L'armée communiste chinoise ne sert pas le pays ou le peuple. Ce sont les SS du Parti communiste chinois (PCC), c'est un outil pour le PCC afin de mener ses atrocités et son règne de dictature. L'armée communiste chinoise a commencé par combattre le Parti nationaliste. Elle a grandi en taille et en force au cours de l'invasion japonaise, en se cachant dans des coins reculés du pays et en sortant pour combattre le Parti nationaliste immédiatement après que la guerre sino-japonaise fut terminée. Mais le PCC l'appelle « l'armée de libération du peuple » et invoque l'adage « Les liens entre l'armée et le peuple ressemblent à ceux de l' eau et des poisson ». Peu importe comment elle utilise la propagande pour tromper et embrouiller les gens, l'armée prend toujours parti contre le peuple aux moments critiques et sert d'instrument pour aider le PCC à persécuter et tuer le peuple chinois. L'armée a massacré les minorités ethniques des Ouïghours, elle a réprimé le peuple de la province du Guangxi pendant la Révolution culturelle, elle a tué les gens dans les rues de Pékin le 4 juin 1989 et a carrément persécuté le Falun Gong depuis 1999. En regardant en arrière, le PCC utilise son armée pour détruire ses opposants politiques et massacrer le peuple chinois.
Le PCC utilise un lavage de cerveau considérable pour contrôler absolument les esprits des militaires. le Parti recouvrant par la terre de mensonges le Falun Gong et sa diffamation, trompe complètement les militaires. En outre, l'armée du PCC elle-même est devenue une mafia, un groupe de voyous et de tyrans implacables. Le groupe de Jiang Zemin utilise bien cela pour systématiquement persécuter le Falun Gong. À cause du contrôle sévère du Parti sur l'armée et sur le secret des opérations militaires, le public en sait très peu actuellement sur le rôle de l'armée du Parti dans la persécution systématique du Falun Gong. Lorsque la vérité sera largement connue, le peuple verra tous les crimes du PCC qui a utilisé l'armée pour persécuter des personnes bonnes et innocentes.
1. L'armée contrôlée par le PCC participe directement à la persécution du Falun Gong
En examinant l'histoire du PCC, on voit que le PCC a toujours considéré les gens comme des ennemis imaginaires, basé sur leurs « théories de lutte » et il a ainsi lancé un mouvement politique après l'autre pour maltraiter l'ensemble des citoyens. Depuis qu'il a usurpé le pouvoir, le Parti a tué 80 millions de Chinois innocents !
La jalousie de Jiang Zemin lui a fait considérer le Falun Gong comme son ennemi. Il a alors lancé le Parti dans une persécution brutale du Falun Gong le 20 juillet 1999. Beaucoup de pratiquants de Falun Gong dans tout le pays sont allés à Pékin et dans les gouvernements locaux pour faire appel à la justice et clarifier la vérité à propos du Falun Gong. Il n'y avait pas assez de policiers à ce moment-là pour arrêter le grand nombre de pratiquants allés faire appel en toute légalité. Le Parti a déployé l'armée et en particulier la police armée [un service aménagé des forces militaires, jouant un rôle dans le maintien de « l'ordre social »] pour intercepter et arrêter illégalement les pratiquants de Falun Gong. De grands groupes de soldats gardaient les bâtiments du gouvernement à Pékin et dans beaucoup de villes, la place Tiananmen et les carrefours principaux environnants menant à Pékin pour intercepter et arrêter les pratiquants de Falun Gong sur leur chemin pour faire appel au régime.
Le Parti a toujours considéré ses soldats comme la garantie la plus puissante pour soutenir ses façons de faire sans scrupule, et pour ses immenses abus et meurtres du peuple. Le Parti, croyant dans le totalitarisme, s'appuie sur les soldats pour un soutien psychologique et le groupe de Jiang s'appuie sur les soldats pour persécuter le Falun Gong sans retenue. Jiang a ordonné à l'armée de persécuter directement les pratiquants de Falun Gong. Sans la participation de l'armée, il aurait été difficile de maintenir la persécution à son début.
Le Parti a arrêté d'innombrables pratiquants de Falun Gong et les a mis dans des prisons et des camps de travaux forcés, tous ont leur périmètre gardé par des soldats.
