Pour empêcher que de nouvelles informations sur la persécution du Falun Gong ne s’ébruitent, le Camp de Travaux Forcés pour Femmes de la Province de Guizhou a récemment refusé de laisser les gardiens rentrer chez eux pendant une semaine. Il a été dit que plusieurs pratiquantes ont été torturées à mort dans ce camp de travaux forcés, et parmi elles une femme de la ville de Chishui ou du Comté de Xishui.
Les pratiquantes étaient fréquemment emmenées dans des pièces isolées, où des individus sélectionnés, à tour de rôle, les jetaient contre un mur ou sur des lits métalliques en leur tirant les mains et en les faisant trébucher délibérément. Les auteurs de cette torture, se sont amusés à agir de la sorte encore et encore juste pour le plaisir, en disant qu’ils « donnaient des leçons ». Les pratiquantes qui ne coopéraient pas subissaient le traitement plus longtemps. La brutale persécution de ces pratiquantes change constamment de visage et il semble qu’il n’y ait pas de limite à la cruauté. Même un regard échangé entre pratiquantes peut entraîner un passage à tabac. Ils frictionnent aussi communément les pratiquantes au hasard avec un produit inconnu.
Mme Zhang Yan, pratiquante qui travaillait à l’Université Médicale de la ville de Zunyi a été persécutée par les gardiens menés par GU Xingying jusqu’à ce qu’elle soit très amaigrie au point de ne plus être capable de marcher seule. Elle a été emmenée à la clinique pour un gavage forcé à plusieurs reprises. A la fin d’août 2003, elle a été portée à la clinique et attachée sur un lit où elle est morte alors qu’ils l’alimentaient de force. Personne n’ose en dire plus.
Mme Zou Qianzhu, une pratiquante de la ville de Tongren, était âgée de 44. Elle a été persécutée à mort en octobre 2004 dans le Camp de Travaux Forcés pour Femmes. Mme Zhan Yean de l’Université Médicale de la ville de Guiyang a été soumise à une persécution à long terme dans le Camp. Résultat, elle est devenue complètement paralysée et très amaigrie. A la fin de mai 2005, ils pensaient qu’elle allait bientôt mourir, ils l’ont donc renvoyée chez elle. Elle est morte le 16 juin 2005.
L’écrasante majorité des pratiquantes détenues au Camp de Travaux Forcés pour Femmes de la Province de Guizhou ont fait l’expérience de la torture appelée “assiéger les fortifications” au moins deux fois sinon plus, sans parler des mauvais traitements et des passages à tabacs aux mains de ceux qui sont encouragés par les gardiens. Une pratiquante a été pendue et tourmentée trois jours, nuit et jour. Un gardien disait, “Vous ne voulez toujours pas coopérer ?” Il a soufflé sur le bout incandescent de sa cigarette pour qu’elle soit bien rouge et l’a ensuite écrasée sur la poitrine de la pratiquante, lui brûlant ainsi les seins. Entre août et décembre 2002, ils ont détenu une autre pratiquante en cellule d’isolement dans l’équipe de la garnison du Camp de Travaux Forcés pour Hommes. Là, elle a été insultée et violée par des toxicomanes. Un des suspects est Wang Jianqiang de la ville de Guiyang.
Le Camp de Travaux Forcés pour Femmes de la Province de Guizhou oblige les pratiquantes à travailler comme esclaves, de 15 à plus de 20 heures par jour. Si la tâche assignée n’est pas terminée, elles sont malmenées verbalement par des co-détenues manipulées, qui sont généralement des toxicomanes.
Le Camp de Travaux Forcés pour Femmes de la Province de Guizhou, code Zip 551419
Téléphone: 86-851-2549297
Gardienne Gu Xingying, âgée de plus de 30 ans, elle était la directrice de l’Equipe chargée des Nouvelles Arrivées. Elle a été transférée depuis dans les bureaux du Camp.
Gardienne Li Jianying, âgée de plus de 40 ans
Gardienne Jiao Xia, âgée de plus de 30 ans
15 septembre 2006
Date de l’article original : 15/10/2006
Version Chinoise disponible sur :
http://www.minghui.org/mh/articles/2006/9/16/137931.html
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