Attaquer verbalement le malfaisant parti communiste pourrait en surface prendre la forme de « semonces ». L’appeler « attaque verbale » n’est acceptable que parce que notre langage humain n'a pas vraiment de mot plus précis pour décrire l'énumération des crimes commis par le parti malfaisant. Parmi toutes les langues humaines à ce jour, seule l’expression « attaque verbale » arrive le plus justement à décrire en les énumérant les crimes commis par le parti communiste. Pour des gens ordinaires, ce genre d'énumération ne peut être compris que comme une « attaque verbale . » Mais c’est en réalité décrire la véritable nature du parti malfaisant, sa méprisable perversité, et quel que soit la langue employée ça ne sera pas considéré comme hors de propos. Quels que soient le genre d’expression qu’on emploie et la manière dont on choisit de le décrire, tout ce qui peut être décrit avec des mots n'excédera pas le degré de perversité du parti pervers. Empruntant ses mots à l'avocat Gao Shisheng, son ignominie malfaisante surpasse tout ce qui peut-être expliqué clairement avec des mots, et il n’y a rien qu’il ne soit capable de commettre ou n’ait déjà commis. Son degré d’ignominie a déjà excédé depuis longtemps ce que l’humanité peut imaginer et concevoir.
À proprement parler, attaquer verbalement le parti communiste pervers cette fois-ci n’est pas du tout l’ « attaquer verbalement ». Ce n'est pas le genre « d'attaque verbale » du passé, ni du présent et du futur à la fois en termes généraux et en signification particulière. Si une personne pointe un crapaud du doigt et l’appelle « crapaud, » même quelqu’un de dérangé mentalement n’ira penser que « cette personne attaque verbalement le crapaud. » Mais si le crapaud est étroit d’esprit, peut-être pensera-t-il « cette personne m'attaque verbalement. » Pourtant, cette personne ne fait simplement que dire la vérité. Ses mots obéissent au principe de véracité.
Il en est de même avec le malfaisant parti communiste chinois. Il est mauvais en soi. L’évoquer en terme de mal, c’est dire la vérité et non l’insulter. Sa nature intrinsèque est celle d’une canaille. L’appeler canaille n’est pas lâcher des mots sales, mais c’est exposer la vérité. Il est intrinsèquement un meurtrier de masse assoiffé de sang devenu dévié. C'est une compréhension commune à tous les chinois, profondément enfouie dans l’esprit de chaque individu sous l'emprise de la peur, et après avoir été trompés par les mensonges. De terreur, personne n’ose même y penser.
Le parti pervers a employé la violence et la terreur pour marteler les mensonges, les fausses images et la perversité profondément dans l'esprit des chinois. Ces choses sont si profondément enfoncées dans la conscience des gens que d’autres ne peuvent les enlever pour eux. Même les dieux ne peuvent rien faire. La seule chose qu'ils peuvent faire est d'utiliser un burin constitué de la vérité la plus pure et la plus sincère, pour extraire les poisons et la matière dégénérée du mal. C'est une occasion offerte par le ciel. Le burin des mots sincères a reçu la puissance de la Loi par le ciel pour extraire les éléments du spectre pervers, et c'est la plus grande opportunité de sauver les chinois en général. Pendant cette période de temps, chaque simple phrase de vérité que chaque chinois dit contre le parti pervers possédera la puissance de la Loi pour extraire et éliminer les éléments du spectre pervers. C'est parce que ce qu'ils font se conformera à un principe : vérité. Laissez la vérité briser les mensonges. Tous les chinois commencent à dire la vérité !
La Loi de Bouddha est sans limite. Le grand Tao n’a pas de forme. Tout est pour sauver les êtres. On espère sincèrement que les pratiquants puisent le voir clairement.
Traduit de :
http://www.zhengjian.org/zj/articles/2006/10/5/40316.html
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