L'armée centrale du PCC a directement suivi une politique de persécution systématique
Après que le Parti ait décidé de traiter le Falun Gong comme son plus grand ennemi, le comité de l'armée centrale du PCC a tenu six conférences spéciales à propos de « traiter les problèmes liés aux religions impliquant des forces extérieures », visant principalement le Falun Gong pendant la période de 1999 à mai 2006.
Selon un médecin militaire à la retraite de Shenyang, le règlement du PCC, à partir de 1962, a pavé la route pour la « collecte » effrénée d'organes de prisonniers ayant actuellement lieu. Un document légal publié par le comité central de l'armée du PCC dit de donner aux gouvernements des provinces l'autorité d'établir des « sources de recyclage pour les entités » qui transformerait d'une façon révolutionnaire ces criminels dans les zones militaires sous son administration, « selon les besoins de développement de l'État et du socialisme ». Pendant la Grande révolution culturelle (1966-1976), la première façon révolutionnaire de transformer ces prisonniers a été d'utiliser leurs corps pour les manger [cannibalisme]. La deuxième a été de les utiliser comme esclave de travail pour la construction ou diverses lignes de production.
En 1984, suivant un amendement, cette directive a évolué en l'extraction pleinement légalisée d'organes de ces criminels. Les départements de justice et police de nombreuses régions ont effectué des collectes d'organes sur des prisonniers vivants avant d'incinérer leurs corps. Parfois ils administrent intentionnellement au prisonnier une piqûre non-mortelle pour la formalité de la mort avant de prélever directement ses organes. Puis ils incinèrent le corps. Depuis 1992, une telle pratique est en fait venue à la connaissance du public. À cause du développement dans de nombreux domaines, les corps humains – vivants ou morts – sont devenus un matériau brut profitable en tant que « ressources industrielles ».
Des documents et des règlements supplémentaires publiés par le comité central de l'armée du PCC sont devenus la « base légale » pour le Parti afin de collecter systématiquement et de façon illégale les organes de pratiquants de Falun Gong vivants.
2. Le département général de l'état-major de l'armée de libération du peuple participe directement à la persécution du Falun Gong
Le département de politique générale de l'Armée de libération du peuple (ALP) est responsable envers le PCC du lavage de cerveau et du contrôle mental des militaires. C'est comme la possession par un esprit ou un animal attaché à l'armée par le Parti communiste et il met à exécution les ordres politiques du groupe de Jiang pour la persécution. En tant que système de commande militaire, cependant, le département général de l'état-major a aussi un rôle terrible dans la persécution du Falun Gong. Il a appliqué tout ce qu'il possédait, comme l'information, l'espionnage et la technologie militaire, pour persécuter le Falun Gong. Ses activités comprennent la collecte « d'informations sur le Falun Gong », surveillant au niveau international la communication entre les pratiquants de Falun Gong et organisant des plans pour tenter d'assassiner M. Li Hongzhi, le fondateur du Falun Gong.
Les activités des services secrets visent le Falun Gong
Le système d'espionnage du Parti communiste est formé de l'armée, du bureau de la sécurité nationale et de la police. Parmi ces trois, l'armée a les plus hautes qualifications et les technologies les plus avancées pour rassembler des informations. La division 2 du département général de l'état-major, ce sont les services secrets de l'armée chinoise et ses agents spéciaux en Chine et en dehors de Chine, les officiers militaires dans les ambassades répartis dans les pays étrangers et les activités d'espionnage. Le PCC a envoyé de nombreux espions à l'étranger au cours de ces dernières années, la plupart ont le Falun Gong pour cible ainsi que collecter des « informations sur le Falun Gong ». Ils fournissent de fausses informations aux hauts officiers du gouvernement central du PCC, avec l'intention de tromper les gens ne sachant pas la vérité sur le Falun Gong et justifiant la persécution en cours. Ils répandent des mensonges à l'étranger et attaquent le Falun Gong, induisant les gens en erreur afin d'ostraciser le Falun Gong. On ne sait pas actuellement combien d'espions viennent du bureau de la sécurité nationale et combien viennent du département général de l'état-major.
