Laisser tomber chaque attachement et corriger chaque pensée humaine

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Voici quelques jours, quelque chose est survenu qui m’a rappelé à quel point la cultivation est sérieuse et combien il est important que nous corrigions chacune de nos pensée. Cela m’a permis de mieux comprendre ce que Shifu( Ndt : père et enseignant, le plus souvent traduit dans nos articles par Maître) a dit : « Il est extrêmement dangereux d’ajouter quoi que ce soit d’humain à la cultivation pratique. » (« Creuser à la racine, » dans Points essentiels pour un avancement diligent)

Dans un cours d’éducation politique au collège, le professeur de mon enfant a calomnié Falun Dafa en suivant le livre du cours. Je n’avais jamais clarifié les faits à ce professeur. Lorsque la classe s’est terminée, mon enfant est allé trouver ce professeur et lui a clarifié les faits à propos du Falun Gong. A cause de la peur, le professeur a rapporté l’incident au superviseur de la classe et à un proche, qui est également professeur dans cet école. Finalement, mon proche n’a rien mentionné de cela à quiconque et le rapport n’est donc pas arrivé jusqu’au principal ni au secrétaire du Comité du Parti communiste chinois (PCC) à l’école. Mais mon proche a eu très peur de se voir impliquer. J’ai eu une pensée humaine et j’ai apprécié de qu’il avait fait pour notre famille pensant que le problème était passé.

Mais un jour, mon proche nous a soudain appelés et nous a dit que le principal et le Secrétaire du Comité du PCC avait appris l’incident et décidé que nous devrions transférer notre enfant à une autre école immédiatement. Mon proche nous a demandés ne pas rendre visite au principal afin d’empêcher qu’il ne découvre que je pratiquais le Falun Gong. Il m’a dit aussi qu’il n’y avait pas de pratiquants de Falun Gong dans leur école et que les gens n’osaient pas aborder le sujet. Chaque fois que quelqu’un trouvait un matériel d’information, ils le cachetaient et le remettaient aux autorités supérieures. L’école encourageait aussi professeurs et élèves à rapporter quiconque ou quoi que ce soit qui soit lié au Falun Gong. J’ai réalisé que je n’avais pas bien clarifié les faits à propos du Falun Gong à mon proche.

Mon mari, qui n’est pas pratiquant, s’est senti assez mal à l’aise craignant que cet incident n’affecte notre proche. Je lui ai dit que nous devrions clarifier les faits au principal, mais mon mari pensait que nous devions prévoir une visite en passant par un médiateur qui connaîtrait bien le principal. Je savais que cette pensée impliquait un attachement humain, mais parce que mon attachement à la peur était encore fort, j’ai accepté l’arrangement. Plus tard, le médiateur nous a appelés et a dit : « le principal n’a pas accepté votre visite. » Il a poursuivi : « L’incident est très sérieux et vous devez transférer votre enfant dans une autre école. » J’ai réalisé que j’avais été vivement influencée par des attachements humains et que devais rendre visite au principal et lui clarifier les faits directement. Je ressentais une grande pression. Je savais que la pression était due à mes attachements à la peur et à la vanité.

Le 23 avril 2007, mon mari et moi sommes allés trouver le principal. J’ai commencé par émettre des pensées droites pour nettoyer mon esprit et me suis résolue à me concentrer sur la clarification des faits, et pas sur le résultat. J’ai dit au principal que j’avais étudié Falun Dafa pendant dix ans, combien mon corps et mon esprit avaient bénéficié de Dafa et que l’auto immolation avait été mise en scène par le gouvernement. Je lui ai aussi parlé de la torture que j’avais endurée alors que j’étais détenue dans un camp de travaux forcés et de la douleur mentale et physique que cette persécution avait causé à toute ma famille. Puis j’ai dit que Falun Dafa enseignait les principes divins : Vérité, Compassion, Endurance et que le Falun Gong s’était transmis dans plus de quatre vingt pays et que seule la Chine persécutait le Falun Gong et la liberté de croyance. J’ai terminé en lui disant que la persécution du Falun Gong était la plus grande injustice de l’histoire humaine, que la vérité se saurait dans un futur proche et qu’expulser un élève parce qu’il avait dit la vérité était mal. Mon mari lui a ajouté « Le Falun Gong est bon. C’est une mauvaise chose que ce pays persécute à ce point le Falun Gong. »

J’ai remarqué que le principal avait un regard confus. J’étais sûre qu’il était surpris d’entendre tout ce que j’avais dit, mais je croyais qu’il pensait le PCC capable de faire de mauvaises choses. Lorsque le secrétaire du comité du PCC est entré, j’ai commencé à lui clarifier les faits à elle aussi mais elle a refusé en bloc tout ce que je disais. Comme à ce moment là je n’avais pas une compréhension claire sur la base de la Loi, je pensais que le fait que le transfert ait lieu ou non était la décision de Shifu. Finalement, le principal a quand même insisté pour que nous transférions notre enfant et prétendu que c’était dans l’intérêt de mon enfant. Il a accepté d’attendre que nous trouvions une autre école. C’est très difficile de trouver un collège approprié et j’ai réalisé que nous aurions tort de transférer notre enfant. Si nous le faisions, tout le monde serait impliqué et responsable d’avoir persécuté Falun Dafa.

