Ursula Popiolek, Responsable exécutive de la bibliothèque du Mémorial en honneur aux victimes du communisme/stalinisme à Berlin (Matthias Kehrein/The Epoch Times) |
BERLIN— Ursula Popiolek, la responsable exécutive de la bibliothèque du Mémorial en honneur aux victimes du communisme/stalinisme à Berlin, a dit durant l’entracte la représentation du Chinese Spectacular a "touché mon cœur et mon âme."
Après le dernier rappel de rideau de la matinée du 16 mars au Centre international des Congrès à Berlin (ICC Berlin), Mme Popiolek a dit : "La scène dans la prison était extrêmement puissante, faisant un pont avec ce qui arrivera le moment venu. Je peux imaginer que ces personnes n’appartiennent pas à un pays qui est gouverné par une dictature parce ce sont de véritables individus."
Elle a dit que le message à propos du Falun Gong était pénétrant. " Dans la scène avec l’enfant [Le Pouvoir de la conscience] on voit l’uniformité de la dictature, l’habillement de mauvaise qualité, les maisons alignées, la monotonie et l’ennui. Puis, les deux apparaissent – la femme et sa petite fille. Et soudain l’affection, la compassion et la chaleur se distinguent clairement. Ce qui persuade [le public] vient de la grâce. C’est persuasif parce qu’il n’y ni agitation, ni ordre d’en haut, la simplicité, pas de dictateur qui donne des ordres. " Afin d’exprimer sa réaction personnelle à ce qu’elle a vu, elle a dit : " Je suis très sensible à cela, parce que j’ai vécu dans un système similaire à l’ancienne République populaire allemande. Le communisme est le système le plus inhumain au monde ! "
Elle s’est rappelée des souvenirs de son passé après avoir vu le spectacle. " Cet égalitarisme transforme les gens en robots qui ne savent plus rien de la diversité, ont perdu leurs racines et ne peuvent plus se relier à aucune tradition. Ils veulent avoir une foule docile qu’ils puissent manipuler. Oui, j’en ai fait l’expérience "a-t-elle dit se référant à ses propres expériences sous une dictature communiste.
"Seulement ici, la diversité est apparente dans les couleurs, où il n’y a pas de dictateur ou de personne qui fasse office d’un dieu à adorer. Seules sont exaltées la nature, la tradition, et l’humanité. C’est le message que j’ai reçu."
Version anglaise disponible à :
http://en.epochtimes.com/news/8-3-18/67719.html
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