Depuis que Jiang Zemin a commencé à persécuter le Falun Gong, des agents spéciaux communistes ont souvent harcelé et menacé les pratiquants dans le monde entier. Chen Yonglin, l'ancien secrétaire général du consulat général de Chine à Sydney et Hao Fengjun, qui a travaillé au bureau 610 de Tianjin, ont passé à l'étranger et sont actuellement en Australie. Le Parti a exercé un contrôle très strict sur ses consulats à l'étranger et sur les bureaux 610 en Chine. Ces deux anciens fonctionnaires se sont présentés pour révéler les faits sur la persécution du Falun Gong par le PCC de l'intérieur.
Chen Yonglin a déclaré qu'il y a au moins 1 000 espions chinois en Australie. Hao Fengjun a soutenu les déclarations de Chen et confirmé l'immense firme d'espionnage du gouvernement chinois opérant à l'étranger. En même temps, Chen a révélé la politique australienne du PCC par rapport au Falun Gong : « Lancez une attaque de votre propre initiative, insistez pour le soutien (du gouvernement australien), gagnez la sympathie (du public australien). » Les informations que ces deux hommes ont fournies valident l'extension de la persécution du PCC en dehors de Chine.
Le journal australien The Age a rapporté le 8 juin 2005 que « les espions de l'ambassade de Chine ont suivi les pratiquants de Falun Gong en Australie, ils ont branché leurs téléphones sur écoute et ils ont même pénétré chez eux pour saboter leurs activités. »
Tentative d'assassinat manquée/B>
Le livre La vraie histoire de Jiang Zemin révèle qu'en 1999, Jiang Zemin a essayé de négocier pour que le fondateur du Falun Gong soit extradé, en échange de la réduction de 500 millions de dollars du surplus économique de la Chine avec les États-Unis, tentative qui a échoué. Jiang a publié un ordre d'assassinat secret aux départements des services secrets à travers Zeng Qinghong. Le ministère de la sécurité d'État et le département général de l'état-major ont formé un groupe d'action spéciale responsable de collecter des informations concernant la localisation du fondateur du Falun Gong, le recrutement et l'entraînement d'assassins en vue de la préparation de l'assassinat.
En décembre 2000, Jiang Zemin a appris que le fondateur du Falun Gong avait planifié une conférence à Taïwan. Lui et Zeng Qinghong ont secrètement contacté la mafia locale à Taïwan et payé des assassins pour sept millions de dollars. Le fondateur du Falun Gong, cependant, a été très tôt au courant de leur plan et a annoncé un changement d'itinéraire à la dernière minute, ce qui a fait avorter la tentative d'assassinat planifiée par Jiang Zemin.
Jiang Zemin et Zeng Qinghong étaient furieux. Ils ont publié un ultimatum à l'équipe d'action spéciale, leur ordonnant de mener à bien le meurtre à tout prix. Ils ont secrètement ordonné au ministère de la sécurité d'État et au département général de l'état-major pour créer conjointement une équipe d'action spéciale et recruter et entraîner un groupe de hors-la-loi. La mission de l'équipe d'action spéciale était d'attiser les problèmes, de diffamer le Falun Gong, de tromper les médias et le public, ainsi que d'inciter à la haine envers le Falun Gong à tout prix, même si cela signifiait ôter la vie, et de trouver des occasions pour tuer le fondateur du Falun Gong. Jiang Zemin a personnellement approuvé la somme de 500 000 dollars utilisée pour recruter un groupe de femmes afin de former un escadron de la mort. Les femmes ont été entraînées pour agir comme des bombes suicidaires, comme les membres des Tigres tamouls au Sri Lanka. Elles devaient être envoyées aux États-Unis et participer aux conférences de partage d'expériences, se faire passer pour des pratiquantes de Falun Gong, approcher le fondateur du Falun Gong et faire exploser les bombes attachées à leurs corps.
Puis Jiang Zemin et Zeng Qinghong ont reçu un rapport secret disant que les pratiquants de Falun Gong allaient avoir une conférence à Hong Kong les 13 et 14 janvier 2001 et que le fondateur du Falun Gong parlerait le 14. Jiang Zemin a immédiatement publié un ordre secret, pour saisir l'occasion d'agir sur le territoire du Parti communiste à tout prix. Le département général de l'état-major, le ministère de la sécurité d'`état et le ministère de la sécurité publique ont joint leurs efforts et ont rapidement élaboré le plan d'assassinat n°114. À ce moment-là, les services secrets chinois en Asie du Sud-Est et en Amérique du Nord sont entrés en état d'alerte. Presque tous les groupes mafieux de Hong Kong et Macao ont été recrutés pour la partie assassinat du plan, en conséquence des menaces et pots-de-vin du régime. Le plan a désigné les membres des mafias de Hong Kong et Macao, pour qu'ils mènent personnellement le meurtre afin de détourner l'attention du Parti communiste. Jiang Zemin avait confiance qu'il réussirait cette fois avec son arrangement secret.
