Quand un pratiquant de Falun Dafa a été enlevé par les autorités du PCC sa femme a décidé d’exposer les méthodes et la conduite des employés qui ont procédé à l’enlèvement ainsi que le département qui est coupable de l’enlèvement. Elle a accroché une pancarte à son cou et elle est allée aux lieux de travail des kidnappeurs, au bureau du comité des résidents, au commissariat local, au bureau des dirigeants et à l’école élémentaire pour demander la libération immédiate de son mari. Au début les coupables étaient arrogants mais très vite ils ont été sur la défensive et montré de la peur.
Quand la femme s’est mise debout devant le bureau du comité des résidents avec la pancarte, le personnel a été saisi de panique. Leur attitude a changé du tout au tout, d’agressifs ils sont devenus timides. Quand elle a été au centre de lavage de cerveau pour demander la libération du pratiquant et est restée debout devant la grille avec la pancarte accrochée à son cou ils ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour l’enlever de son cou. Elle utilisait la pancarte pour exposer leur mauvaise conduite au public. Ils ont détourné la loi pour éviter les récriminations, ont dit qu’elle troublait l’ordre public et ils lui ont pris la pancarte de force montrant combien ils avaient peur de voir que leur conduite perverse soit exposée.
Quand il s’agit de traiter les affaires de persécution les familles des pratiquants de Falun Dafa devraient exposer les crimes d’une façon ouverte et digne. Il est important qu’elles ne coopèrent pas avec les persécuteurs d’aucune façon que ce soit et qu’elles les désavouent complètement en refusant de répondre à toutes leurs questions. Afin de les vaincre il est nécessaire de prendre l’initiative. Quand ils demandent qui a écrit les mots sur la pancarte, demandez-leur : « Indépendamment de qui les a écrits, n’est ce pas la vérité ? » Quand ils vous demandent qui vous êtes et où vous habitez, demandez-leur : » Qui êtes vous pour me poser cette question. Je suis un parent de la personne que vous avez enlevée. Je suis venue demander qu’on libère mon mari. Maintenant c’est moi qui vous demande, êtes vous le kidnappeur ou une personne responsable ? Vous avait enfreint la loi. Quel est votre nom et votre numéro d’identification de policier, je vais vous poursuivre en justice. » Quand ils participent à la persécution ils portent rarement leur uniforme et ne montrent pas nos plus leur insigne de policier, ils préfèrent rester anonymes. Ils s’habillent en civil et ne donnent ni leur insigne, ni leur numéro d’identification. Parfois ils ne disent même pas qu’ils sont des policiers.
Quand les passants ont vu la femme du pratiquant avec une pancarte ils se sont montrés compatissants. La plupart ont exprimé leur colère, et outragés par l’injustice commise ont fait des suggestions pour trouver une solution ou une assistance. En voyant cela les persécuteurs ont été terrifiés car ils ont réalisé que les gens comprenaient de mieux en mieux les causes réelles de la persécution et les pièges pervers utilisées contre les pratiquants.
En tant que pratiquant nous devons d’abord bien étudier la Loi
Version originale disponible à
http://www.minghui.org/mh/articles/2007/4/13/152627.html
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