Examiner "une forme grotesque de mal encore jamais vue sur cette planète " – Une compilation d’éléments d’enquête (1ère partie) (Photos)

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Dans son crime systématique, orchestré par l’état, de récolte d’ organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants, le Parti communiste chinois (PCC), avec ses politiques génocidaires,a intimidé et dupé au moyen d’énormes incitations financières, l’armée, la police, le système judiciaire, la communauté médicale et tous les niveaux d’entités gouvernementales, les amenant ainsi que les patients en demande d’organes et leurs familles à y prendre part. Dans le processus, le PCC assassine non seulement brutalement des pratiquants de Falun Gong d’une façon qui défie les limites élémentaires de moralité de l’espèce humaine, mais il dévore aussi la conscience et la nature humaine et détruit fondamentalement les gens. » « Une forme grotesque de mal encore jamais vue sur cette planète » demeurera pour toujours une leçon pour l’humanité.

Table des matières

1. L’Industrie de transplantation d’organes en Chine s’étend parallèlement à la persécution du Falun Gong par le PCC

1.1 Une énorme banque de donneurs d’organes
1.2 La définition d’un "Prisonnier capital " selon le PCC
1.3 Les structures de persécution locales contre les pratiquants de Falun Gong sont les Quartiers généraux de la « Banque d’organes vivants » du PCC
1.4 La distribution géographique des structures soupçonnées d’être impliquées dans la récolte d’organes de pratiquants de Falun Gong vivants

2. L’horreur des faits et la situation actuelle

2.1 Différents hôpitaux en Chine, parmi lesquels des hôpitaux sans spécialité et des Hôpitaux privés, effectuent un grand nombre de greffes d’organes.
2.2 La Chine devient le Centre mondial des greffes d’organes
2.3 Quelques "Records" terrifiants

3. Le PCC dirige la récolte d’organes de pratiquants de Falun Gong vivants par les moyens militaires

3.1 L’Armée est le système d’administration central dirigeant la récolte d’organes de pratiquants de Falun Gong vivants
3.2 Le rôle important des Hôpitaux militaires
3.3 Le nombre énorme de greffes d’organes effectuées dans les Hôpitaux militaires

4. Le régime du PCC encourage l’industrialisation du commerce de greffes d’organes

4.1 Le PCC investit d’énormes sommes d’argent pour promouvoir le développement des techniques de transplantation et de la pratique clinique
4.2 Le Système médical de la Chine fait la promotion des greffes d’organes
4.3 Les services de santé dirigent la formation d’ un réseau de distribution nationale de transplants d’organes
4.4 Les greffes d’organes sont couvertes par l’"Assurance santé"

Le célèbre avocat canadien des droits de l’homme David Matas et l’ancien Secrétaire d’état canadien pour la région Asie-Pacifique M.David Kilgour ont publié leur rapport d’enquête indépendante commune le 6 juillet 2006. Le rapport confirme les allégations de récolte systématique et à grande échelle d’organes de pratiquants de Falun Gong par le PCC pour le profit. Ils font apparaître dans leur rapport que « Le gouvernement de Chine et ses agences dans de nombreuses parties du pays, en particulier les hôpitaux, mais aussi les centres de détention et les tribunaux « du peuple », ont depuis 1999 mis à mort un nombre important mais inconnu de prisonniers de conscience du Falun Gong. Leurs organes vitaux, incluant des cœurs, des reins, des foies et des cornées, ont été pratiquement et en même temps sans consentement saisis pour la vente à bons prix. » Ces crimes continuent.