Ce même jour, le secrétaire du Comité du PCC a dit à notre proche que notre enfant avait à nouveau parlé du Falun Gong en classe et que nous devions transférer notre enfant immédiatement. Par la suite, nous avons appris qu’un camarade de classe avait intentionnellement irrité notre enfant. J’ai réalisé que je ne devrais pas transférer notre enfant. Je devais continuer à clarifier les faits à toutes les personnes impliquées. Toute l’histoire était causée par la persécution. Je devais clarifier les faits et valider la Loi.

Le 25 avril, de nombreux pratiquants sont venus à l’école pour envoyer des pensées droites à courte distance. Mon mari et un autre de mes proches ( un pratiquant de Dafa) a rendu visite au secrétaire du Comité du PCC. Mon mari lui a dit que notre enfant n’avait rien fait de mal, et que par conséquent nous décidions de ne pas le transférer. L’attitude de la secrétaire a été très abrupte. Elle a appelé le principal et lui a annoncé notre décision. Elle nous a dit que l’école avait sa propre manière de gérer la situation puis elle nous a demandés de partir. Je pensais que puisque notre véritable but était de sauver les êtres, je devais lui clarifier les faits et éliminer les facteurs mauvais derrière elle. Je lui ai dit : « C’est votre droit de connaître la vérité. Pourquoi refusez vous de nous écouter ? Ce que nous faisons est pour votre vien. Permettez moi de finir ce que je voulais vous dire puis nous partirons aussitôt. » Je lui ai alors directement dit que le PCC encourrait le châtiment du ciel et des plus de quatre vingt millions de victimes tuées sous le règne du PCC. J’ai parlé de la persécution endurée par les professeurs durant la Révolution culturelle et d’autres choses. Je lui ai dit que Falun Dafa est bon que notre enfant n’avait fait que dire la vérité. J’ai dit que la demande de l’école que nous transférions notre enfant n’était pas pour notre bien, que c’était nous persécuter. Je lui ai dit que celui qui commettait de mauvaises actions devrait payer sa dette. « Vous êtes une mère et un professeur. Vous ne devriez pas permettre à la tragédie de la Révolution culturelle de ses produire à nouveau. J’espère que vous choisirez la justice et un avenir lumineux. » Elle était touchée par notre compassion. Finalement, elle a promis que l’école traiterait cette affaire de manière responsable.

Lorsque les autres pratiquants ont appris cet incident, ils ont immédiatement écrit une lettre ouverte à l’école et décidé de dénoncer la persécution sur Internet. Je me suis éveillée au fait que je devais faire toute chose en suivant Dafa et renoncer à mon attachement sentimental envers notre proche et l’attachement à sauver la face. J’ai décidé de publier le reportage sur le site Minghui.

Le 26 avril, alors que les compagnons de pratique continuaient à envoyer des pensées droites, mon mari et moi-même ainsi que notre proche pratiquants nous sommes préparés à rendre visite au principal. A ce moment, le secrétaire du Comité du PCC nous a dit de façon très aimable : « Vous avez la liberté de croyance et d’expression. Notre école a décidé de garder votre enfant. Dans le futur, nous contacterons les parents directement si quoi que ce soit arrive. » Nous savions alors que la perversité avait été dissoute dans les autres dimensions.

Mais l’affaire n’était pas close. Lorsque mon mari a appris cette bonne nouvelle à notre proche, il a insisté que nous devions transférer notre enfant. Sinon, il croyait que son avenir serait affecté. Nous avons réalisé que notre attachement à nous inquiéter pour lui l’avait affecté parce que nous l’avions ignoré en clarifiant les faits au principal. La perversité devait craindre que notre enfant continue à clarifier les faits, et elle a pris avantage de nos attachements humains.

Nous lui avons alors parlé en détail de nos visites au principal et à la secrétaire. Nous lui avons dit aussi que les directeurs de l’école n’étaient pas comme nous le pensions. En fait, les directeurs de l’école étaient très raisonnables après avoir entendu la vérité. J’ai dit que nous n’essayions pas d’être irresponsables. C’est juste que la perversité ne peut pas réprimer la droiture. Notre enfant n’avait pas tort. Notre proche a été surpris que nous ayons parlé aux superviseurs et leur ayons dit « Falun Dafa est bon » et « Le ciel éliminera le PCC » Je lui ai dit avec toute ma sincérité : « j’ai l’obligation de leur dire que Falun Dafa est bon. De cette manière, votre futur ne sera pas négativement affecté, il sera bon. Vous bénéficierez du fait d’avoir soutenu Dafa. Les élèves et les autres professeurs vous respecteront davantage. » Je lui ai dit également que nous comprenions clairement les pressions qu’il endurait. Finalement il a eu honte.

A travers cet incident, j’ai réalisé que nous devions corriger chaque pensée des autres et suivre la Loi. La perversité prendra avantage de nous si nous avons des attachements humains.

Ce jour là, nos compagnons de pratique ont très bien coopéré avec nous. Ils se sont attachés au salut des êtres et non au résultat. Sur la base de la Loi, ils ont compris que cette situation n’était pas juste la responsabilité des parents, mais celle de tous les pratiquants. Nous avons aussi réalisé combien la coopération entre pratiquants de Dafa est importante.

Date de l’article original: 23/5/2007
Version chinoise à : http://minghui.org/mh/articles/2007/5/10/154426.html


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