En Chine des millions d’hommes et de femmes souffrent de discrimination et d’intolérance religieuses. Même si la constitution prévoit que "tout citoyen chinois puisse bénéficier de la liberté de religion", les mesures adoptées par le gouvernement limitent fortement cette liberté.
Une campagne particulièrement violente est actuellement menée en Chine contre les membres de Falun Gong, un mouvement spirituel pacifique qui permet à ses membres, à travers des exercices physiques, de cultiver la Vérité, la Compassion et la Patience.
Ce mouvement, qui a été d’abord considéré positif par les autorités, a été brutalement attaqué par la gouvernement depuis 1999, simplement parce qu’il prenait de l’ampleur. Les rapports révèlent que plus de 100.000 membres de ce mouvement ont été arrêtés, que plus de 20.000 ont été envoyés sans procès dans des camps de travail et que plus de 400 sont morts des suites de la violence et de la torture infligées durant leur arrestation ou leur détention.
La communauté internationale ne peut rester silencieuse face à ces terribles violations des droits de l’homme. Les autorités chinoises doivent comprendre la nécessité de respecter les droits des minorités religieuses. Les communistes chinois sont totalement libres d’être athées, mais en tant qu’autorités, elles ont le devoir , non seulement de tolérer, mais de respecter et assurer le respect de ceux qui ont une religion, afin de ne pas violer la dignité humaine et de ne pas renier les principes de la Charte des Nations Unies.
Le célèbre penseur chinois Confucius a enseigné que les leaders politiques devaient cultiver la bonté afin d’aider le peuple à vivre en paix.
http://www.minghui.org/mh/articles/2002/7/28/33913.html
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