M. David Matas, célèbre avocat des droits de l'homme et membre de l'équipe d’enquête indépendante canadienne, co-auteur d'un rapport sur la récolte d'organes pratiquée par le Parti communiste chinois (PCC) sur des pratiquants de Falun Gong vivants, a été invité à présenter son rapport lors d’un forum public organisé par le Conseil du barreau malais. Le rapport a attiré l'attention des professions légales et des organisations non gouvernementales (ONG).
Après avoir écouté la présentation de M. Matas, un avocat des droits de l'homme malais, Edmund Bon, a accepté de se joindre à la Coalition pour enquêter sur la persécution du Falun Gong (CEPFG), afin de rassembler plus de preuves sur la persécution et le prélèvement d'organes. Il a dit, « En tant qu’avocat, c’est ce que je dois faire. »
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Le 10 octobre 2006, M. Matas a organisé une conférence de presse et un forum à Kuala Lumpur, Malaisie. Il a organisé la conférence de presse le matin et participé au forum l'après-midi. Le titre du forum était, « Une nouvelle forme de mal : la récolte d'organes du PCC. » En soirée, M. Matas a été invité à présenter son rapport dans l’auditorium du Conseil du barreau malais.
M. Yap Swee Seng, directeur exécutif de la Commission des droits de l'homme de Malaisie (SUARAM) a dit après la conférence de presse, qu'ils avaient entendu parler des allégations de récolte d'organes du PCC, mais n’avaient pas lu le rapport d’enquête indépendant. Il était venu spécialement pour écouter M. Matas. « Nous lirons le rapport et les résultats de l’enquête. Ensuite, nous discuterons de ce que nous pouvons faire. »
Mme Jaspal Kaur, Maître de conférences du département de droit de l’université HELP, est venu avec ses étudiants pour participer à la soirée de forum public. Elle a dit qu'elle n'avait jamais entendu parler de prélèvements d'organes sur des personnes encore vivantes. Une telle atrocité qui se produit dans la société moderne, est horrible. « Le but du forum est de surveiller les crimes. En tant que professeur, je pense que je devrais faire en sorte que mes étudiants connaissent le problème. »
Quelques participants ont posé des questions sur la façon d’aider. « Je pense que nous devons interpeller le gouvernement malais et le régime du PCC pour qu’ils sachent que nous prêtons attention à cette question. Nous devrions demander à nos élus de passer une résolution pour arrêter les atrocités. Nous sommes des êtres humains et nous devons avoir l'humanité et la conscience de base. »
Sri Surya Kant Jothee, chercheur analyste, centre pour les sciences politiques, a dit pendant une entrevue, « C'est une allégation sérieuse. Je vais en apprendre plus au sujet de l'allégation sur les prélèvements d'organes vivants. Si c’est vrai, je condamnerai le crime. »
Beaucoup de gens du public sont venus au forum et ont appris l'atrocité. M. Lin, d’un département médiatique, a dit que le forum lui avait fourni un bon nombre de renseignements. Il a dit, « J’espère que nous ne nous contenterons pas d'écouter et d’observer, mais que nous participerons en aidant à arrêter les prélèvements d'organes."
Une autre étudiante du département de droit a demandé à M. Matas ce qu'elle pourrait faire en Malaisie pour aider à arrêter de tels crimes.
L’avocat malais des droits de l'homme, Edmund Bon, a accepté de se joindre à la Coalition pour enquêter sur la persécution du Falun Gong. Il a dit que beaucoup de participants avaient posé des questions, ce qui a montré l'attention que portent les gens à l'atrocité de récolte d’organes vivants par le PCC. Il pense que la Malaisie devrait se joindre à la CEPFG.
Traduit de l’anglais au Canada le 16 octobre 2006
Version chinoise disponible à :
http://www.minghui.org/mh/articles/2006/10/12/139989.html
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