Nous sauvons davantage de gens si nous cultivons continuellement

Dans " Enseignement de la Loi à la conférence de Loi à la capitale des États-Unis," Maître a dit

" dans ce cas, en tant que pratiquant, qu'est-ce qui est considéré comme cultivation ? Si vous pouvez faire ce qu’un disciple de Dafa doit faire, par exemple valider la Loi et sauver les êtres, ce sont vos responsabilités obligatoires, c'est une partie de l’établissement de votre vertu majestueuse, mais votre propre élévation est ce qui est le plus crucial, car si vous ne vous élevez pas, vous ne pourrez pas bien faire tout cela. Alors quand vous avez de strictes exigences envers vous-mêmes, quand vous percevez vos insuffisances et que vous les éliminez sans cesse, là vous êtes déjà en train de cultiver.."

J’ai compris que ce n’est pas suffisant de simplement avoir la volonté de valider la Loi et sauver les êtres. Nous devrions tout faire selon la Loi, nous fixer à nous-mêmes des standards élevés, découvrir nos insuffisances, et les corriger rapidement. Nous devrions constamment améliorer notre niveau de cultivation afin de pouvoir sauver plus efficacement les gens avec une relation prédestinée.

Peu après que j’ai commencé à pratiquer Falun Dafa, le Parti communiste chinois a commencé la persécution. J’ai été illégalement détenu pendant deux semaines pour avoir protéger d’autres pratiquants et ma position de chef de division m’a été retirée.

Comme à l’époque je venais juste d’entrer dans Dafa, j’étais difficilement capable de soutenir la pression et mes membres de famille ne pouvaient pas me comprendre. Ils rejetaient sur moi tout leur ressentiment. Ma femme criait après moi, mon enfant me faisait des reproches et tous pensaient à moi comme à l’ennemi de la famille. Mes proches me regardaient de haut, disant que je n’avais pas de considération pour ma famille et que je faisais une chose stupide. Je me sentais un petit peu perdu et je me demandais si j’avais tord.

Lorsque j’ai ouvert Zhuan Falun, l’enseignement du Maître brillait comme de l’or :

" Nous disons : quel que soit le changement des critères de la morale humaine, la nature de cet univers Zhen-Shan-Ren reste pourtant immuable à jamais. Certains disent que vous êtes bon, mais vous n’êtes peut-être pas vraiment bon ; certains disent que vous êtes mauvais, mais vous n’êtes peut-être pas vraiment mauvais, car les critères de jugement du bien et du mal sont faussés. Seul celui qui se conforme à la nature de l’univers est un être bon, c’est le seul critère pour juger si quelqu’un est bon ou mauvais et il est reconnu par l’univers.." ("Leçon quatre" dans Zhuan Falun)

Je savais que je cultivai la plus grande Loi dans l’univers, cherchant une voie de retour vers mon être véritable, ce qui était la chose la plus droite sur terre. Je n’ai rien fait de mal en protégeant des pratiquants ; en fait, ce que j’ai fait était juste. Les incompréhensions de ma famille et les opinions de mes proches étaient tous causé par le PCC ; ils étaient effrayés et ne discernaient pas la nature malfaisante du PCC trompée par sa propagande. Ils me méjugeaient.

Je leur ai dit et redit ce qu’est Falun Dafa, ce que font les pratiquants et pourquoi le PCC nous persécute sans justification. Pourtant, malgré tout ce que je pouvais dire, ils ne comprenaient pas. La seule chose qu’ils voyaient c’est que j’avais perdu ma position en tant que chef de division, que notre famille avait perdu la face, et qu’il serait difficile à l’avenir d’obtenir une aide spéciale. Tous m’en faisaient reproche et le frère de ma femme me criait même après au téléphone. Je ne sentais pas offensé. Plus tard, lors de rencontres avec mes amis, il leur a demandé deux fois de me transmettre un message disant : « S’il vous plaît, dites à mon beau-frère que je n’en ai pas après lui. » Je ne me suis pas senti gêné et j’ai répondu avec un sourire. Concernant les plaintes de ma famille et de mes proches, je pensais qu’ils n’avaient pas clairement vu la nature malfaisante du PCC et le résultat destructif auquel il aurait finalement à faire face pour avoir persécuté Dafa. D’un autre côté, je sentais aussi devoir m’améliorer à certains égards. Par exemple mon attitude n’était pas flexible, je ne considérais pas entièrement la souffrance et la pression que les membres de ma famille expérimentaient, j’étais toujours occupé au travail et ne m’occupais pas bien de ma famille ; ils avaient par conséquent des sentiments négatifs à propos de Dafa et je me sentais responsable pour cet environnement déplaisant et devais être plus diligent dans ma cultivation.

