Le 20 juillet 2006, les pratiquants de Falun Gong finnois se sont rassemblés devant l’Ambassade chinoise pour protester contre les sept années de persécution du Falun Gong, persécution lancée sept ans pus tôt par le régime communiste chinois contre ceux qui avaient choisi de suivre dans leur vie les principes Authenticité – Compassion- Tolérance.
Les pratiquants ont déployé des bannières avec les messages : « Falun Dafa est bon » et « Condamner fermement les prélèvements d’organes du Parti communiste chinois sur des pratiquants de Falun Gong vivants pour le profit et l’incinération des corps ». Certains distribuaient l’information aux passants et aux gens venant faire des demandes de visa à l’Ambassade. En même temps une lettre a été lue à voix haute aux passants et au personnel de l’Ambassade.
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| Le 20 juillet, une lettre de protestation a été lue devant l’Ambassade de Chine |
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| Les bannières dénonçant les prélèvements d’organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants | Des pratiquants distribuant l’information |
Le contenu de la lettre était le suivant :
Depuis le 20 juillet 1999, sept années ont passé. Ces sept dernières années, le PCC a infligé une persécution inhumaine et atroce au Falun Gong. Jusqu’à aujourd’hui, le nombre vérifié de gens qui ont été persécutés à mort est de 3000. Mais ce n’est que la pointe de l’iceberg. En mars dernier, trois témoins ont dévoilé au journal Epoch Times les prélèvements d’organes pratiqués dans les camps de travail du PCC. Début juillet, un groupe d’enquête indépendant, consistant en l’ancien directeur de la Division Asie- Pacifique du Ministre des Affaires étrangères du Canada M. David Kilgour et l’avocat des droits de l’homme David Matas, ont publié un rapport d’enquête indépendante vérifiant l’existence de tels crimes, un fait pourtant difficile à croire.
Nous sommes incapables de savoir le nombre exact de personnes innocentes dont les organes ont été prélevés alors qu’ils étaient encore vivants. Derrière cet épais rideau noir, quelle est l’envergure de ce trafic d’organes, nous ne le savons pas, mais nous savons que c’est une « nouvelle forme de mal que nous n’avions encore jamais vue sur cette planète », comme l’a commenté David Matas.
Il n’y a pas de mots pour décrire la violence brutale ayant cours en Chine sous le régime du Parti communiste chinois. Un des membres du groupe d’enquête a indiqué que cette forme de mal n’avait encore jamais existé sur la terre. La persécution du Falun Gong est un crime contre la nature humaine, c’et un crime contre l’humanité.
La persécution pose un défi à la nature humaine individuelle et teste le seuil de moralité et de conscience de chaque personne. Ce n’est pas un problème politique, pas plus qu’un problème intérieur comme le déclare le PCC. La persécution lancée par les autorités de l’état est un crime contre l’humanité, et les assassinats systématiques pour récolter des organes humains défient directement notre moralité et notre conscience.
Nous protestons contre la violence brutale du PCC. Nous conseillons à chaque personne chinoise avec encore un peu de conscience et de bonté de comprendre la nature mauvaise du PCC, de quitter ses organisations choisissant pour eux-mêmes une bonne position pour le futur. En même temps, nous appelons les gens de tous les milieux et la communauté internationale à aider à mettre fin aux méfaits et à la persécution.
Traduit de l’anglais de : http://www.clearharmony.net/articles/200607/34585.html
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.
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