M. Li Hongzhi n'a pas participé à la conférence du 14 janvier et le plan a avorté encore une fois. L'équipe d'assassinat a appris ensuite que M. Li Hongzhi avait connaissance de leur plan. Jiang Zemin a commencé à avoir peur après l'échec de plusieurs tentatives d'assassinat. L'équipe d'action spéciale de Jiang a rencontré plus tard des accidents de la circulation et d'autres accidents et elle s'est finalement désintégrée. Le complot d'assassinat a même été complètement abandonné.
Surveillance des communications en Chine et en dehors de Chine
Le département général de l'état-major et le ministère de la sécurité d'état ont mené des activités terroristes à l'étranger, tandis que la division 3 du département général de l'état-major a utilisé ses technologies de communication militaires avancées – y compris la surveillance et l'écoute téléphonique, le déchiffrage des codes et la reconnaissance radio, parmi d'autres – pour surveiller tous les appels téléphoniques internationaux, en particulier ceux contenant des informations sur le Falun Gong. Le nombre de personnes qui a été déployé a atteint le nombre de 100 000.
Le département général de l'état-major a aussi utilisé les dernières technologies militaires contre les pratiquants de Falun Gong. Par exemple, l'institut de recherche n°54 sous la division 4 du département de l'état-major général a développé un système de reconnaissance vocale, utilisé pour identifier les pratiquants de Falun Gong par leur voix. Ils ont fait des appels téléphoniques à des pratiquants de Falun Gong au nom d'une enquête publique et ils enregistraient leur voix. Ce système reconnaîtrait les pratiquants lors d'appels téléphoniques ultérieurs.
Les pratiquants de Falun Gong d’outremer ont créé des sites Internet officiels puisque les pratiquants de Chine continentale n'avaient aucune occasion de parler franchement. Les espions communistes ont attaqué ces sites Internet et envahi les ordinateurs privés des pratiquants, ils ont introduit des virus et des chevaux de Troie pour voler l'information. Des preuves montrent que la technologie Internet employée par ces espions vient probablement des technologies militaires développées et dirigées par le département général de l'état-major.
Le ministère de la sécurité publique a publié des ordres à tous les niveaux dans les forces de police en mai et juin 2006, disant que toutes les méthodes scientifiques devaient être utilisées pour surveiller le Falun Gong, à tout prix. Une source bien informée a révélé au site Internet Minghui que le Parti avait construit une antenne de surveillance des signaux dans la flotte de la mer orientale (dont le quartier général est à Ningbo dans la province du Zhejiang). Ce site est utilisé pour surveiller et balayer les signaux de tous les téléphones portables dans tout le pays. Ils identifient, recherchent et enquêtent sur les signaux qui contiennent des mots sensibles. « Falun Gong » a toujours été une des phrases-clé les plus sensibles que le Parti a cherché dans les appels téléphoniques.
3. Le département général de logistique de l'ALP est le service de direction au coeur de la collecte d'organes vivants
Le système médical militaire du Parti a usé d'une autre méthode extrêmement cruelle pour persécuter les pratiquants de Falun Gong sur un ordre secret de Jiang Zemin : « Ruinez leur réputation, ruinez-les financièrement, détruisez-les physiquement. »
« Expérimentations humaines » sur des pratiquants de Falun Gong sans leur consentement
Le 12 mai 2005, la revue scientifique renommée Nature a publié un article d'enquête sur place intitulé « Concours des cliniques chinoises : des adultes consentants ? pas nécessairement... » L'auteur déclare : «Comme Nature l'a découvert lors d'une visite récente, la conscience de règles d'éthique et des procédures d'accord en toute connaissance de cause est lente de façon alarmante, même parmi les chercheurs et les professionnels médicaux. Certains conseils de révision institutionnels, qui sont supposés renforcer les critères éthiques, font à peine plus que tamponner les propositions qui viennent devant eux. »
Les hôpitaux régionaux de Chine ne demandent jamais l'accord des patients avant de faire des expérimentations sur eux. Les hôpitaux militaires ont encore moins de scrupules. Ils testent des substances sur les gens sans accord du receveur. Beaucoup de victimes de telles expérimentations sont des pratiquants de Falun Gong.