L’Association Falun Dafa et le site Internet Minghui (version chinoise de Clearwisdom.net) ont fondé la Coalition pour Enquêter sur la persécution du Falun Gong (CIPFG) en mars 2006, après la révélation de présumée récolte massive d’organes de pratiquants de Falun Gong suivie de la crémation des corps sous l’autorité du Parti communiste chinois. Le but de la CIPFG est d’unir les forces de la justice à travers le monde pour enquêter en profondeur et mettre fin aux sept ans de persécution du Falun Gong par le PCC. A ce jour, la CIPFG a reçu de nombreux éléments d’enquête et des rapports de gens en Chine et au dehors et obtenu des preuves par un suivi d’enquête. Tous les éléments d’information mis ensemble dépeignent un tableau qu’on peut appeler « un mal nouveau sur cette planète » comme Matas, l’avocat, l’a appelé.

1. L’Industrie de transplantation d’organes en Chine s’étend parallèlement à la persécution du Falun Gong par le PCC

Selon un rapport du 10 juin 2006 par le bureau de Wuhan de l’Agence Xinhua, Chen Shi, commissaire en chef de la Société de transplantations d’organes de l’Association médicale chinoise, a déclaré que la Chine avait mené un total de plus de 85 000 chirurgies de greffes d’organes majeurs, dont 74000 sont des greffes de rein, plus de 10 000 des greffes de foie, et plus de 400 des greffes de cœur. La Chine est devenue la seconde nation du monde pour les greffes d’organes, après les USA. Toutes les greffes d’organes pratiquées à l’ étranger le sont aussi en Chine. Le niveau général de qualification chirurgicale pour les greffes d’organes en Chine est parmi le plus élevé du monde. Les nombres de greffes d’organes majeurs dépassait récemment les 10.0000 par an, et rien que l’an dernier plus de 12.000 transplantations ont été accomplies en Chine.

Selon des données officielles, à peu près 18 500 greffes d’organes majeurs ont été effectuées dans les six ans allant de 1994 à 1999, et 67 000 greffes d’organes majeurs ont été effectuées dans les cinq ans allant de 2000 à 2005, une augmentation de 362 %. Moins de 200 opérations de greffe de foie ont été faites en l’espace de neuf ans, de 1991 à 1999, mais rien qu'en 2000 , 254 opérations ont été effectuées. Le nombre a monté en flèche à plus de 3000 en 2003. Plus de 4.000 greffes de foie ont été effectuées en 2005. Actuellement, plus de 500 hôpitaux en Chine participent aux transplantations d’organes, et un nombre inconnu mais important d’hôpitaux pratiquent les greffes de rein.

Centre Oriental de transplantation d’organes (OOTC) à Tianjin City


Un médecin militaire qualifié dans l’agglomération de Shenyang a révélé le 30 avril 2006 : « En fait, les greffes d’organes « clandestines » sont de loin plus nombreuses que le chiffre publié par le gouvernement. Par exemple, si le gouvernement dit qu’il y a 30 000 cas par an, alors le nombre réel est d’environ 110.000. Il y a une abondance de sources d’organes …. De nombreux hôpitaux sous la juridiction de l’armée, tout en déclarant certaines greffes au gouvernement central et au public, effectuent en fait un grand nombre de greffes d’organes en secret. »

1.1 Une énorme banque de donneurs d’organes

La plupart des sites Internet des hôpitaux chinois promettent de trouver un rein compatible dans un délai d’une à deux semaines, et un foie ou un cœur compatible dans un délai d’une semaine à un mois. Un rein doit être greffé entre 10 et 24 heures après qu’il ait quitté le corps du donneur, un rein ou un cœur doivent l’être immédiatement après la mort du donneur, ou les organes sont directement pris sur des personnes vivantes. Par conséquent la disponibilité d’organes compatibles ne peut pas dépendre de dons volontaires mais ne peut-être obtenue que par le meurtre prémédité. La période d’attente anormalement courte et le grand nombre de greffes doivent être soutenues par une gigantesque banque de réserve d’organes, complétée par la compatibilité des types sanguins et celle des tissus HLA. Quelle est la source de réserves qui maintient un commerce à une telle échelle ?

