02-03-2008
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| La sénatrice Mme Gonthier-Maurin:«C’est la première fois que je vois un spectacle de ce type donc je suis venue par curiosité, on a envie de découvrir ce qu’est la Chine, sa culture, on a un sentiment d’extrême richesse.» |
La Divine Performing Arts (Compagnie des Arts Divins) a su toucher le cœur de tous, samedi 1 mars au Palais des Congrès de Paris.
Les grands hommes de l’Etat comme les gens simples, les adultes comme les enfants ont été touchés par le spectacle. Certains ont préféré les tambours, d’autres les danses ethniques, d’autres encore ont apprécié les chants ou l’Orchestre… mais tous ont été enchantés par la grâce, de la pureté et de la tolérance qui émane du spectacle.
Nous avons demandé à Brigitte Gonthier-Maurin, sénatrice de Hautes de Seine, et à Maxime Gremetz, député de la Somme, de nous faire part de leurs impressions.
Brigitte Gonthier-Maurin a su raconter comment les images, la fluidité et la précision des mouvements ont réussi à la captiver.
«J’ai trouvé le spectacle magnifique. C’est une chorégraphie qu’on ne connaît pas. C’est à la fois un mélange de précision et d’extrême fluidité. Les couleurs évidemment sont magnifiques, les costumes sont magnifiques. Je trouve qu’il y a une technique très assumée. Je trouve ça très beau. Mon numéro préféré était la danse de la Mongolie avec les bols. Je crois que ça doit être partagé par beaucoup de monde. J’aimais beaucoup aussi le numéro sur l’eau parce que j’en ai un sentiment de fluidité d’eau », nous a expliqué la sénatrice.
Le député Maxime Gremetz a préféré les tambours et a surtout apprécié le mélange de l’ancien et de l’actuel : «Je suis fasciné. J’ai déjà vu des spectacles en Chine même, mais là c’est quelque chose que je n’ai jamais vu. C’est à la fois ancien, d’une part des civilisations très anciennes et d’autre part, c’est la réalité d’aujourd’hui… ça crée un mélange assez extraordinaire. Mon numéro préféré est celui des tambours, […] c’est très puissant. J’ai pensé tout de suite aux tambours du Bronx qui tapent sur des barils, ce n’est pas le fait qu’ils tapent ou pas sur quelque chose mais qu’il y a un ensemble extraordinaire. C’est prodigieux. »
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| Le député Maxime Gremetz :«Je suis fasciné. J’ai déjà vu des spectacles en Chine même, mais là c’est quelque chose que je n’ai jamais vu.» |
Le député ainsi que la sénatrice ont été ravis également par l’apport de la culture chinoise à la société occidentale qui se réalisent et devient réel dans ce spectacle : « L’orchestre était excellent, ce n’est facile ce mariage d’occident et du chinois. C’est le rêve de la Chine… ce n’est pas parce qu’on va quelquefois en Chine qu’on peut connaître cet apport à la civilisation française, voire universelle. Cela m’inspire toujours que cette civilisation des plus anciennes qui a connu la régression – cela veut dire qu’on peut régresser – et qui prend maintenant sa marche en avant. Je ne connais pas beaucoup d’exemples comme celui là. Donc je suis enchanté », nous a dit le député.
Contrairement à Gremetz, pour la sénatrice Gonthier-Maurin, ce spectacle fut sa première rencontre avec la culture chinoise: « C’est la première fois que je vois un spectacle de ce type donc je suis venue par curiosité, on a envie de découvrir ce qu’est la Chine, sa culture, on a un sentiment d’extrême richesse.<>/i »
« Je crois que c’est absolument important et déterminant que la Chine s’ouvre parce que c’est un grand pays. Il va certainement devenir encore un plus grand pays dans les années à venir. Et je pense que de toute façon les peuples n’ont qu’à gagner à travailler en bonne harmonie à mettre en avant leur diversité, leur culture comme bien commun de l’humanité et la culture chinoise évidemment dans ce cadre là en fait partie. »
Mais l’harmonie est en ce moment loin de se réaliser en Chine. Et le rêve d’enfance qui s’étale devant nos yeux devient par moments une réalité opprimante, évoquée pour certains par la danse tibétaine, pour d’autres par la scène de la persécution des pratiquants de la méthode spirituelle Falun Gong.
« Avec la démocratie ils ont un progrès à faire, on l’a vu dans cette scène et je trouve ça bien », conclut le député Maxime Gremetz.
Le Spectacle du Nouvel An chinois donne sa dernière représentation à Paris dimanche 2 mars à 15h. La Grande Époque est honorée d’être partenaire du Spectacle du Nouvel An chinois.
Pour une couverture complète de l’événement, veuillez visiter la section Shen Yun Celebration du Nouvel An chinois de notre site et pour en savoir plus sur le spectacle, veuillez visiter ce site
Source : http://www.lagrandeepoque.com/LGE/content/view/3665/105/
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