Selon une source interne, le Parti a mené de nombreuses expérimentations sur les pratiquants de Falun Gong détenus illégalement dans les hôpitaux. Certains pratiquants ont reçu des injections de substances inconnues, suite auxquelles ils ont souffert de douleurs tellement extrêmes qu'ils s'effondraient par terre et se cognaient la tête contre les murs. Ils finissaient par mourir dans une terrible agonie et leur corps était immédiatement incinéré.
Fabriquer des documents et collecter des organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants
Selon des ordres du comité central de l'armée du PCC, ces criminels et prisonniers peuvent être transformés selon les besoins de développement de l'état ou du socialisme ; la police, les cours de justice, les prisons et les hôpitaux sont de connivence les uns avec les autres et ont commencé à pratiquer la collecte d'organes sur des êtres vivants il y a longtemps. Au stade initial, les organisations impliquées là-dedans étaient d'abord les hôpitaux du système militaire et policier, comme les hôpitaux militaires, les hôpitaux de la police armée et les hôpitaux de la police. Par la suite, les hôpitaux locaux ont rejoint massivement.
Une fois que le Parti a étiqueté le Falun Gong comme un « ennemi de classe », « la transformation selon les besoins du socialisme » issue du comité central de l'armée du PCC a été appliquée aux pratiquants de Falun Gong, qui sont devenus une banque d'organes vivants pour la collecte illégale d'organes par le régime.
L'armée est le système directeur pour la transplantation d'organes. Le système militaire est central pour ces installations et l'administration de ces questions, en particulier le département de logistique général du ALP. Le département de logistique général supervise le service médical militaire, ainsi que la section de la division santé. Il y a plus de 150 hôpitaux militaires, dont la plupart effectuent des greffes d'organes.
L'armée joue donc un rôle majeur dans la collecte illégale d'organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants.
Après environ six mois d'investigations à grande échelle, les enquêteurs canadiens David Matas et David Kilgour ont publié le « Rapport révisé sur les allégations de collecte d'organes sur des pratiquants de Falun Gong en Chine ». Leur rapport confirme la large participation de l'armée chinoise dans le crime de collecter des organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants.
4. Autres rôles de l'armée dans la persécution du Falun Gong
Zones spéciales sous surveillance administrative de l'armée ou camps de concentration ?
Les moyens militaires incluent des bâtiments, ainsi que d'autres espaces et équipements utilisés dans un but militaire. Ils sont appelés zones militaires interdites ou zones sous administration de l'armée. Beaucoup de moyens militaires sont top secret et interdits au public. Le Parti détient illégalement un nombre incalculable de pratiquants de Falun Gong dans certaines zones militaires interdites et a transformé les structures de ces régions en camps de concentration. Selon une source interne, à sa connaissance, il y a 36 de ces camps de concentration en Chine.
Il y a d'innombrables grottes qui ont été exploitées à des fins militaires dans de nombreuses montagnes où les armes militaires sont gardées dans les profondeurs. Le fonctionnement de la plupart de ces moyens militaires est une information classée secrète. Chaque grotte peut contenir un nombre considérable de personnes, même les plus petites grottes peuvent chacune contenir plus de 1 000 personnes.
En plus de construire des zones militaires interdites, Mao Zedong (l'ancien dirigeant du PCC) a ordonné de concevoir des réseaux souterrains dans de nombreuses villes. Au début, ils ont été utilisés comme abri anti-aérien et plus tard ils ont été étendus pendant le développement économique et des projets de constructions urbaines. Beaucoup d'abris anti-aériens de différents types existent actuellement dans tout le pays. Par exemple, un projet de défense aérienne à Harbin dans la province du Heilongjiang, suspendu à cause du manque de fonds en 1979, était à une profondeur de 21m sous terre ; sa hauteur était de 6m, sa largeur de 7,3m ; sa surface totale était de 111 800m² avec une longueur totale de 9,5km. L'abri entier est fait en béton armé. Combien de tunnels semblables existent dans le pays ? Chacun peut contenir un grand nombre de personnes.