Il n’existe pas en Chine de système de dons d’organes volontaire, pour des raisons à la fois culturelles et légales. Un article paru dans le Southern Metropolitan News le 22 juillet déclare : « A ce jour, 21 donations d’organes multiples ont eu lieu dans notre pays qui ont fait que 88 donneurs d’organes ont sauvé 81 vies. Le nombre de donneurs dans la région du Guangdong compte pour 500f du total. » Des données pertinentes de 2005 montrent que l’actuelle donation d’organes entre membre de famille et proches vivants en Chine n’équivaut qu’à seulement 1.10f du nombre total de transplantations de greffes, et selon des statistiques officielles, des systèmes qui ne sont pas sous la juridiction des Services de santé contrôlent les autres 98.90f des transplantations, c’est à dire plus de 80. 000 transplantations. Le PCC a admis pour la première fois en 2005 que les organes des condamnés à mort étaient utilisés pour les greffes.

Les chiffres d’Amnesty International, montrent toutefois un profil différent. Le nombre de prisonniers exécutés en Chine avoisinait les 1.680 personnes par an entre les années 1995 et 1999, et à 1616 entre 2000 et 2005, attestant qu’il y a eu une augmentation significative des exécutions. Alors quelle est l’explication pour une disponibilité d’organes qui dépasse de dix fois le nombre de prisonniers exécutés ?

1.2 La définition de "Prisonnier capital " selon le PCC

Les transplantations d’organes en Chine sont entrées dans une période de plein développement après 1999, l’année où la persécution du Falun Gong a commencé. Par jalousie et obsession du pouvoir, l’ancien chef du PCC Jiang Zemin de connivence avec le PCC a lancé une persécution génocidaire du groupe de cultivation du Falun Gong dont les pratiquants suivent le principe Authenticité-Compassion-Tolérance.

Un grand nombre de pratiquants de Falun Gong sont allés à Pékin faire appel aux tout débuts de la persécution. Leur but était de dire aux gens dans le gouvernement et au grand public, que le Falun Gong enseigne aux gens à être bons. Ils espéraient que le gouvernement mettrait fin à la persécution et restaurerait leur liberté de croyance. Des statistiques internes du PCC révèlent que durant le plus fort des appels, environ 7000 000 pratiquants de Falun Gong de tous les coins du pays arrivaient dans la banlieue de Pékin chaque mois. Le Bureau des Lettres et des Appels et la Place Tiananmen ont été transformés en lieux d’arrestation, où des agents du PCC arrêtent jusqu’à aujourd’hui des pratiquants de Falun Gong, qui sont détenus et sauvagement battus, et certains même torturés à mort. Un grand nombre indéterminé de pratiquants de Falun Gong ont tout simplement disparu.

D’autres statistiques du PCC montrent que 670 prisons et 300 camps de travail forcé en Chine connus du public détiennent environ 1.8 millions de personnes. Ces dernières années, ces structures dans le pays tout en entier ont détenu des pratiquants de Falun Gong en grand nombre, et nombres d’entre elles ont excédé leurs capacités. Les données internes du PCC montrent qu’à la fin avril 2001, pas moins de 830.000 pratiquants de Falun Gong ont été illégalement arrêtés.

Le PCC avait construit des dizaines de camps de concentration secrets à travers tout le pays afin d’ « éradiquer » le Falun Gong. L’AFP (Agence France Presse) rapportait le 1er octobre 2000, que le PCC avait construit deux camps de concentration dans le nord-est et le nord-ouest de la Chine et les utilisait pour détenir des pratiquants de Falun Gong. Chaque camp détient 50.000 personnes. Les pratiquants y ont été transportés en trains, et jusque là personne n’en est ressorti vivant.

