Surpasser les arts populaires et la culture : Hung-Ju, maître de Tai Chi et architecte d'intérieur parle de la Divine Performing Arts (Ière partie) (Photo)

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Dans la soirée du 9 février 2008, la compagnie Divine Performing Arts a tenu sa dernière représentation du Chinese New Year Splendor au Radio City Music Hall à New York. Dans sa tournée de 15 réprésentations, le Splendor a attiré de nombreux artistes qui n'ont pas tari d'éloges sur le spectacle. M. Hung-Ju Chou, grand architecte d’intérieur à New York, est l’un d’entre eux.

M. Chou Hung-Ju Architecte d'intérieur distingué et maître de Tai Chi

M. Chou est aussi maître de Tai Chi, disciple de ‘’La Première Epée sur Terre’’ M Lui Kwok-chuen. M. Chou est une personne discrète, qui participe rarement à des manifestations et ne prend pas souvent la parole. Bien que connaissant déjà un peu Divine Performing Arts, il a découvert de nombreuses surprises en regardant le New Year Splendor. Il a apprécié d'être interviewé et de pouvoir partager ses impressions sur la représentation de ce soir.

Divine Performing Arts établit un exemple pur pour les arts culturels humains

M. Chou a dit que la première chose qui l’a touchée au sujet des Divine Performing Arts était qu’ils avaient surpassé les arts populaires actuels et la culture populaire, et établi un exemple pur pour les arts culturels humains.

Il a dit: ‘’ Je suis venu à New York voici pas mal d'années. Mon épouse et moi travaillons tous deux dans la décoration intérieure. De nombreuses sociétés financières et théâtres, y compris le Radio City, sont nos clients, et nous sommes très familiers avec divers arts populaires à New York. De nos jours, il y a une très mauvaise tendance dans les arts populaires, qui déclinent et dégénèrent. Tous sont en quête de nouvelles percées dans la stimulation sensorielle. Pendant un moment, toutes les publicités dans les rues montraient des nus. Même chose avec les représentations, presque toutes cherchent ces sujets. Cette tendance a débuté dans les années 80 lorsque MTV est apparu. Les sens des gens ont été saturés, comme bombardés au point d’être épuisés. Il semble qu’il doit y avoir de nouvelles stimulations, plus surprenantes pour satisfaire les désirs sensoriels. Cette tendance se poursuit.’’

M. Chou pense que les Divine Performing Arts sont comme un courant clair, coulant dans une direction totalement différente de la culture populaire. Ils tentent d’éveiller les gens pour qu’ils découvrent les valeurs éternelles, et les aident à trouver leurs origines. Jugeant d’après la réaction chaleureuse du public, après ces quinze représentations au Radio City Music Hall dans la ‘’Capitale Mondiale de l’Art’’ – New York, il n’y a pas de doute que les Divine Performing Arts ont réussi.


‘’Tout ce qui s'est diffusé largement et a enduré des tests prolongés doit avoir le meilleur comme fondation’’

M. Chou pense que bien que de nombreuses choses ne soient pas universellement applicables, telles la propagation de certaines religions n’ayant pas de racines profondes et riches ou une bonne culture comme contexte, tout peut être largement accepté. Mais pour endurer des tests prolongés, il doit avoir une fondation qui soit profonde et très bonne.

Il a dit: Je rencontre toujours des chinois du continent, qui disent quelque chose au sujet d’une [croyance spirituelle] en ligne avec ce qu'en dit le Parti communiste. Je leur demande, qu'est-ce que vous lui reprochez ? En fait, vous pensez que ce n’est pas bon ou que cela n’existe pas, mais cela existe, c’est juste que vous ne l’avez pas vu, ou n’avez pas reconnu sa bonté. C'est ma grande impression aujourd’hui.’’

Les Divine Performing Arts surpassent les races, les religions et les croyances

Il y a quelques mois, M. Chou a lu un article dans The Economist, qui discute de la façon dont dans les années 70, les groupes religieux étaient rapidement enterrés du aux attaques du développement technologique et des tendances de la culture populaire. Les gens pensaient que les choses spirituelles ou religieuses seraient enterrées avec le passé. Cependant moins de trente ans plus tard, la religion et la spiritualité ont non seulement survécu mais sont aussi revenues dans le monde. Il a dit : ‘’ En particulier en Chine continentale, sous l'énorme pression de la tyrannie du régime communiste, la renaissance de la foi et des recherches spirituelles sont plus rapides que les experts l’ont imaginé. C'est une autre compréhension que Divine Performing Arts a fait naître en moi.’’

M. Chou a témoigné qu'aussi bien les Orientaux que les Occidentaux ont bénéficié du message transmis par les Divine Performing Arts en dépit de leurs différents environnements religieux. Il a dit : ‘’Au début, je pensais que peut-être, c’était parce que les gens à New York sont plus ouverts d’esprit. Dans une société relativement fermée, les gens dresseront immédiatement une barrière, [disant] vous êtes cette religion, et nous sommes cette religion.’ Mais lorsque vous extrayez les valeurs communes, vous découvrirez qu’il n’y a pas beaucoup de différence.’’

M. Chou pense que les Divine Performing Arts d'aujourd'hui font revivre la culture traditionnelle chinoise par le moyen des arts de la scène, et qu’ils restituent des valeurs éternelles aux êtres humains, qui surpassent les différentes religions et les différentes croyances, et permettent à tous d’accepter ces valeurs avec une attitude aisée, ouverte. Il pense que les Divine Performing Arts signifient le retour de vertus communes.

(à suivre)

Date de l’article original : 16/2/2008
Version chinoise disponible à http://minghui.ca/mh/articles/2008/2/13/172397.html
Traduit de l'anglais de : http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2008/2/16/94416.html


Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

* * *

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.