Au printemps de cette année, le dirigeant du bureau 610 [une agence spécialement créée pour persécuter le Falun Gong, détenant le pouvoir absolu sur chaque niveau dadministration du Parti et tous les autres systèmes politiques et judiciaires) Luo Gan, sest rendu à la ville de Changchun pour vérifier le niveau des classes de lavage de cerveau de la ville [les classes de lavage de cerveau, gérées par le gouvernement, tentent de forcer les pratiquants de Falun Dafa à abandonner leur croyance en Vérité-Compassion-Patience par des moyens de coercition, dabus et de torture]. Après linspection, il sest déclaré insatisfait de lefficacité des classes et a ordonné que des mesures plus sévères soient prises. Conformément, le 5 avril 2002, le gouverneur Hong Hu a ordonné au camp de travaux forcés Chaoyanggou de la ville de Changchun « dintensifier ses efforts de lavage de cerveau ». Peu de temps après, des moyens brutaux de torture ont été mis en place au camp de travaux forcés contre les pratiquants de Falun Dafa. Les pratiquants de la 2nde brigade ont subi les pires tortures. On y a amené des instruments spéciaux de torture que lon a utilisé contre eux parce quils étaient les pratiquants les plus déterminés du camp de travaux forcés.
Le 6 avril au matin, les pratiquants de la 2nde brigade ont été amenés dans une salle où on les a interrogés et leur a demandé si oui ou non, ils allaient renoncer à leurs croyances. Aucun deux na répondu. La police a alors commencé de les torturer par des moyens odieux, utilisant des manches de pioches, des barres de fer, des ceintures de cuir, des verrous en fil de fer, des cannes de rotin, des bâtons de bambou. Leurs quatre membres étaient enchaînés avec des menottes de fer et étirés dans les quatre directions alors quon leur posait la question «Renonce-tu ou pas ? ». Ceux qui refusaient de renoncer à leurs croyances faisaient face à des tortures encore plus sévères.
Les policiers versaient de leau salée sur les blessures ouvertes et saignantes des pratiquants et leur donnaient des chocs électriques. La pièce était remplie de ces odeurs de sang, de chair brûlée et de pleurs agonisants. Les policiers injuriaient les pratiquants pendant les tortures. Leurs corps devinrent extrêmement défigurés.
A la fin de la torture, les policiers ont fait porter des pancartes à tous les pratiquants qui refusaient de renoncer à leurs croyances et les ont fait passer devant les cellules des détenus, demandant à ceux-ci de suivre les pratiquants, de leur crier des slogans pour les humilier. La police battait quiconque refusait de crier les slogans.
Source: http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2002/9/4/26122.html
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