Le médecin militaire de Shenyang City mentionné plus haut a révélé le 3 juin 2006, qu’ « Au moins 36 camps de concentration similaires à celui de Sujiatun existaient en Chine. Le plus vaste, portant le nom de code 672-S se trouve dans la province de Jilin. Plus de 120.000 pratiquants et dissidents y sont détenus. Le camp de concentration dans la région de Jiutai dans la province de Jilin est le cinquième plus grand endroit du pays où plus de 14.000 personnes sont détenues. »

Suivant la politique génocidaire du PCC et du groupe de Jiang consistant à « ruiner leurs réputations, les épuiser financièrement et les annihiler physiquement, » les médias du PCC ont diabolisé le Falun Gong avec des mensonges accablants. Les pratiquants de Falun Gong sont impitoyablement arrêtés, détenus et torturés. L’ordre secret de Jiang Zemin : Battre [des pratiquants de Falun Gong] à mort n’est rien et comptera comme suicide ; n’identifiez pas le corps et incinérez le directement, » a poussé la persécution à un extrême hystérique. Les pratiquants de Falun Gong qui persistent dans leur croyance en Authenticité, Compassion, Tolérance sont sauvagement maltraités dans les prisons, les camps de travail, les centres de détention, les hôpitaux psychiatriques et les classes de lavage de cerveau. Ils ont agressés sexuellement et soumis à des injections de drogues psychotropes. Bien que le PCC n’ai jusque là condamné à mort publiquement aucun pratiquant de Falun Gong, selon une estimation incomplète du site Internet Minghui, les morts de 2.949 pratiquants de Falun Gong en résultat de la persécution ont été vérifiées par voies civiles.

Le médecin militaire a dit le 30 mars 2006 : « Les régulations du Parti communiste chinois remontant à 1962 ont pavé la voie pour la « récolte » d’organes de prisonniers qui se produit aujourd’hui. Un document légal émis par la puissante Commission militaire centrale du PCC aurait dit-on donné autorité aux gouvernements provinciaux d’établir des « entités de recyclage » qui traiteraient ces criminels dans la zone militaire sous son administration, selon les nécessités du développement de l’état ou du socialisme. » Suivant un amendement de 1984, ceci a évolué en extraction d’organes de criminels totalement légalisée . Les pratiquants de Falun Gong ne sont plus considérés comme des êtres humaines, mais comme du matériel brut pour les produits commerciaux.

Le PCC considère les pratiquants de Falun Gong qui persistent dans leur croyance en Authenticité-Compassion- Tolérance comme des ennemis de classe qui doivent être « physiquement annihilés. » Voilà la définition de « prisonnier capital » selon le PCC.

1.3 Les structures de persécution locales contre les pratiquants de Falun Gong

De grands groupes de pratiquants de Falun Gong secrètement détenus et privés de tous leurs droits servent de source potentielle à la récolte d’organes à grande échelle organisée par le PCC et à la vente d’organes. Des prises de sang suspectes et des examens d’organes sont pratiqués dans les prisons, les camps de travail, les centres de détention, les classes de lavage de cerveau et d’autres structures. Ces tests et examens sont des mesures nécessaires pour sélectionner les organes et établir une banque d’organes.

Dès 2005, les chefs du Bureau de la rééducation par le travail de Harbin se sont rendus au Camp de travail forcé de Changlinzi et ont tenté de faire passer des tests sanguins à tous les pratiquants de Falun Gong. Ceux-ci ont fermement résisté et les prises de sang n’ont pas été faites. Quelques jours plus tard, les autorités du camp de travail ont parlé aux pratiquants individuellement. Ils les ont menacés avec des matraques électriques et des prolongations de peine pour leur faire accepter les prises de sang. Les gardes ont plaqué au sol les pratiquants qui refusaient de coopérer et leur ont prélevé du sang de force.

Des rapports publiés sur le site Internet Minghui indiquaient récemment, que le 13 avril 2005, les autorités à la Prison pour femmes de la province du Sichuan avaient fait des prises de sang forcées sur des pratiquants de Falun Gong pour des tests sanguins, prétendant vouloir détecter l’AIDS. Les autorités à la prison de Wumaping à Leshan , dans la province du Sichuan ont fait des prises de sang à tous les pratiquants de Falun Gong illégalement détenus en février 2005. Le chefs adjoint de la prison Tan, responsable de la santé, a personnellement supervisé le processus et battu les pratiquants qui refusaient de coopérer.

