les ont battus avec des tubes en plastique et leur ont donné des coups de pied avec leurs bottes en cuir. Ils ont même piétiné les têtes des pratiquants et ont tordu leurs membres dans les deux sens. Les pratiquants ont été blessés sur tout le corps. À la fin de ceci, ils ont dit cruellement: "Aujourd'hui verra votre fin." Cependant, les pratiquants ont refusé de céder, incarnant "Cultiver immuablement Dafa, la volonté inébranlable ." ("La Vraie Nature Révélée")

Durant la période de froid glacial en Mongolie intérieure, les gardes ont pris Zheng et plus de dix autres pratiquants de Dafa dehors, là ils leur ont ordonné d’escalader un mur limitrophe sans interruption. Les mains des pratiquants de Dafa étaient gelées, et leurs mains et pieds étaient couverts d’ampoules et de sang suintant. Les gardes ont torturé les pratiquants pendant deux nuits consécutives. Après onze mois au centre carcéral, Zheng a reçu l’annonce qu'elle avait été condamnée à une an de travail forcé. Après que cette année soit passé, elle est allée à Beijing pour faire appel pacifiquement treize jours après avoir été libérée du camp de travail forcé. Elle a alors été , pour la deuxième fois, envoyée dans un centre de détention et condamnée à trois ans de camp de travail forcé.

Le 30 mai 2001, Zheng et 38 autres pratiquantes de Dafa ont été envoyées au camp de travail forcé pour femmes de Hohhot. Là, elle a constamment exigé de pratiquer les exercices. Ainsi, la police l’a menottée au lit pendant dix-huit jours et nuits, ses pieds étaient enflées comme des brioches, elle ne pouvait plus mettre ses chaussures. La peau sur sa main était éraflée et le pus suintait de la peau. Tous ces incidents n'ont pourtant pas pu changer son cœur envers Dafa. Elle avait supporté les insultes et la torture de la police mauvaise. Son corps était toujours noir et bleu des coups. Au cours d'une grande réunion le 2 juillet 2001, elle a dit, "Falun Dafa est bon." Avant qu'elle ait fini sa phrase, la police l’a traînée dehors et l'a brutalement battue, électrocutée avec les bâtons électriques et frappée avec une ceinture en cuir sur tout le corps.


Liu Zhenning, une pratiquante de Dafa de la ville de Ximeng, est une étudiante universitaire de 26 ans. Elle a été illégalement condamnée au camp de travail forcé pour avoir distribué les documents de clarification. Elle a été envoyée au camp de travail forcé pour femmes de Hohhot en 2000. La police a essayé de l'obliger à se compromettre mais elle a fermement résisté. La police l’a alors menottée à son lit de sorte qu'elle est restée agenouillée pendant huit jours, et ses jambes sont devenues méchamment enflées. Le 2 juillet 2001, la police l'a de nouveau brutalement battue, électrocutée avec les bâtons électriques, lui a donnée des coups de pied et a utilisé une ceinture en cuir pour la frapper. À la fin, ils l’ont menottée les mains derrière le dos et l'ont suspendue toute la nuit sans aucune nourriture. Quand ils l’ont descendue le jour suivant, ils lui ont immédiatement donné l’ordre de travailler aux champs sans prendre aucune nourriture. La police l'a encore emmenée l'après-midi. On a dit qu'elle était brutalement battue plus cruellement encore l'après-midi. La police a enlevé ses vêtements et l'a suspendue pour la battre. Ils ont versé de l'eau sur la terre et l'ont électrocutée avec leurs bâtons électriques. La police ne l’a descendue que lorsqu’ils ont été trop fatigués pour continuer à la torturer.

http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2002/11/1/28321.html
http://www.minghui.org/mh/articles/2002/10/15/38061.html

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