Epoch Times: Surprises à la première de Holiday Wonders à Baltimore (Photos)

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Par Gary Feuerberg
Journaliste d’Epoch Times à Washington, D.C.
Le 19 décembre 2007

FINALE DU SPECTACLE : La première représentation de cette année de Holiday Wonders s’achève sur la scène du Baltimore's Lyric Opera House le 18 décembre 2007. (Lisa Fan / The Epoch Times)


BALTIMORE—Le public s’est vu offrir une nouvelle représentation éblouissante de danse, de musique et d’art chinois dans Holiday Wonders au Baltimore's Lyric Opera le 18 décembre. Les artistes appartiennent à la Troupe des Arts Divins (TAD) --chorégraphes, chanteurs, et musiciens qui se dédient à faire revivre les grands moments de la culture chinoise de 5000 ans d’histoire.

"La culture est la racine des peuples," dit Peijong Hsieh, directrice de production et accompagnatrice au piano de la TAD. « l’art redonne vie au Temps, » ajoute-t-elle .

Avant que le spectacle commence, ceux qui l’avaient déjà vu l’an dernier étaient dans l’anticipation. « Très touchant, » a dit Dr Chin-Chung Hsu, qui est le commissaire appointé par le gouvernement Taiwanais et représente la communauté taiwanaise à Baltimore. « Je m’attends à ce que soit sensationnel »

Le spectacle commence avec une scène onirique de la Dynastie Tang, qu’on pense être l’âge d’or de la Chine, et dont on dit que la culture est d’inspiration divine. Dans « Création”, chorégraphié par Vina Lee, le peuple chinois dépeint à l’époque, était, dans un sens, plus près de Dieu qu’aujourd’hui, où le matérialisme a gagné les temps modernes.

Nous avons vu dans la scène d’ouverture des êtres divins scrutant de là-haut notre monde. Un Bouddha confie qu’il descendra sur terre et apportera la bonté à l’espèce humaine, en invitant d’autres à se joindre à lui. Puis il apparaît dans la Dynastie Tang en Empereur !

EBLOUISSANT : Le public captivé par la danse, la musique et l’art chinois dans Holiday Wonders au Baltimore's Lyric Opera House le 18 décembre 2007. (Lisa Fan / The Epoch Times)

Les visions et les sons ont éveillé les sens des spectateurs avec un sentiment d’admiration craintive et de grandeur devant le Divin entrant dans le monde humain. Sur terre, les mêmes danseurs se déplacent dans une forme « tangible » et majestueuse qui contraste avec leur danse fluide et divine dans les cieux.

Dans "Tambours de la Cour Tang," une chorégraphie de Michelle Ren, Nous avons vu la puissance de la Dynastie Tang d’une manière différente. Les tambours jouaient un rôle important dans la culture et les célébrations chinoises, ils chassaient, croyait-on, les démons. Dans la bataille, l’ennemi prenait peur au son et à la vue des retentissants tambours Tang. Le présentateur, Leeshai Lemish, réfère au tambour dans l’antiquité chinoise comme à un instrument sacré

"Fabuleux," a dit Larisa Feldsher, interrogée sur ses impressions des danses classiques chinoises de la soirée. Une native d’Union soviétique qui a immigré aux Etats-Unis en 1980, elle était familière du Ballet Bolshoi et sait reconnaître une danse de qualité.

Helen Sze McCarthy, Vice Secrétaire de l’Association du Monde du Vietnam, de Birmanie et du Laos, est une “récidiviste”. “A l’arrivée de chaque spectacle, j’y suis, » dit elle en s’excusant pour son mauvais anglais. « Je voudrais que ça ne s’arrête jamais. Je resterais là toute la nuit ."

http://en.epochtimes.com/news/7-12-19/63074.html


Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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