Mes réflexions concernant l’article " Suivre la Loi juste dans la société ordinaire "

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Après avoir lu l’article de Minghui “Suivre la Loi juste dans la société ordinaire“, j’étais très inspirée. J’en suis venue à comprendre que nous étions des disciples de Dafa de la période de la rectification de la Loi. Nous devons marcher sur un chemin droit avec dignité et faire cesser toute persécution contre les disciples de Dafa, y compris celle du Parti communiste chinois sur nos lieux de travail et dans notre vie de tous les jours. Ici, je voudrais parler brièvement de ma situation.

En 2000, j’ai été détenue illégalement et envoyé au camp de travaux forcés de la région de Baoding, province de Hebei pour être allé à Pékin faire appel pour le falun Gong. Après avoir été relâchée en 2003, la police locale a refusé de me fournir une carte d’identité et un permis de résidence. Leur excuse était que je ne m'étais pas conformée à leur demande car ils voulaient que je signe une déclaration disant que je stoppais la pratique de Falun Dafa. J’ai rejeté leur requête déraisonnable et je n’ai reçu ni mes papiers d’identité, ni mon permis de résidence. Ces dernières années, j’ai traversé beaucoup de difficultés car je n’avais pas de papiers d’identité. La principale raison qui a fait que je ne suis pas allée voir la police était la peur. A cause de sept années de persécution, je vivais dans la pauvreté ce qui rendait diffile de valider la Loi, soutenir ma famille et participer à la vie sociale.

Alors, j’ai compris que j’aurais dû insister auprès de la police pour qu’ils me fournissent des papiers d’identités. Qu’avais-je fait de mal ? C’est le droit de chaque citoyen d’avoir des papiers d’identité. C’est la police qui transgresse la Loi. S'ils refusent toujours de me fournir des papiers d’identités ; je rendrais leurs agissements publics. C’est également mon droit. Réalisant cela, je suis allé voir la police. Au début, ils m’ont fait passer un mauvais quart d’heure et ont tenté de ne pas me fournir de papiers d’identité. Ils m’ont traitée comme une criminelle, en prenant des notes à propos de tout ce que je disais et en voulant prendre mes empreintes. J’ai rejeté toute leurs demandes et j’ai demandé à ce qu’ils me fournissent des papiers sans condition. Avec un esprit droit et mes compagnons de pratique qui envoyaient des pensées droites, j’ai pu tout faire sans problèmes. Lorsque je suis allée au bureau d'aide sociale pour demander une allocation minimum de survie, j'ai pu aussi le faire sans trop de difficultés.

Il y a une pratiquante qui vivait près de chez moi et qui n’a pas perçu de revenus depuis qu’elle a été renvoyée de son travail sans aucun procédure officielle lorsque le PCC a commencé à persécuter le Falun Gopng en juillet 1999. Parce qu’elle n’était pas capable de considérer cette affaire de la perspective de la Loi, elle a continué à être privée de revenu. Récemment, elle a réalisé qu’elle avait enduré passivement en renforçant ainsi la perversité. Elle est donc allée voir le gouvernement municipal et autres agences affiliées afin de demander une solution. Clarifiant ainsi la vérité aux fonctionnaires, certains lui ont dit, en privée, que ce qu’elle faisait était bien et qu’elle devait continuer. Ils étaient même désireux de l’aider à écrire une lettre pour faire appel. De gentilles personnes parmi le personnel lui ont dit que beaucoup de personnes étaient, comme beaucoup de gens, au courant au sujet de la persécution et qu’elle devait prendre soin d’elle et faire attention. Peu après, elle a de nouveau perçu un salaire. ,

Son expérience m’a montrée que tout était arrangé par le Maître. Comme le Maître l’a dit dans Hong Yin II,

"Lorsque les disciples ont des pensées droites fortes, le Maître a le pouvoir d’inverser le courant" (L’engagement du Maître vis à vis des disciples, Hong Yin II, Traduction non officielle)

J’en suis venu à comprendre que nous sommes des disciples de Dafa de la période de la rectification de la Loi. C’est notre responsabilité de sauver les êtres. En même temps, les autorités et nos lieux de travail doivent nous donner ce qui nous revient. Lors de ce processus, beaucoup de mes attachements ont été révélés, y compris la peur d’être de nouveau détenue et l’hésitation à contacter la police ou d’autres personnes qui m’ont persécutée, moi et d’autres pratiquants. Je ne les traitais pas comme des êtres qu’il fallait sauver. Lorsque je leur clarifiais la vérité, je n’étais pas assez gentille et paraissait dure. Voilà des aspects que je dois travailler dans le futur, la police a également eu de nouvelles compréhension à propos de Dafa et à pu en savoir plus sur la perversité du PCC.

Date original de l’article 24/9/2006.

Version chinoise :
http://minghui.ca/mh/articles/2006/9/4/137017.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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