Les pratiquants de Falun Gong détenus dans les camps de concentration sont forcés de faire un travail d'esclave, ils sont également devenus une partie importante de la banque d'organes vivants, comme expliqué ci-dessus. Après que la collecte d'organes effectuée par le Parti sur des pratiquants de Falun Gong vivants ait été révélée en mars 2006, le régime a transféré beaucoup de pratiquants afin de cacher leurs crimes. Certains pratiquants ont été envoyés dans des abris anti-aériens à Wanzhou, près de Chongqing, soi-disant à l'arrière du pays.
L'armée fait du trafic de personnes vivantes afin de vendre leurs organes
L'armée du PCC est corrompue jusqu'au cœur et a une longue histoire de trafiquant. Dès la guerre sino-japonaise, quand l'armée était à Yan'an, elle cultivait l'opium et était aussi impliquée dans le trafic de drogue. Pendant que Jiang était dirigeant du PCC, les bases morales de la Chine se sont complètement écroulées. La pratique du trafic armé par l'armée chinoise s'est de plus en plus répandue et s'est intensifiée. L'armée, la marine de guerre et l'armée de l'air se sont mises de connivence et ont formé un réseau de trafiquants gigantesque et puissant. La marine de guerre a pleinement profité de la commodité de sa situation et de son autorité pour trafiquer à l'étranger. Selon des analyses, l'armée du Parti trafique avec tout, depuis le pétrole en passant par l'électronique, les voitures, l'acier, les cigarettes, les équipements de communication, l'or, les armes, la drogue et tout ce dont ils peuvent tirer profit.
Le Parti traite le Falun Gong d'une façon révolutionnaire selon les besoins du socialisme. Les organes des pratiquants de Falun Gong sont ainsi devenus des produits commerciaux pour que le Parti en fasse d'immenses profits. Selon un ancien médecin militaire de Shenyang, la plupart des personnes dont le régime communiste a fait trafic à l'étranger pour des transplantations étaient des pratiquants de Falun Gong. Selon un média à l'étranger, la marine de guerre chinoise utilise sa position unique et ses avantages pour transporter des pratiquants de Falun Gong à l'étranger. Nous ne pouvons pas directement vérifier cette déclaration actuellement à cause de la censure de toute information par le PCC.
Forces armées locales ou armée de réserve
En plus de l'armée et de la police armée qui persécute directement le Falun Gong, les agents du bureau 610 local, le département de police et les gens du bureau de l'armée travaillent ensemble pour répartir les réservistes de l'armée afin de persécuter les pratiquants de Falun Gong. Ils désignent la milice, la police et des gens sans emploi pour patrouiller dans les rues, surveiller l'extérieur des maisons des pratiquants de Falun Gong et suivre et arrêter les pratiquants de Falun Gong.
5. Note de fin : la violence et la dictature ne peuvent pas vaincre la nature humaine
L'armée du PCC collecte des organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants pour le profit. Cette perversité, « nouvelle sur cette planète », a rendu furieux le Ciel et la Terre. Le Parti communiste a joué ses dernières notes hystériques et est maintenant au-delà de la rédemption. Le Ciel est en train d'éliminer le PCC. Les membres de l'armée chinoise devraient démissionner du Parti s'ils ont encore une conscience, ils ne devraient pas s'allier avec le Parti sur le chemin de sa tombe.
Le PCC croit avec ferveur dans le pouvoir de la violence et du totalitarisme, il s'est dévolu lui-même, ainsi que sa machine gouvernementale et l'armée, à la persécution d'un groupe de citoyens cultivant et suivant l'enseignement de Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Mais « la contrainte ne peut pas changer le cœur de l'homme ». Historiquement, toutes les persécutions d'une croyance juste ont fini par un échec honteux. L'armée du Parti, qui semble puissante en surface, est insignifiante devant la Loi de Bouddha. La persécution est destinée à échouer.
Traduit en Suisse le 4 mars 2007
version chinoise disponible à : >http://minghui.ca/mh/articles/2007/2/12/148769.html
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