Par la suite, j’ai passé beaucoup de temps à me corriger moi-même. Je faisais davantage de tâches ménagères et parlais moins. Lorsque je parlais, je gardais une voix calme. Je faisais plus attention aux membres de ma famille et à mes proches, en particulier la famille de ma femme. Cependant, du fait de la pollution à long terme du PCC, ils ne prêtaient attention quà leurs gains et pertes immédiats. Ils se mettaient en colère si je mentionnais le Falun Gong et nous étions dans une impasse.

A une période, j’ai pensé qu’ils ne pouvaient pas être sauvés et que je devrais par conséquent les laisser faire ce qu’ils voulaient. Un jour, un pratiquant a appris la situation de ma famille. Il m’a fait comprendre que ce qui m’entourait, y compris mon environnement familial, était une réflexion de moi-même, que je devrais chercher en moi afin de changer cet environnement, et que je devrais être capable de le changer en bien.
J’ai regardé en moi pour découvrir là où mes actions n’étaient pas basées sur la Loi. Mon problème principal était que je devenais agité lorsque je parlais de Dafa, je me disputais avec eux sans faire aucun compromis. En conséquence, ils ne m’acceptaient pas, et avaient aussi l’impression que j’étais déraisonnable et avait de piètres aptitudes pour communiquer. Un jour, ma femme m’a dit que Dafa était sans doute bon, mais que je ne l’étais pas et que mon conduite n’était pas même aussi bonne que celle d’un non-pratiquant.

En entendant les mots de ma femme, j’étais sous le choc. J’ai pensé que le Maître utilisait la bouche de ma femme pour me guider. Je devais corriger mes erreurs. Par la suite durant les conversations, je contrôlais mon ton et ma façon de me présenter moi-même. Si ce qu’ils disaient était juste, je l’approuverais positivement. Concernant certaines questions mineures je ne me disputais plus avec eux. Lorsque nos conversations touchaient les questions fondamentales de Dafa, j’essayai d’expliquer patiemment, Je leur ai dit que respecter Dafa pouvait leur apporter la chance et que lui manquer de respect pouvait leur amener des tribulations. Peu à peu nos conflits ont été résolus, la tension a disparu et l’environnement familial est devenu harmonieux.

Je sais que Dafa est la loi de l’univers ; il est si puissant qu’il n’y a rien qu’il ne puisse résoudre. Je devais commencer avec les petites choses, bien traiter les gens avec cœur, harmoniser Dafa et établir ma vertu majestueuse.

Ma belle-mère vivait alors dans un autre endroit. Par la suite elle a déménagé pour venir habiter chez moi. Je l’ai traitée comme ma propre mère et ai prêté une attention particulière à ses besoins quotidiens. Lorsqu’elle était malade, je l’emmenai à l’hôpital. Je prêtais aussi attention à mon beau-frère. Lorsqu’il est venu habiter dans ma ville, il n’avait pas d’endroit où rester. Je lui ai permis d’habiter dans mon ancienne maison et d’utiliser mes meubles. Lorsque cette maison a été détruite parce que le gouvernement voulait bâtir un nouvel immeuble résidentiel, les anciens résidents pouvaient obtenir une remise pour construire une nouvelle maison. Je lui ai laissés les bénéfices et il a aujourd’hui sa propre résidence. Il m’a été reconnaissant.

Ma famille a appris la gentillesse et le bon caractère des pratiquants et a perçu la grandeur de Dafa. Lors de mes récentes tentatives de persuader d’autres personnes de quitter le PCC, mon beau-frère n’a eu aucune hésitation et il a promis de démissionner. Il a dit aussi « Je vous fais confiance » et je crois en ses paroles.

Version chinoise disponible à:
http://minghui.ca/mh/articles/2006/9/1/136841.html

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