En août 2004, les autorités à la Prison Tiebei ont pratiqué des prélèvements sanguins sur tous les pratiquants de Falun Gong illégalement détenus sans explication. Qui plus est, tous les pratiquants qui refusaient de se « réformer » à la prison Tiebei ont été emmenés le 30 mars 2005. Douze d’entre eux ont été transférés à la Prison de Gongzhuling. Le personnel de la prison leur a prélevé du sang dès leur arrivée, régime auquel n’ont pas été soumis les autres détenus. Selon certaines pratiquantes de Falun Gong qui ont été illégalement détenues au Camp de travail forcé pour femmes de Heizuizi à Changchun en 2000, 2001 et 2002, le personnel du camp a emmené toutes les pratiquantes à l’hôpital du camp pour des prises de sang à fin d’ »examens » médicaux. Ils ont aussi continué à soumettre les pratiquantes déterminées à des prises de sang à plusieurs autres occasions.

En septembre 2001, les autorités au Camp de travail forcé de Baiquan dans l’agglomération de Liaoyuan, Province de Jilin, ont reçu les ordres que les plus de cent pratiquants illégalement détenus passant des examens physiques complets. Les examens incluaient des tests sanguins, des EEG et des EKG, un test de la fonction rénale et des radios des poumons, entre autres. Tous étaient des pratiquants de Falun Gong masculins transférés des régions locales, des agglomérations de Jilin et de Siping. En décembre 2001, ils ont tous été transférés à un endroit inconnu.

En 2001, prés de 1000 pratiquants de Falun Gong masculins étaient détenus au Camp de travail forcé N°2 dans la province du Shandong, appelé également le Camp de travail forcé de Wangcun. Parce que le nombre de détenus augmentait rapidement, certains pratiquants ont été transférés à Jinan City , Qingdao City et Weifang City, parmi d’autres endroits. Chaque pratiquant a été emmené à l’Hôpital (Hôpital de l’Usine N°83) du Camp de travail forcé pour des examens spéciaux. Les médecins ont soigneusement examiné le foie, les reins, et les autres organes de chaque pratiquant avec des ultrasons B. Ils leur ont tiré beaucoup de sang pour des tests. Les gardes disaient souvent aux pratiquants : « Si vous ne vous « réformez » pas, le gouvernement a d’autres moyens pour s’occuper de vous. »

Lors d’une arrestation à grande échelle de pratiquants de Falun Gong de Guangzhou City en juillet 2000, les médecins au Centre de détention Tianhe ont fait passé des examens de sang et contrôlé le foie, le cœur, les poumons, les reins et les yeux de chaque pratiquant de Falun Gong détenu.

1.4 La distribution géographique des institutions soupçonnées d’être impliquées dans la récolte d’organes de pratiquants de Falun Gong vivants

Selon des éléments d’enquête et des rapports, des structures dans au moins 28 provinces, municipalités et régions autonomes, réparties dans toute la Chine sont suspectées d’implication dans la récolte et la vente d’organes de pratiquants de Falun Gong vivants. La situation est spécialement grave à Liaoning, Jilin, Heilongjiang, Pékin, Tianjin, Shanghai, Chongqing, Fujian, Hunan, Shandong, Hebei, Guangdong, Zhejiang, Yunnan, Sichuan, Henan, Shanxi, Jiangsu, et Xinjiang.

Certains hôpitaux, camps de travail forcés, centres de detention, centres carcéraux, et tribunaux à Shanghai, Tianjin, Heilongjiang, Liaoning, Shandong, Sichuan, et Guangdong ont admis pouvoir fournir ou avoir à disposition des organes pratiquants de Falun Gong vivants pour les greffes.

Les régions géographiques impliquées dans la récolte et la vente d’ organes de pratiquants de Falun Gong

(A suivre)

Date de l'article original : 9/10/2006

Version Chinoise disponible sur :
http://minghui.ca/mh/articles/2006/9/23/138519

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